Samedi 12 octobre : De la sainte Vierge au samedi

Nous vous supplions, Seigneur, de garder votre famille par l’assistance continuelle de votre bonté, afin que, par votre protection, elle soit délivrée de toute adversité et qu’elle soit fervente dans la pratique des bonnes œuvres, pour la gloire de votre nom. Tiré de la liturgie du jour.

E la mia spada ! C’est mon épée ! C’est ainsi que le Padre Pio appelait son rosaire, et il le brandissait fièrement ! Sans doute connaissait-il l’histoire de Lépante de 1571 où, suite aux prières ferventes des confréries du rosaire, la flotte chrétienne fut miraculeusement avantagée, et put remporter la victoire contre les envahisseurs. Peut-être avait-il aussi entendu parler de la victoire de Petrovaradin en 1716 contre les turcs. Victoire que le Pape Clément XI attribua à la ferveur, là encore, des confrères du Rosaire qui avaient prié publiquement par milliers. Mais plus que tout, parce qu’il priait lui-même le rosaire, il savait les merveilles de victoire qu’il peut nous obtenir ! Ainsi quand il entendait parler d’une détresse, d’une souffrance, ou d’un pécheur endurci, il prenait son rosaire et priait la sainte Vierge de venir une nouvelle fois en aide aux pauvres hommes ! Qui saura dire les milliers de grâces qu’il a ainsi fait descendre sur les misères de notre terre ? Mais, au fait, s’il brandissait ainsi son fameux rosaire, son épée, devant ses visiteurs, ce n’était pas seulement pour dire qu’il priait pour eux, mais pour les encourager à entrer eux même dans l’armée sainte des priants du rosaire ! Hier comme aujourd’hui on embauche ! De nombreuses misères sont encore à porter !

Pratique : Prions notre chapelet fidèlement en ce mois.

Vendredi 11 octobre : Fête de la maternité divine de la sainte Vierge

Bienheureux le sein de la Vierge Marie, qui a porté le Fils du Père éternel ! Tiré de la liturgie du jour

Nous sommes aujourd’hui bien loin des discussions passionnées du Concile d’Ephèse, en 431, qui aboutirent à la condamnation de Nestorius, et pourtant ce Concile nous donna une définition très importante pour toute l’histoire de l’Eglise… Pour affirmer précisément que Jésus était à la fois Dieu et homme, les Pères du Concile (je parle bien de celui d’Ephèse…) définirent que Marie était la Theotokos, Celle qui a enfanté Celui qui est Dieu. On exprimait ainsi parfaitement qui était Jésus, et on se mettait à dire des choses merveilleuses sur Marie ! A la suite de cette définition, ce fut une explosion de joie dans Ephèse, et les fidèles, raconte-t-on, raccompagnèrent les évêques en cortège jusqu’à leur demeure, avec des flambeaux ! Et peu après, dans toute la chrétienté, ce fut une explosion de dévotion mariale, et l’on construisit de nombreuses églises dédiées à la Mère de Dieu. En souvenir de ce Concile, le Pape Pie XI en 1931, 1500 ans plus tard, dédia le 11 octobre comme la fête de la Maternité divine ; ce jour fut choisi comme jour d’ouverture du Concile Vatican II, et pour l’ouverture de l’année de la Foi demandée par le Pape Benoît XVI !

Nous devrions particulièrement prier pour l’Eglise aujourd’hui, pour que la foi soit proclamée toujours plus clairement. N’oublions pas non plus la leçon d’Ephèse

Pratique : Aujourd’hui, nous prenons le temps de réciter le Credo, comme affirmation forte de notre foi et de notre disposition à suivre le Seigneur

Jeudi 10 octobre : Saint François Borgia

Vous avez fait du bienheureux François votre glorieux imitateur dans le mépris des honneurs terrestres ! Tiré de la liturgie du jour.

