Samedi 27 juillet : De la sainte Vierge au samedi

Le Seigneur a conduit le juste par des voies droites… Tiré de la liturgie de la Messe de saint Christophe

Par la faute du grand apôtre saint Jacques fêté hier, saint Christophe n’est qu’une mémoire, et pourtant il bien marqué les chrétiens ! Nombreux sont les automobilistes qui ont un porte clé ou une médaille à son effigie. Savez vous pourquoi ? Saint Christophe était un martyr chrétien de Lycie (dans l’actuelle Turquie) au 3° siècle. Il fut exécuté Pour avoir défendu les chrétien de Rome injustement persécutés par l’Empereur Dèce. Au delà de ces maigres renseignement historiques, se développa une légende rapportée par Jacques de Voragine dans sa légende dorée. Il aurait été un géant Chananéen appelé « réprobus » (« réprouvé » en latin). Après la rencontre avec un ermite chrétien, il prit la décision de consacrer sa vie et ses forces à transporter des voyageurs sur l’autre rive d’une rivière tumultueuse. Et voilà qu’un jour c’est un enfant qui se présente. Reprobus le prend sur ses épaules et le fait traverser la rivière, mais voilà que cet enfant chétif pèse un poids considérable ! Arrivé à grand peine de l’autre coté, il demande à l’enfant pourquoi il lui semblait peser aussi lourd que le monde entier ? L’enfant qui lui répond : Ne t’en étonne pas, Christophe (porteur du Christ), tu n’as pas eu seulement tout le monde sur toi, mais tu as porté sur tes épaules Celui par qui le monde a été créé : car je suis le Christ ton Roi, à qui tu as en cela rendu service. La légende était née et le nouveau nommé saint Christophe devint le sympathique patron de tous les voyageurs !

Il y a bien plus grand que de porter le Christ sur ses épaules, c’est de le porter vivant et agissant dans son âme ! En ce sens, très antique, tous les chrétiens devraient être des Christophes, des porteurs du Christ. Mais acceptons aussi la dévotion populaire et ne craignons pas de prier ce saint pour que nous ayons une bonne conduite et évitions tous les dangers de la route !

Pratique : Une petite prière avant chaque voyage…

Vendredi 26 juillet : Sainte Anne

Beaucoup de filles ont amassé des richesses ; toi, tu les as toutes surpassées. Tiré de la liturgie du jour.

C’est grâce à l’évangile apocryphe (ce mot indique un livre qui prétend appartenir à la Bible mais qui n’a pas été retenu par l’Eglise pour en faire partie) de Jacques que la dévotion catholique envers Anne et Joachim, les parents de la Vierge Marie, a pris son essor. On ne sait rien de la vie de sainte Anne, mais quand on sait l’importance de l’éducation et son impact dans la vie d’une personne, on imagine que devait être exceptionnelle celle qui a éduqué la Très sainte Vierge Marie ! Dés le 6° siècle, une Eglise à Constantinople lui est consacrée, et on trouve au 8° et 9° siècle la trace de sa dévotion à Rome. Nous aurons une pensée particulière aujourd’hui pour tous nos amis bretons qui vénèrent particulièrement saint Anne depuis qu’elle apparut à Nicolazic au 17° siècle à Auray. Anne lui fit découvrir une antique statue par laquelle les anciens armoricains la vénéraient et une grande basilique fut construite.

Saint Anne étant la grand-mère du Seigneur, nous veillerons aussi aujourd’hui à prier particulièrement pour les grands-mères et les grands-pères ! Bien des enfants doivent à leur grand-mère ou grand-père d’avoir reçu quelque chose de la foi, de la prière, et un exemple de vie chrétienne qui les a souvent marqué pour la vie. Puissent les grands-parents continuer demain encore ce ministère si précieux !

