Dimanche 14 juin : Solennité du très saint Sacrement

Que la louange soit pleine et vivante ; qu’elle soit joyeuse et magnifique, la jubilation de l’âme ! Tiré de la liturgie du jour

Dans l’Eglise, c’est le Seigneur Lui-même qui vient souvent réveiller la tiédeur des chrétiens. C’est ce qui s’est passé avec la fête du Très saint Sacrement. En 1208, une sainte religieuse hospitalière des environs de Liège, Julienne du Mont-cornillon, eut une apparition: Elle voyait une sorte de lune dans le ciel, mais dont il manquait un petit bout pour être parfaite. Une voix du ciel lui révéla ce mystère : Cette lune représentait le cycle des fêtes de l’Eglise et l’échancrure qu’elle avait remarqué, indiquait qu’il manquait un fête pour que ce cycle soit parfait : Il fallait une fête en l’honneur du Très Saint Sacrement ! C’est la fête que nous solennisons ce dimanche. Normalement, en plus de la Messe solennelle, une procession devrait être faite en ce jour, autant que possible, pour marquer la dévotion et la foi des fidèles.

Pour vous encourager à y participer, voici l’histoire et le sens de la procession du très saint Sacrement. Les processions sont très ancienne dans l’histoire des hommes. Des fresques égyptiennes de l’antiquité nous montrent déjà des processions en l’honneur des défunts ! Processionner pour quelqu’un c’est lui rendre honneur. C’est aussi symboliquement passer sa vie avec lui. Comment ne le ferait on pas pour Dieu ? Dés l’origine du christianisme on fait des processions en l’honneur de la Passion et de la résurrection de Jésus. En 1318, le Pape Jean XXII demanda qu’une procession soit faite à l’occasion de la toute récente fête du très saint Sacrement. Il souhaitait que le passage de Jésus dans l’Hostie sanctifie et bénisse les rues et les chemins ! Quelle décision magnifique et qui fut si pleine de fruits ! Ayons à cœur d’acclamer le Seigneur en ce jour ! C’est le moment de se bouger pour notre Maître !

Pratique : Une dévotion publique envers le très saint Sacrement

Samedi 13 juin : Saint Antoine de Padoue

Que la solennité annuelle de votre Confesseur et Docteur, le bienheureux Antoine, réjouisse votre Église, ô Dieu, afin qu’elle soit toujours munie des secours spirituels et qu’elle mérite de goûter les joies éternelles. Tiré de la liturgie du jour.

Dans chaque église vous trouverez sa statue ! C’est vous dire si saint Antoine de Padoue est populaire ! Le jeune Fernando naquit à Lisbonne au Portugal en 1195 de parents d’illustre noblesse. Il entra à 15 ans chez les chanoines de saint Augustin à Coïmbra, immense centre de culture, et prit le nom d’Antoine. Un jour on accueillit au monastère les reliques de cinq frères franciscains récemment morts martyrs après avoir essayé d’évangéliser les « sarrasins » comme on disait alors. Saint Antoine, très ému de leur courage, décida de devenir franciscain et d’aller, lui aussi, évangéliser les pays musulmans. Mais le bateau qui devait se rendre au Maroc fut dévié par le vent et les courants et il arriva en Italie. Il devint alors un prédicateur populaire extraordinaire. Sa vie est remplie de miracles merveilleux : Un jour que les hommes ne voulaient pas entendre sa prédication, il s’adressa aux poissons qui vinrent en foule entendre ses profondes paroles. A Montpellier, un homme refusait de croire que le Seigneur était là dans l’Eucharistie. Saint Antoine obtint de Dieu que l’âne de cet homme se mit à genoux devant l’Hostie ! Un jour il bénéficia de l’apparition de l’Enfant-Jésus qu’il tenait dans ses bras. Il mourut à Padoue en 1231, fut canonisé l’année suivante et nommé docteur de l’Eglise en 1946. Sa langue fut trouvée miraculeusement incorrompue, elle est conservée dans un reliquaire.