Le bréviaire l’appelle le prodige des princes ! Arrière petit-fils du trop célèbre Pape Alexandre VI Borgia, descendant aussi de Ferdinand le Catholique, François de Borgia naquit à Gandie en 1510 et fut formé à la cour de l’empereur Charles-Quint. François y menait déjà une vie particulièrement pure et pieuse. Il épouse en 1529 Eléonore de Castro, dame d’honneur de l’impératrice Isabelle, il aura d’elle huit enfants. Très apprécié de l’empereur, François, gravira rapidement les échelons et sera nommé vice-roi de la Catalogne. Un épisode marquera profondément sa vie : l’impératrice Isabelle meurt en mai 1538. François est chargé d’accompagner et de reconnaître le corps à son arrivée à Grenade. En découvrant le visage décomposé de celle qui avait été si belle, il fut épouvanté et s’exclama : François, voilà ce que tu seras bientôt ! A quoi te serviront les grandeurs de la terre ? Plus jamais je ne servirai un seigneur mortel ! Il se décida alors de quitter la vie du monde dès que possible pour ne servir que le Seigneur. Devenu veuf, il réalisa son projet en entrant dans la Compagnie de Jésus, fit le vœu de ne jamais accepter aucune dignité, et y mena une vie exemplaire, impressionnant tous les princes par son exemple. Il refusera plusieurs fois le cardinalat qu’on lui proposait, mais acceptera par obéissance son élection comme troisième général de la Compagnie de Jésus. Il développera fortement l’ordre et son établissement dans les missions lointaines. Il mourut à Rome le 30 septembre 1572.

Notre vie s’écoule souvent dans les illusions de ce monde… Quelle grâce alors quand le Seigneur nous rappelle que ce monde passe ! Saint François Borgia, devant la dépouille d’Isabelle, comprit la leçon de Dieu et en tira les conséquences, avons nous cette sagesse ?

Pratique : Aujourd’hui, nous éviterons tout ce qui peut nous mettre en avant.

Mercredi 9 octobre : Saint Jean Léonardi

Mon coeur s’est enflammé… le zèle de votre maison m’a dévoré ! Tiré de la liturgie du jour.

Saint Jean Léonardi est peu connu en France, sans doute parce qu’en ce jour on fêtait saint Denis dans bien des diocèses. Sa vie est cependant admirable ! Il naquit à Diecimo dans la province de Lucques, en 1541. Sa jeunesse fut pieuse, et sa passion était les médicaments ! Il choisit donc le métier de pharmacien – d’apothicaire, comme on disait alors – et travailla dix ans pour obtenir la science nécessaire à ce travail. Mais une fois sa formation achevée, et sous l’influence d’un groupe de jeunes chrétiens fervents, il se dirigea vers le sacerdoce qu’il reçut à l’âge de 31 ans. Il allait maintenant guérir les âmes… Comme tous les saints prêtres de cette époque, il souffrait du pauvre état de l’Eglise et désirait ardemment qu’elle se réforme par une recherche profonde de la sainteté. Il fonda alors la congrégation des Clercs réguliers de la Mère de Dieu, en 1574. Le souci de missions l’habitait aussi, il travailla avec le cardinal Vivès à former des prêtres qui se consacreraient au difficile labeur missionnaire. Il mourut à Rome le 9 octobre 1609 d’une fièvre contractée auprès des malades qu’il visitait. Il est le patron des pharmaciens.

le zèle de votre maison m’a dévoré ! Confronté aux misères de l’Eglise, saint Jean Léonardi n’a pas perdu son temps à critiquer ou à se désoler. Il s’est donné tout entier à Dieu et à ses frères, faisant ainsi jaillir un merveilleux témoignage dans un monde difficile. Et nous, où en sommes-nous, de l’amour de Dieu et de nos frères ?

Pratique : Aujourd’hui, soyons attentifs à la bonté envers notre prochain.

