Dimanche 19 juillet : 7° dimanche après la Pentecôte

Gardez-vous des faux prophètes ! Tiré de l’évangile du jour

A écouter le monde médiatique d’aujourd’hui, on s’aperçois qu’une nouvelle race d’homme très dangereuse est apparue sur la terre, les complotistes ! Pensez donc ! Ces mauvais français qui imaginent que les responsables politiques d’aujourd’hui pourraient les manipuler et leur mentir. Qu’ils pourraient aussi agir parfois avec des arrières pensées politiques, et même en vue d’un intérêt personnel ! Incroyable de constater cela au 21° siècle ! Et pourtant Jésus semble bien de ce camp quand il déclare tranquillement dans l’Evangile à ses disciples, Gardez vous ! Ce même Jésus qui nous encourage si souvent à avoir confiance en Dieu et sa Providence, nous demande clairement de nous méfier des hommes. Et on doit bien se garder de tous, puisqu’on doit même soupçonner les moins douteux d’apparence, ceux qui se présentent au nom de Dieu, Gardez-vous des faux prophètes!  Jésus serait-il complotiste ?

La vérité est que Jésus sait ce qu’il y a dans l’homme. De belles choses y existent, mais aussi des misères, et la capacité à magouiller et tricher quand son intérêt est en jeu… Qui ne constate en lui-même cette triste tendance ? Même les saints savaient cela et on raconte que saint Philippe Néri, quand il quittait sa maison le matin disait à Jésus, en boutade, Seigneur, méfiez-vous de Philippe, ce soir il pourrait être devenu musulman ! L’évangile d’aujourd’hui est donc une terrible leçon de réalisme et d’exigence. Ayez confiance en Dieu, mais pas trop dans les hommes ! Et ne faites jamais l’impasse du discernement dans les choix de votre vie !

Pratique : Prions le Seigneur de nous donner la prudence

Vendredi 18 juillet : Saint Camille de Lellis

J’étais malade, et vous m’avez visité. En vérité, je vous le dit : toutes les fois que vous l’avez fait à l’un de ces plus petits d’entre mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait. Tiré de la liturgie du jour.

Saint Camille brilla d’un immense amour et dévouement envers les malades et les mourants. Il naquit au milieu du 16° siècle à Bucchianico dans le diocèse de Chieti, d’une mère déjà sexagénaire. Il n’eut pas une jeunesse très édifiante, mais à l’âge de 25 ans il se convertit au Seigneur, et voulut entrer, deux fois de suite, chez les capucins. Mais le Seigneur avait choisi autre chose pour lui, et se déclara alors une maladie qui l’obligea à sortir du couvent. Il fut alors chargé de la direction de l’hôpital des incurables à Rome : La Providence le menait vers les malades. Il se dépense sans compter auprès d’eux, tant pour les soigner que pour les guider vers le Ciel. A 32 ans, il ne craignit pas de reprendre les études au milieu d’enfants, et finit par devenir prêtre, et il fonda alors la Congrégation des Clercs réguliers ministres des infirmes. Les religieux de cet institut faisaient, en plus des trois vœux ordinaires, le vœu de soigner les pestiférés au péril même de leur vie. On imagine sans peine le bien que firent ces religieux ! Ayant dépensé tout sa vie dans la charité, il expira à Rome le 14 juillet 1614, à l’âge de 65 ans en récitant la prière des agonisants. Il est le patron des hôpitaux et des agonisants.

Que le visage du Christ Jésus t’apparaisse doux et joyeux ! C’est en disant cette partie de la prière des agonisants que saint Camille rendit son âme à Dieu. Comment douter de l’accueil du Seigneur pour celui qui s’est vraiment dépensé pour ceux qui souffrent ? Mais que nous sommes doués pour nous donner des excuses pour ne pas le faire !

Pratique : un acte de charité envers un malade ou un pauvre.

Vendredi 17 juillet : De la férie

J’entourerai l’autel et j’immolerai dans son tabernacle une victime avec des cris de joie : je chanterai et je dirai une hymne au Seigneur. Tiré de la liturgie du jour.