Le vénérable texte suivant nous rappelle les miracles que fit ce grand ami de Dieu. Si vous cherchez des miracles, la mort, l’erreur, le malheur, le démon, la lèpre, s’enfuient ; les malades se lèvent guéris. On voit céder la mer, et les chaînes se briser, jeunes et vieux retrouver par la prière l’usage de leurs membres et les objets perdus. Les dangers s’évanouissent, le besoin cesse : à ceux qui l’éprouvent de le raconter, aux Padouans de le dire. Saint Antoine, vous qu’on prie particulièrement quand on recherche un objet perdu, continuez, dans la pénombre de nos églises, a ouvrir les cœurs à la présence de Dieu et à rendre populaire et aimable la religion catholique !

Pratique : Un don à saint Antoine pour les pauvres

Vendredi 12 juin : Saint Jean de Saint-Facond

Heureux l’homme qui a été trouvé sans tache, qui n’a pas couru après l’or, et qui n’a pas mis son espérance dans l’argent et dans les trésors. Tiré de la liturgie du jour

Jean, naquit à Saint-Facond, en Espagne, près de Burgos, l’an 1430. C’est un enfant pieux et qui cherche à conduire ses camarades vers le Seigneur. Il se dirige vers le sacerdoce, et devient favori de l’évêque de Burgos qui le comble d’avantages et de bénéfices. Mais saint Jean renonce à tout argent et poste, et devient chapelain d’une pauvre église d’où il exhorte les fidèles à la sainteté. Il rentre en 1464 chez les ermites de St-Augustin à Salamanque, ordre très austère de l’époque. Sa piété pendant la Messe était célèbre, il y eut plusieurs fois la vision de Notre Seigneur Jésus-Christ dans l’hostie comme un soleil splendide adoré par les anges… L’oraison de la Messe rappelle qu’il avait un don particulier pour apaiser les différents, ainsi il pacifiera Salamanque d’une révolte violente et sanglante.

Il mourut à Salamanque le 11 juin 1479.

Si nous pouvions voir ce que saint Jean de saint-Facond  voyait en célébrant la Messe ! Pourtant nous savons par la foi que Jésus est là, présent dans l’Hostie. Nous savons qu’Il répand des grâces par milliers pour les courageux qui trouvent le temps d’assister au saint Sacrifice, y compris même en semaine. Et nous avons tant de choses à demander pour nous et pour les autres, que Jésus serait prêt à nous accorder… La sainte communion et le saint sacrifice de la messe sont les deux actes les plus efficaces pour obtenir le changement des cœurs disait le saint Curé d’Ars. Hélas, les églises sont bien vides aujourd’hui et les Messes peu fréquentées… Comprendrons-nous un jour tout ce que nous manquons ?

Pratique: Assistons à la Messe si cela nous est possible ou unissons nous à une Messe célébrée.

Jeudi 11 juin : Fête du Très Saint Sacrement

C’est une vérité proposée aux chrétiens, que le pain devient la chair et le vin le sang du Christ. Tiré de la liturgie du jour.

Quel beau jour que celui de la fête Dieu et des premières communions ! Sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus s’en souvenait avec une immense émotion, et le saint Curé d’Ars, de son coté, voulait que toute la paroisse participe à la procession ! Pour y arriver, il avait même embauché les grands jeunes d’Ars, peu enclins à la piété, en leur demandant de mettre des pétards tout au long du parcours ! Les saints ont de ces audaces… Les amoureux de la liturgie, dont vous faites partie, ne manqueront pas de méditer ces jours prochains les merveilleuses prières composées par saint Thomas d’Aquin pour cette fête. De l’avis de tous les liturgistes ce sont des pures merveilles, un vrai monument d’art, de culture, de théologie et de piété !