Mardi 8 octobre : Sainte Brigitte

Si quelqu’un n’a pas soin des siens et surtout de ceux de sa maison, il a renié la foi, et il est pire qu’un infidèle. Tiré de la liturgie du jour

Brigitte, de descendance royale, naquit à Uppsala en Suède, l’an 1303. Elle fut une enfant pieuse, marquée mystérieusement, à l’âge de dix ans, par la vue du Seigneur en sa Passion. Le Seigneur lui dit alors : Regarde, ma fille, comme j’ai été traité ! Elle répondit : Et qui vous a traité si cruellement ? Jésus reprit : Ceux qui me méprisent et sont insensibles à mon amour pour eux ! Depuis ce jour, elle conçut une grande dévotion à ce mystère. Elle épousa Ulfon, prince de Méricie, et lui donnera 8 enfants qu’elle élèvera très chrétiennement. Son amour des pauvres était proverbial et sa vie était si charitable qu’elle porta son mari à une authentique vie chrétienne. Ulfon finira même par entrer dans un monastère cistercien peu de temps avant de mourir ! Devenue veuve, Brigitte ne voulait s’occuper que des choses divines. Elle fondera à Wastein, en Suède, l’ordre du Saint Sauveur, dont on appelle les religieuses les Brigittines. Celles-ci portent sur leur voile le symbole de la couronne d’épines… Brigitte eut aussi une profonde influence sur son temps, tant auprès du Pape, qu’elle poussait à revenir à Rome, qu’auprès du peuple chrétien par ses révélations mystiques. De nombreuses bénédictions sont attachées aux fameuses quinze oraisons qu’elle reçut du Christ Lui-même, si du moins on les récite une année durant… Elle mourut à Rome, lors d’un pèlerinage, le 23 juillet 1373, et fut nommée co-patronne de l’Europe par le Pape Jean-Paul II, le 8 septembre 1991.

Notre époque décadente nous a privé de la joie d’avoir des souverains chrétiens ! Mais on imagine sans peine le rayonnement de celui qui unit le pouvoir et la sainteté… Sachons nous en souvenir pour la famille qui nous a été confiée ici-bas. Si quelqu’un n’a pas soin des siens et surtout de ceux de sa maison, il a renié la foi, et il est pire qu’un infidèle.

Pratique : Offrons quelques sacrifices au cours de la journée.

Lundi 7 octobre : Notre Dame du Rosaire

Il n’y a rien d’impossible à Dieu ! Tiré de l’évangile du jour.

Faire une fête avec une dévotion, ce n’est pas fréquent dans l’Eglise ! Mais avec le chapelet, on pouvait bien faire une exception, notamment en souvenir de la bataille de Lépante. Car cette victoire chrétienne fut un signe extraordinaire du Ciel ! En effet, les Turcs musulmans se proposaient d’envahir tout l’occident chrétien, et leur armada, réputée invincible, allait de victoire en victoire. Le 7 octobre 1571, près des îles Echinades proches de la Grèce, l’armada chrétienne, réunie sous l’impulsion du Pape saint Pie V, affrontait donc un terrible ennemi. Le Pape avait spécialement demandé aux confréries du Rosaire qui fleurissaient depuis le bienheureux Alain de la Roche, d’implorer la protection de la sainte Vierge sur les armées défendant la chrétienté. La bataille s’engagea donc ce matin-là, raconte Jean Dumont, et elle s’engagea mal pour les chrétiens suite à une habile manœuvre de l’amiral Oulouch Ali. Mais, en un instant, on vit un nuage passer dans le ciel, et le vent se mit à tourner, avantageant incroyablement la flotte chrétienne. Le succès fut écrasant : pour une douzaine de vaisseaux perdus, la flotte chrétienne avait détruit près de 300 navires adverses. Fait miraculeux supplémentaire, le Pape eut la révélation de la victoire le jour même, bien avant que la nouvelle arrive à Rome ! Plus tard, à Fatima, la sainte Vierge, sous le titre de Notre Dame du Rosaire, viendra encore nous rappeler l’extraordinaire puissance de cette prière.

Dans un monde qui nous envahit de bruit, de divertissements, ou de travail, et qui suggère que la prière ne sert à rien, quelle bataille de vouloir encore prier ! Pourtant aujourd’hui comme hier, ceux qui prendront leur chapelet sont ceux qui feront bouger ce monde !