En parlant d’art chrétien, j’ai spontanément parlé des églises. C’est assez naturel parce que le premier art chrétien, qui nous frappe tous, c’est l’architecture. Dés qu’on voit une église, ou mieux, dés qu’on entre dedans, le mystère agit de suite et un message profond nous gagne. Si l’église est d’époque romane (du 11° au milieu du 12° siècle) les arrondis des voutes et l’atmosphère intimiste nous fait immédiatement penser à la prière, à cette époque, ils y croyaient ! Si l’église est d’époque gothique (du milieu 12° jusqu’au 15° siècle), avec ses arcs brisés, la couleur et la lumière des rosaces et vitraux, ses flèches pointues et ciselées, alors on est immédiatement frappé par l’ordre et l’harmonie qui y règnent et la grandeur de Dieu nous frappe. C’était une époque qui clamait sa joie de connaître et d’aimer Dieu ! Si l’église est d’époque baroque ou classique (du milieu du 16° jusqu’au milieu du 18° siècle), avec ses ornementations libres et surprenantes, sa démesure et ses couleurs, on ressent l’exubérance puissante de son époque qui voulait transmettre la grandeur et la puissance du service de Jésus Christ. Si l’église est plus récente, et c’est le cas de la majorité des église de France qui datent du 19° siècle, elle n’a pas de style particulier; mais s’inspire librement des siècles passés. Comme aux siècles passés, toute l’église est bâtie autour de l’Autel du Sacrifice, et les marques de piété populaire sont nombreuses et touchantes. Le cardinal Journet conseillait à celui qui voulait découvrir le catholicisme d’entrer dans une église et d’y rester un moment silencieux. Ainsi on pourra capter dans sa plénitude le message de la foi des temps passés dans toute sa beauté, et qu’on aura envie de le suivre !

Pratique : Entrons en silence dans une église. 

Jeudi 16 juillet : De la férie, mémoire de Notre Dame du mont Carmel

Dieu, vous orné l’Ordre du Carmel du titre particulier de la bienheureuse Marie toujours Vierge et votre Mère : accordez-nous, dans votre bonté, que, soutenus de la protection de celle dont nous honorons aujourd’hui solennellement la mémoire, nous méritions de parvenir aux joies éternelles. Tiré de la liturgie du jour.

Dans la Bible, le mont Carmel était le lieu privilégié où résidait le prophète Elie. On se plut, au cours de l’histoire chrétienne, à voir dans l’histoire de ce prophète, des annonces du mystère de la Vierge Marie. Ainsi au début du 13° siècle des anciens documents nous transmettent l’existence, sur le mont Carmel, d’ermites de notre Dame du mont Carmel, c’est-à-dire dévoués à la sainte Vierge et vivant sur le mont Carmel. Au temps des croisades et devant la persécution musulmane, ces religieux revinrent en Occident, mais ils ne trouvaient pas facilement à recruter des religieux. Ils prièrent donc instamment la sainte Vierge de protéger l’ordre qui lui était spécialement dédié. La sainte Vierge apparut au supérieur de l’ordre, saint Simon Stock le 16 juillet 1251 en disant : Voici le privilège que je te donne, dit-elle à saint Simon Stock, à toi et à tous les enfants du Carmel. Quiconque meurt revêtu de cet habit, ne souffrira pas des feux éternels. Si l’on revêtait le scapulaire du Mont Carmel (c’est-à-dire si l’on se faisait religieux dans cet ordre…) on était assuré du salut ! Les vocations alors affluèrent, l’ordre était sauvé… Ce privilège de Marie s’étendra à tous les tertiaires du Carmel, c’est-à-dire à tous ceux qui recevraient le scapulaire. De grand saints ont popularisé cet ordre du Carmel parmi nous : Sainte Thérèse d’Avila, saint Jean de la Croix, et surtout sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus.

L’ordre des Carmes fit un bien considérable dans l’Eglise jusqu’à nos jours en nous rappelant l’importance de la prière et de la dévotion à Marie. Essayons nous aussi de vivre de cet esprit !

Pratique : se faire imposer le scapulaire du mont-Carmel par un prêtre, et le porter

Mercredi 15 juillet : Saint Henri

O Dieu, en ce jour, vous avez fait passer le bienheureux Henri, votre Confesseur, du sommet de l’empire de la terre au royaume du ciel : nous vous demandons en suppliant que, comme en le prévenant par l’abondance de votre grâce, vous l’avez fait triompher des attraits du siècle, vous nous fassiez aussi, à son imitation, éviter les séductions du monde et parvenir jusqu’à vous avec des cœurs purs. Tiré de la liturgie du jour.