Remarquez qu’avec l’Eucharistie, Notre Seigneur Jésus Christ a trouvé le moyen de répondre spirituellement aux besoins fondamentaux de tous les hommes. Nous avons besoin de manger ? l’Hostie nourrit notre âme ! Nous avons besoin d’ami, d’une compagnie ? Quelle meilleure que celle de Jésus dans l’Eucharistie ? Nous avons besoin d’amour et de protection d’espérance ? Une communion, bien faite, nous apporte la force et tout l’Amour de Dieu ! Même le plus tiède des chrétiens devrait se réjouir en ce jour qui nous apporte tant, et gratuitement !  Ah, si nous avions la foi, si nous étions bien pénétrés de la présence de Notre-Seigneur qui est là sur nos autels avec ses mains pleines de grâces, cherchant à les distribuer, avec quel respect nous serions en sa sainte présence ! Saint Curé d’Ars

Pratique : Passons un moment devant le Saint-Sacrement

Mercredi 10 juin : Sainte Marguerite d’Ecosse

Dieu, vous avez rendu admirable la bienheureuse reine Marguerite, en lui inspirant une extrême charité pour les pauvres : faites que, par son intercession et à son exemple, votre charité croisse continuellement dans nos cœurs.

Tiré de la liturgie du jour.

Marguerite naquit en Hongrie vers 1045. Elle était de noble famille descendant par son père des rois d’Angleterre et par sa mère des Césars ! Son père ayant été appelé aux plus hautes fonctions du Royaume d’Angleterre, elle vint s’y installer avec sa famille. Mais ce père mourut bientôt, et, alors qu’elle se préparait à revenir en Hongrie, une tempête la fit providentiellement arriver en Ecosse ! La, le roi d’Ecosse Malcolm III, touché par sa piété et sa perfection, s’éprit d’elle et alors, sur le conseil de sa mère, Marguerite épousa Malcolm et devint reine d’Ecosse. Ses trente années de règne furent une bénédiction pour l’Ecosse : Marguerite menait sur le trône une vie parfaite, veillant à pratiquer la pénitence et l’effort personnel (elle demandait souvent à son confesseur de lui indiquer franchement ses défauts !), éduquant bien ses huit enfants, veillant aux bonnes mœurs de tous, et favorisant particulièrement l’Eglise. Son amour des pauvres était proverbial : elle en nourrissait 300 quotidiennement à sa table. Elle mourut le 10 juin 1093, et le bréviaire nous rapporte que son visage, marqué par la souffrance devint splendide au moment de sa mort !

C’est pourtant clair et devant nos yeux ! Sainte Marguerite s’est gagné l’amour de son peuple par la bonté qu’elle avait envers les pauvres. Comme il serait souhaitable que tous les chrétiens rayonnent de cette même charité qui ouvre les cœurs et apporte la paix ! Où en sommes nous, nous mêmes ?

Pratique : un acte de charité envers un pauvre.

Mardi 9 juin : De la férie

Mes bien-aimés, Dieu est amour. L’amour de Dieu s’est manifesté parmi nous en ceci : Dieu a envoyé son Fils unique dans le monde, afin que nous vivions par lui. Tiré de la liturgie du jour.

Peut-être savez vous que le mois de juin est traditionnellement consacré au sacré Cœur de Jésus. Mais savez vous pourquoi ? C’est une bien belle histoire ! Depuis que Jésus était apparu en montrant son Sacré-Cœur à sainte Marguerite-Marie en 1673, la dévotion au Sacré-Cœur s’était répandue partout. Et, depuis le Pape Clément XIII en 1765, on fêtait spécialement la fête du Sacré-Cœur le vendredi qui suivait le deuxième dimanche après la Pentecôte. Mais voilà qu’une enfant très dévote au Sacré-Cœur, Angèle de Sainte Croix, élève du pensionnat notre Dame des oiseaux rue de Sèvres à Paris, eût une inspiration. Comme le mois de mai était consacré à la sainte Vierge Marie, pourquoi ne pas consacrer le mois de juin au Sacré-Cœur de Jésus ? Elle put adresser sa demande à Mgr de Quelen, archevêque de Paris qui apprécia l’idée et l’accepta en demandant qu’on prie pour la conversion des pécheurs et le salut de la France. Ainsi, chaque jour du mois de juin, on récitait une consécration au Sacré-Cœur de Jésus et on faisait le salut du très saint Sacrement.  Bientôt la dévotion se répandit dans tout le diocèse et plus loin, et fut finalement acceptée dans l’Eglise universelle par le Pape Pie IX.