Pratique : Prions pour que les grands-parents veillent à la transmission de la foi

Jeudi 25 juillet : Saint Jacques le Majeur, apôtre

Seigneur, qu’aidé par l’assistance de votre Apôtre Jacques, votre peuple mène une vie qui vous soit agréable et vous serve avec tranquillité et confiance. Tiré de la liturgie du jour.

Avec saint Jacques le Majeur, nous parlons aujourd’hui d’un personnage central, tant dans la Bible que dans l’histoire chrétienne ! La Bible nous rapporte que Jacques venait de Galilée et fut un des premiers appelés par le Seigneur à la suivre. Jésus le surnomma, avec Jean son frère, Boanergès, c’est-à-dire fils du tonnerre ! C’est dire le caractère de notre saint… Jacques faisait partie du groupe des privilégiés choisis par Jésus pour assister aux évènement majeurs de son existence comme sa transfiguration et son Agonie. L’Evangile de sa fête nous rappelle qu’il visait les plus hautes charges, et que le Seigneur lui révéla que sa grande mission serait de « boire la même coupe » que Lui-même, c’est-à-dire de donner sa vie en témoignage. Cela arriva vers l’an 42, au témoignage des Actes des Apôtres, tout près de la fête de Pâques. Hérode Agrippa le fit décapiter, il fut le premier apôtre à mourir pour le Seigneur. Des textes anciens rapportent qu’il pardonna à son bourreau. Depuis le 9° siècle son corps se trouve à Compostelle en Galice, où il fut l’objet d’une immense vénération dans tout l’occident qui multiplia les pèlerinages à son tombeau. Saint Jacques est d’ailleurs souvent représenté en habit de pèlerin avec la célèbre coquille « saint Jacques » au chapeau.

Beaucoup pensent que leurs défauts les empêchent de se mettre au service de Dieu. Grave erreur… Seriez vous aussi colériques que saint Jacques, et aussi brutal que lui ? Paresseux comme une loche, ou orgueilleux comme un paon ? Fortement impur ou toujours tenté de gourmandise ? Venez comme vous êtes, comme on dit maintenant, Jésus prend tout le monde ! Mais mettez vous pour de vrai au travail pour le Royaume de Dieu !

Pratique : Une bonne œuvre au service de Dieu

Mercredi 24 juillet : De la férie, mémoire de sainte Christine

Les pécheurs m’ont attendu pour me perdre, mais j’ai gardé, Seigneur vos enseignements ! Tiré de la liturgie du jour

En ce 24 juillet, nous fêtons non pas une , mais bien deux saintes Christines séparées d’environ 100 ans ! La première mourut à Tyr à la fin du 2° siècle. Les orientaux l’ont surnommée la grande martyr, en admiration de son courage devant les tortures. La seconde mourut, martyr elle aussi, un siècle plus tard à Bolsène en Italie. Le martyrologe raconte que cette adolescente d’environ 14 ans osa briser les idoles d’or et d’argent de la maison de son père en témoignage de foi, et elle en distribua l’argent aux pauvres ! Le père, furieux la fit mettre à mort. Cette sainte, une des patronne de la Sicile, l’est aussi du visage voisin de Soliès-Pont dans le Var !

Les glorieuse martyres des temps passés, nous rappellent qu’il n’est jamais facile d’être chrétien. Laissons de coté l’espoir de plaire au monde ou d’être populaire ! Plus que notre réputation, plus que la richesse, plus que les facilités et même parfois plus que la famille, c’est l’amour de notre Maître qui doit être la loi de notre vie. Que les saintes Christines inspirent encore les chrétiens d’aujourd’hui !

Pratique : Sachons aujourd’hui renoncer à une facilité de note vie pour dire au Seigneur qu’il est le premier dans notre vie.

Mardi 23 juillet : Saint Apollinaire

Il y eut parmi les disciples une dispute : lequel d’entre eux devait passer pour le plus grand. Et Jésus leur dit : « …que le plus grand parmi vous devienne comme le plus jeune, et celui qui gouverne comme celui qui sert. » Tiré de l’Evangile de la fête.