Pratique : Une promesse à la sainte Vierge de prier le chapelet durant ce mois.

Dimanche 6 octobre : 20° dimanche après la Pentecôte

Va ton fils vit !

Des guérisons, il y en a beaucoup dans l’Evangile, et de toutes les sortes… Mais celle d’aujourd’hui est vraiment spéciale : Elle semble partir d’un dialogue de sourds ! L’officier demande à Jésus de venir chez lui guérir son fils, et Jésus répond : Si vous ne voyez des signes et des prodiges, vous ne croyez pas ! L’autre insiste : Seigneur, descendez avant que mon fils ne meure ! Jésus lui répond : Va, ton fils vit… Et l’officier reviendra chez lui seul… mais comme il a obéi au Seigneur, il obtiendra la guérison pour son fils et, en prime, la foi pour toute la famille !

Nous-mêmes, comme cet officier, nous sommes souvent centrés sur nos problèmes, et nous ne comprenons pas que le Seigneur ne nous accorde pas tout, et tout de suite. Mais le Seigneur voit le fond des cœurs, et Lui, Il veut que nous grandissions dans la foi, l’abandon et la confiance… Lors des apparitions de Fatima (le 13 octobre 1917 !), on constate cette même conduite : Lucie dit à la sainte Vierge : J’avais beaucoup de choses à Vous demander : de guérir des malades et de convertir des pécheurs… Notre Dame répondit : Les uns oui, les autres non. Il faut qu’ils se corrigent, qu’ils demandent pardon pour leurs péchés… Redevenir de petits enfants, comme nous le demande l’Evangile, n’est-ce pas aussi apprendre à faire confiance au Seigneur en toutes choses ?

Pratique : Faire un acte d’offrande pour dire à Dieu notre disponibilité à sa volonté.

Samedi 5 octobre : De la férie

Les yeux de toutes les créatures espèrent en vous, Seigneur, et vous leur donnez la nourriture en temps opportun… Tiré de la liturgie du jour.

Parlons un peu de la belle dévotion au chapelet… Le saint Curé d’Ars priait beaucoup le chapelet. Tout enfant, il le récitait déjà avec ferveur, et comme curé d’Ars il aimait montrer aux enfants du catéchisme le chapelet de sa première communion qu’il gardait toujours dans sa poche ! Qui dira le nombre de fois où il l’a récité ? Sur les routes des Dombes, il disait qu’en disant le chapelet le temps lui passait bien vite ! Et quand il arrivera à Ars, devant sa paroisse presque vide, il commencera pas instituer une confrérie du Rosaire. Il y regroupa plusieurs jeunes filles pieuses qui priaient le chapelet tous les jours et c’est sans doute une des origines de la conversion de sa paroisse.

Avons nous la même foi que lui ? Savons la valeur précieuse des quelques instants que nous prenons dans notre journée pour se mettre tout proche de Marie ? Si nous avions des lunettes qui nous permettaient de voir le monde surnaturel ! Si nous voyions descendre les grâces par la sainte Vierge ! Si nous voyions la différence entre les journées ensoleillées où nous avons prié Marie et celles, sombres, où nous ne l’avons pas prié, nous serions vraiment stupéfaits ! Ne gaspillons pas les journées de notre vie, mais vivons les à fond en les illuminant de notre chapelet !

Pratique : Réciter le chapelet

Vendredi 4 octobre : Saint François d’Assise

je porte sur mon corps les stigmates du Seigneur Jésus… Tiré de la liturgie du jour.