C’est si beau l’Eglise, quand on voit que la simple dévotion d’une enfant a ainsi gagné l’Eglise universelle ! Gardons la fidélité à ses pratiques qui nous rappellent si bien l’immense amour de notre Sauveur pour nous !

Pratique : Réciter une consécration au Sacré-Cœur.

Lundi 8 juin : De la férie

Pourquoi vois-tu le fétu dans l’œil de ton frère, sans apercevoir la poutre qui est dans ton œil ? Tiré de l’évangile du jour.

En ce jour, nous célébrons la Messe du 1er dimanche après la Pentecôte, appelée autrefois le « dimanche de la miséricorde », qui ne se célèbre plus qu’en semaine, à cause de la fête de la très sainte Trinité. Mais comme amoureux et disciples de la liturgie, vous aurez à cœur de connaître cette Messe dont les textes sont très beaux, de l’avis de tous les liturgistes ! Avec cette Messe, nous avons quitté le temps pascal et sommes entré dans le temps ordinaire, le temps après la Pentecôte. Et, dans ce temps, l’Eglise nous parle du combat quotidien des chrétiens, église militante dans ce monde !

Et coté combat, ça commence fort avec un uppercut de Jésus qui, à travers la fameuse paille et la poutre,  nous signale combien notre jugement peut être mauvais ! Pourtant nous en sommes si fier de notre jugement ! On y est même très attaché… Sans voir combien nous pouvons être injustes ! Combien de fois rumine sur les injustices qu’on nous a faites, et même pendant des années… En revanche, nous attachons généralement peu d’importance aux indélicatesse que nous faisons aux autres ! Pensant qu’ils sont tout de même bien sensible de se vexer pour si peu… Et si nous mettions un peu d’ordre et d’évangile dans nos jugement intérieurs ? N’affirmer que des choses certaines, n’aller pas soupçonner le mal avant de l’avoir constaté, être prompt à excuser les autres et savoir demander pardon… En plus du bon Dieu, votre entourage vous en remercie d’avance !

Pratique : Lire les texte de la Messe

Dimanche 7 juin : Fête de la très sainte Trinité

Gloire soit au Père, au Fils et au Saint-Esprit ! Acclamation la plus fréquente de la liturgie !

La liturgie de l’Eglise consacre le premier dimanche après la Pentecôte à fêter particulièrement la Très sainte Trinité. Ce sont des chrétiens de France et de Belgique du début du X° siècle qui commencèrent à populariser cette dévotion en composant une Messe. Mais Rome refusa d’appliquer cette pratique, car pour elle, tous les jours et spécialement les dimanches, honorent la Très Sainte Trinité ! Il fallut attendre le 14° siècle pour que le Pape de l’époque (un français…) accepte cette célébration dans le calendrier, et nous en profitons donc aujourd’hui !

Un Dieu en trois personnes, quel mystère ! Ce dogme fascine et impressionne tant les théologiens chevronnés que les mystiques. Pour vous en dire quelque chose, j’ai donc appelé à l’aide l’ami qui nous accompagne tout au long de ce mot spirituel, et qui est le patron des curés du monde, le saint Curé d’Ars ! Voilà ce qu’il expliquait à ses fidèles d’Ars : Une âme pure fait l’admiration des Trois Personnes de la Sainte Trinité. Le Père contemple son ouvrage : « Voilà donc ma créature ! », le Fils, le prix de son sang – on connaît la beauté d’un objet au prix qu’il a coûté -, le Saint Esprit y habite comme dans un temple. Le saint Curé nous pousse donc a une relation avec chacune des personnes de la sainte Trinité… Parler au Père, comme à un père qui nous aime.  Considérer Jésus  comme notre plus grand ami. Vouloir aussi que le Saint-Esprit nous inspire tout particulièrement. Quel programme ! Pour cela il faut être une âme pure, souligne le saint Curé, c’est-à-dire qui cherche, plus que tout, la plus grande gloire de Dieu !