Selon le bréviaire, saint Apollinaire serait originaire d’Antioche et aurait été disciple de saint Pierre. C’est ce même saint Pierre qui, depuis Rome, l’aurait envoyé évangéliser Ravenne. Il y aurait beaucoup travaillé et multiplié les miracles, amenant de nombreuses conversions et l’établissement solide du catholicisme dans la ville. Cette ville de Ravenne devint très célèbre par la suite (Elle fut la résidence de l’empereur romain à une époque), et y fut bâti, au 6° siècle, une splendide basilique en l’honneur de son patron : saint Apollinaire. Dans l’abside de cette basilique, saint Apollinaire est représenté dans une antique mosaïque, en train de prier dans le Paradis. Il mourut martyr un 25 juillet, peut-être de l’an 75. Sa Messe fait écho a un fait amusant de l’histoire. Devant l’importance que Ravenne avait pris à une époque, ses évêques refusèrent la soumission au Pape. Alors dans la Messe de saint Apollinaire on choisit le passage où Jésus s’oppose à la dispute de ses disciples qui voulaient savoir qui était le plus grand, en recommandant l’humilité du service !

Nous avons été créés pour servir. N’est-ce pas une fierté d’avoir fondé une famille et élevé des enfants ? Ou d’avoir travaillé consciencieusement pendant de longues années ? Ou encore d’avoir consacré sa vie à Dieu ? Quelle que soit notre mission, faisons là de tout cœur et même remercions Dieu de nous faire ainsi confiance…

Pratique : Aujourd’hui nous serons attentifs à servir les autres

Lundi 22 juillet : Sainte Marie Madeleine

Prenez part à ma joie vous tous qui aimez le Seigneur, car celui que je cherchais m’est apparu.Et tandis que je pleurais auprès du sépulcre, j’ai vu le Seigneur ! Tiré de la liturgie du jour.

Qui était sainte Marie-Madeleine ? La question peut sembler bizarre, mais elle ne l’est pas ! L’Evangile mentionne en effet à trois endroits différents une femme qui pourrait lui correspondre: La pécheresse qui arrosa les pieds de Jésus de ses larmes au chapitre 7 de saint Luc (L’évangile du jour). Marie de Béthanie, la sœur de Marthe et Lazare. Vous savez, celle qui écoutait, captivée, les paroles de Jésus tandis que sa sœur faisait tout le service… Et enfin Marie de Magdala, délivrée de sept démons par notre Seigneur, et qui fut témoin de la mort et de la résurrection du Seigneur. Voilà pourquoi en occident, avec saint Grégoire et saint Augustin, on pensa que ces trois femmes n’en faisaient qu’une ! Mais en Orient la Tradition est de fêter ces trois femmes comme différentes.

Sans prétendre trancher cette querelle, je remarquerai simplement que saint Marie-Madeleine fut immensément aimée des chrétiens au cours des siècles. Elle est un tel signe d’espérance pour les pécheurs que nous sommes tous ! Comme le dit saint Grégoire, quand on entend Jésus dire que ses péchés sont pardonnés parce qu’elle a beaucoup aimé, on a plus envie de pleurer que de discourir… Et avec tous les chrétiens des siècles passé, nous prions sainte Marie Madeleine de nous monter ce chemin du pardon des péché et du véritable amour ! Sainte Marie Madeleine, priez pour les pécheurs, priez aussi pour nos provençaux qui vous ont choisi comme patronne !

Pratique : Dans notre prière, n’oublions pas de dire au Seigneur que nous l’aimons.

Dimanche 21 juillet : 9° dimanche après la Pentecôte

Si tu connaissais, toi aussi, au moins en ce jour qui t’est donné, ce qui te procurerait la paix ! Tiré de l’évangile du jour.