François naquit à Assise en Ombrie l’an 1182. Fils d’une famille aisée, il devient vite le chef de la jeunesse dorée d’Assise qui passe son temps en fêtes et réjouissances. Mais un jour sonne l’heure de Dieu sous la forme d’un mendiant lépreux. Devant lui tout d’abord François passe son chemin en se bouchant le nef, mais, bientôt honteux de son geste, il vient lui apporter un aumône et embrasse ce lépreux. Son cœur alors changea, il aimait alors s’occuper des pauvres, et prier. Entrant dans l’église saint Damien, il entendit une voix venue du crucifix : Va François et répare ma maison ! Saint François se dévoue dorénavant à toutes les bonnes œuvres, distribuant ses richesses ce qui amena une violente colère chez son père qui le traduisit devant l’évêque d’Assise. Là, François renoncera publiquement à tous ses biens et ne pensa désormais qu’à Dieu. En entendant l’Evangile qui disait qu’il ne fallait posséder ni or ni argent, il se décida de suivre la plus stricte pauvreté et de prendre l’Evangile pour règle. Il réunit bientôt quelques compagnons et vint se présenter à Rome pour faire reconnaître sa forme de vie. Le Pape l’éconduisit d’abord poliment, mais, la nuit suivante il vit en songe l’Eglise en train de s’effondrer soutenue par ce drôle de mendiant venu lui demander sa bénédiction. Il reconnut alors son ordre… Son ordre se développa extraordinairement faisant un bien considérable. François était transporté d’amour pour le Christ en Croix, et eut la grâce de recevoir en sa chair les marques de la Passion du Seigneur : les stigmates. Il mourut le 4 octobre 1228.

Rarement un saint fut aussi populaire que saint François. Et sa vie extraordinairement pauvre et évangélique sembla à ses contemporains comme un nouveau printemps du christianisme. Le livre des Fioretti raconte l’incroyable idéal de François et des premiers compagnons, et la joie extraordinaire qui les habitait en conséquence. Si François pouvait nous convaincre que suivre Notre Seigneur est trouver la vraie joie !

Pratique : Rester joyeux en toutes choses comme l’enseignait saint François qui aimait dire : Ma pauvreté regarde le Seigneur, les autres attendent ma joie !

Jeudi 3 octobre : Sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus

celui qui se fera petit comme cet enfant, …est le plus grand dans le Royaume des cieux ! Tiré de l’évangile de la fête de sainte Thérèse.

Saint Pie X l’appelait la plus grande sainte des temps modernes ! C’est dire l’importance de sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus… Elle naquit à Alençon le 2 janvier 1873 dans une famille profondément croyante, ses sœurs entrèrent toutes dans des couvents et ses parents ont été béatifiés en 2008 ! A quatre ans elle connaît le drame de perdre sa mère et en reçoit un violent choc psychologique. Quand, cinq ans plus tard, sa sœur Pauline qui remplaçait pour elle sa mère, annonce son entrée au Carmel, elle chute dans une étrange maladie nerveuse à laquelle on pense qu’elle ne survivra pas. Cependant le 13 mai 1883, jour de la Pentecôte, elle est miraculeusement guérie en voyant le sourire de la sainte Vierge. A Noël 1886 elle reçoit une nouvelle grâce de force, et se sent appeler à sauver les âmes. Grâce à une dispense de l’évêque, elle entrera au Carmel à 15 ans. Thérèse y vivra 5 ans, connaissant de grande épreuves intérieures et découvrant ce qu’elle appellera « sa petite voie », c’est-à-dire l’attitude d’amour et de confiance totale que nous devrions toujours avoir vis-à-vis de Dieu. A partir des manuscrit qu’elle rédigera, on écrira l’histoire d’une âme, livre répandu et aimé universellement. Elle mourra de la tuberculose le 30 septembre 1897. Après sa mort se déclenchera une véritable avalanche de grâces pour ceux qui la prient, rendant sainte Thérèse populaire dans le monde entier. Elle sera béatifiée, canonisée, nommée patronne des mission, patronne secondaire de la France, et même docteur de l’Eglise par le Pape Jean-Paul II en 1997.

Quand on lit l’histoire d’une âme, on est frappé par l’immense amour de sainte Thérèse pour Jésus, et combien cela la rendait heureuse. Et si nous suivions, nous aussi, ce chemin tout à fait à notre portée ?

Pratique : Lire quelques pages de l’histoire d’une âme.