Pratique : Dire plusieurs fois dans la journée, l’acclamation « Gloire au Père »…

Samedi 6 juin : Samedi des quatre-temps de Pentecôte

Jésus prêchait dans les synagogues de Galilée. Tiré de l’évangile du jour.

Le samedi des quatre-temps de Pentecôte était, autrefois, un jour où l’on ordonnait les nouveaux prêtres. Parlons alors du service de l’Eglise !

C’est magnifique de méditer combien le Saint-Esprit veut embraser les cœurs des hommes. C’est superbe de lire les exploits des saints missionnaires des temps passés. C’est nécessaire de souhaiter une nouvelle évangélisation pour notre époque, car celui qui ne progresse pas, se condamne à court terme… Mais, par pitié, n’en restons pas là ! Ne nous contentons pas d’une vision romantique de l’apostolat remplie de bons sentiments ! Il faut agir, c’est-à-dire s’engager !

Si des jeunes, garçons ou filles, comprennent que l’Eglise a besoin d’apôtres, qu’ils entrent dans les séminaires et les couvents ! Si ce n’est pas leur vocation, qu’ils fondent une famille et s’y dévouent sérieusement ! Où sont les familles nombreuses d’autrefois, signes de la générosité des parents ? Et pour ceux qui ne seraient ni consacrés à Dieu, ni chargés d’une famille, pourquoi ne pas s’engager dans une œuvre évangélisatrice ? Partout j’entends dire qu’on manque de bénévoles dans les paroisses, de catéchistes, de visiteurs de personnes malades ou âgées, et même d’argent ! Où sont les donateurs ?

Jésus prêchait dans les synagogues de Galilée. Loin de tout romantisme, Jésus nous a laissé un exemple de dévouement au quotidien. En cette fin de temps pascal, posons nous sincèrement la question de ce que nous faisons  pour l’Eglise !

Pratique : Choisir un dévouement pour l’Eglise.

Vendredi 5 juin : Vendredi des quatre-temps de Pentecôte

Dieu de miséricorde, donnez à votre Église, nous vous en prions : que rassemblée par le Saint-Esprit, elle ne soit troublée en aucune façon par les attaques ennemies. Tiré de la liturgie du jour.

L’Esprit-Saint n’agit pas seulement dans le monde pour appeler tous les hommes à devenir chrétiens, il agit tout aussi puissamment dans l’Eglise. Autrefois on apprenait par cœur cette question de catéchisme : Que fait le Saint-Esprit dans l’Eglise ? Vous connaissez certainement la réponse, car vous êtes des chrétiens bien formés au catéchisme ! Le Saint-Esprit garde l’Eglise dans la vérité, la dirige, la sanctifie et la soutient dans ses luttes. Le Saint-Esprit est un peu comme un capitaine à la barre du navire, comme un jardinier penché sur les plantes de son jardin, comme un entraineur qui encourage son équipe. C’est un chef qu’on ne voit pas, qu’on a même du mal à discerner devant les misères des hommes qui constituent l’Eglise, mais Il est là, c’est ainsi, et Il est toujours fermement à son poste ! Quelle affirmation à la face de ce monde  qui refuse de voir en l’Eglise autre chose qu’un groupement humain parmi tant d’autres !

Nous ne l’avons absolument pas mérité, mais par une immense grâce de Dieu, nous avons été admis dans cette Eglise et sommes maintenant sous l’influence bienfaisante de cet l’Esprit d’Amour. Pleurons les péchés commis dans l’Eglise, et travaillons à changer les choses qui ne sont pas évangéliques, mais veillons à ne jamais la critiquer ! Comme nous souhaiterions que tous y rentrent pour leur plus grand profit !

Pratique : Un sacrifice pour l’Eglise