On l’a dit des milliers de fois, mais cela fait toujours autant de joie de le redire, Jésus est bon pour les pécheurs que nous sommes tous ! En voulez vous un exemple supplémentaire ? Voyez ce qu’Il dit aujourd’hui à la ville de Jérusalem dans l’Evangile. Si tu connaissais, toi aussi, au moins en ce jour qui t’est donné, ce qui te procurerait la paix ! L’infidélité de Jérusalem ce n’est pas nouveau… Et Jésus pourrait légitimement reprocher à cette ville d’avoir repoussé saint Jean Baptiste, de n’avoir pas bien accueilli saint Joseph et la sainte Vierge, et même d’avoir été relativement indifférent à sa prédication.. Mais aujourd’hui au moins, au jour des Rameaux, quand Il rentre glorieux dans sa ville, on pourrait s’intéresser à Lui ! Si Jérusalem se tournait vers Lui au moins une fois sincèrement, et Jésus effacerait d’un coup des années de tiédeur…

Mais hélas, mille fois hélas, Jérusalem n’écoutera pas, encore une fois, la parole de paix et de joie que Jésus venait lui porter… Vous saisissez l’avertissement ? Attention au danger d’endurcissement du cœur ! Parce qu’après Jérusalem, ce danger nous menace nous aussi. C’est si facile de garder rancune sans jamais pardonner, c’est si facile de se laisser prendre dans l’indifférence religieuse et ne plus rien faire pour le Seigneur, c’est si facile de ne s’occuper que de soi et ne plus regarder les pauvres et les souffrants… Il suffit de multiplier les péchés sans s’en repentir et d’étouffer la petite voie intérieure qui nous reproche régulièrement nos fautes. L’Evangile d’aujourd’hui est un bon avertissement pour nous tous : Prions pour éviter le malheur terrible de l’endurcissement du cœur !

Pratique : Demander au Seigneur de ne jamais s’endurcir

Samedi 20 juillet : Saint Jérôme Emilien

La religion pure et sans tache devant notre Dieu et Père, c’est d’avoir soin des orphelins et des veuves dans leur détresse, et de se garder pur des souillures de ce monde. Tiré de la liturgie du jour

Saint Jérôme Emilien fut, lui aussi, un magnifique exemple de charité, et il l’exerça envers les orphelins. Il naquit à Venise de la famille patricienne des Emiliani. D’abord soldat, il dut combattre pour Venise mais fut emprisonné dans un sinistre cachot. Une fervente prière à Marie lui valut d’en être miraculeusement tiré. Revenu à Venise, il ne veut servir que Dieu désormais, en se dévouant auprès de ceux qui souffraient. Il eut une immense compassion pour les enfants orphelins qui erraient dans la ville, et érigea pour eux de nombreux orphelinats où il les soignait et leur enseignait la foi catholique. A Somasque, près de Bergame, il fonda sa congrégation appelée les Somasques, qui se dévouèrent aux orphelins et à l’éducation chrétienne des enfants en général. Il mourut comme il l’avait prédit, le 8 février 1537, victime de la peste et de son dévouement pour ceux qui étaient atteints de ce fléau.

Habituellement quand Dieu veut qu’une œuvre nouvelle naisse dans son Eglise, il en fait ressentir le besoin dans le cœur de ses amis. Ainsi saint Jean Bosco, saint Joseph Calansanz, et saint Jérôme Emilien ressentirent combien les enfants abandonnés avaient besoin de secours. Ils répondirent à l’appel de Dieu et firent briller dans l’Eglise leur merveilleux dévouement. Sachons, nous aussi, avoir le cœur ouvert aux détresses de notre temps que le Seigneur nous montrera !

Pratique : Prier pour les enfants abandonnés d’aujourd’hui

Vendredi 19 juillet : Saint Vincent de Paul

Il m’a envoyé pour évangéliser les pauvres, guérir ceux qui ont le cœur brisé. Tiré de la Messe propre du jour.

Avec saint Vincent de Paul, nous fêtons une immense figure de la foi catholique, dont la réputation est encore profondément positive dans notre monde sécularisé. Il naquit à Pouy dans les Landes le 24 avril 1581, et jusqu’à 15 ans il gardera les cochons. Son père remarque ses dons intellectuels et veut assurer l’avenir de sa famille : Il sera « d’Eglise ». Après des études sérieuses à Toulouse, il devient Prêtre le 23 septembre 1600; il a 19 ans. La première partie de sa vie de prêtre est peu édifiante, même s’il aura toujours un grand amour des pauvres. Il cherche une réussite humaine et une bonne place, ce qui était fréquent, hélas, à l’époque… Mais, arrivé à Paris, il se lie au milieu dévot dominé par Pierre de Bérulle qui devient son directeur spirituel et l’incite à devenir curé de Clichy. Il est touché par la piété du peuple des campagnes. Plus tard il devient précepteur de la famille de Gondi qui lui demande de faire des missions pour les habitants de leurs terres. Et là, à Gannes, il assiste un mourant de grande réputation chrétienne qui se confie à lui et lui avoue qu’il a caché un péché en confession depuis des années.

C’est un choc pour saint Vincent : Cet homme n’a donc jamais rencontré de prêtre rempli de bonté pour l’aider dans sa démarche ! Vincent comprend la leçon et va se donner entièrement au Royaume de Dieu. Aumônier des galères, organisateur de grandes œuvres de charité (enfants trouvés, pauvres, filles perdues, victimes de la guerre), fondateurs des filles de la charité (vous savez : les religieuses en cornettes blanches dans les 2 cv…), fondateurs des prêtres de la Mission, réformateur du clergé parisien, inspirateur des mission à l’étranger, il fait tout ! Il meurt à Paris le 27 septembre auréolé d’une immense réputation.

Si nous pouvions être, pour ceux que nous rencontrerons, une vraie image de la bonté de Dieu !

Pratique : Un acte de charité envers un pauvre

Jeudi 18 juillet : Saint Camille de Lellis

J’étais malade, et vous m’avez visité. En vérité, je vous le dit : toutes les fois que vous l’avez fait à l’un de ces plus petits d’entre mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait. Tiré de la liturgie du jour.

Saint Camille brilla d’un immense amour et dévouement envers les malades et les mourants. Il naquit au milieu du 16° siècle à Bucchianico dans le diocèse de Chieti, d’une mère déjà sexagénaire. Il n’eut pas une jeunesse très édifiante, mais à l’âge de 25 ans il se convertit au Seigneur, et voulut entrer, deux fois de suite, chez les capucins. Mais le Seigneur avait choisi autre chose pour lui, et se déclara alors une maladie qui l’obligea à sortir du couvent. Il fut alors chargé de la direction de l’hôpital des incurables à Rome : La Providence le menait vers les malades. Il se dépense sans compter auprès d’eux, tant pour les soigner que pour les guider vers le Ciel. A 32 ans, il ne craignit pas de reprendre les études au milieu d’enfants, et finit par devenir prêtre, et il fonda alors la Congrégation des Clercs réguliers ministres des infirmes. Les religieux de cet institut faisaient, en plus des trois vœux ordinaires, le vœu de soigner les pestiférés au péril même de leur vie. On imagine sans peine le bien que firent ces religieux ! Ayant dépensé tout sa vie dans la charité, il expira à Rome le 14 juillet 1614, à l’âge de 65 ans en récitant la prière des agonisants. Il est le patron des hôpitaux et des agonisants.

Que le visage du Christ Jésus t’apparaisse doux et joyeux ! C’est en disant cette partie de la prière des agonisants que saint Camille rendit son âme à Dieu. Comment douter de l’accueil du Seigneur pour celui qui s’est vraiment dépensé pour ceux qui souffrent ? Mais que nous sommes doués pour nous donner des excuses pour ne pas le faire !

Pratique : un acte de charité envers un malade ou un pauvre.