Bonne fête à tous ceux qui, comme moi, portent le glorieux patronyme de saint Henri, duc de Bavière, roi de Germanie, empereur du saint empire romain germanique, et surtout glorieux saint de l’Eglise catholique ! Saint Henri fut surnommé à juste titre le pieux, car avec lui un moine semblait être monté sur le trône ! En effet saint Henri n’aimait rien tant que chanter l’office avec les moines. Il garda aussi toute sa vie la virginité avec sa femme sainte Cunégonde. De même, il ne perdait aucune occasion d’œuvrer pour le bien de l’Eglise, multipliant les fondations et les donations pieuses. C’est enfin grâce à sa piété que nous devons de chanter le credo dans la liturgie romaine… Mais n’allons pas pour autant imaginer un saint à faible personnalité ! C’est en effet grâce aux labeurs de saint Henri que la Pape Benoît VII fut ramené sur le trône, que les grecs qui persécutaient l’Eglise furent vaincus et la Pouille annexée, et que la Hongrie et son roi embrassèrent la foi chrétienne…

Saint Henri mourut le 13 juillet 1024 et fut enseveli au monastère de Bamberg qu’il avait fondé.

Saint Henri, quoique fort riche, trouva le chemin du Royaume de Dieu. Il aimait prier, était familier des choses du Ciel, et se dépensait autant qu’il le pouvait en bonnes œuvres. Puisse-t-il nous guider dans nos choix de vie, en nous faisant toujours choisir le Ciel !

Pratique : Quel sacrifice pourrions nous faire aujourd’hui pour le Royaume de Dieu ?

Mardi 14 juillet : Saint Bonaventure

Dieu, vous avez fait à votre peuple la grâce d’avoir le bienheureux Bonaventure, pour ministre du salut éternel : faites, nous vous en prions, que nous méritions d’avoir pour intercesseur dans les cieux celui qui nous a donné sur terre la doctrine de vie. Tiré de la liturgie du jour.

Jean fidenza naquit à Bagno Regio en Etrurie, vers l’an 1217. Frappé d’une grave maladie dans son enfance, sa mère obtint sa guérison par une prière à saint François d’Assise, récemment canonisé. Le nom de Bonaventure qu’il prit plus tard viendrait de cette « bonne aventure ». Il étudia à Paris et choisit d’entrer chez les franciscains. Approfondissant ses études, il devint un très grand savant en théologie. Savant, mais doublé d’une douceur et d’une piété incroyables, surtout envers la Passion du Seigneur et la très sainte Vierge Marie. C’était un homme bon… Le Seigneur l’avait comblé de mérites si aimables que quiconque le voyait se sentait aussitôt le cœur saisi d’amour dira de lui l’auteur des actes du concile de Lyon ! Il devint, à 36 ans, supérieur général des franciscains et il exerça saintement cette charge pendant 17 ans. Devenu évêque et cardinal en 1273 par la volonté du Pape de l’époque, il eut de grande missions, comme celle de préparer le Concile de Lyon pour chercher l’unité avec l’Orient. Ses nombreux livres, remplis de piété, lui obtinrent le titre de docteur de l’Eglise. Il Mourut, vénéré par ses contemporains, à Lyon en 1274, son corps s’y trouve encore.

Nous aimons la bonté, mais pourquoi la pratiquons nous si peu envers les autres ? La bonté ouvre les cœurs, donne envie d’aimer et nous remplit de joie. Sans elle, impossible d’être un vrai témoin de Jésus-Christ. Que saint Bonaventure nous guide sur ce chemin !

Pratique : Veiller à être bon envers tous

Lundi 13 juillet : De la férie

imprimez dans nos cœurs l’amour de votre nom, et augmentez en nous l’esprit de religion Tiré de la liturgie du jour.

Cela crève les yeux ! Même des gens qui n’écouteraient pas l’enseignement d’un prêtre, qui ne participent à presque aucune cérémonie religieuse, et qui seraient révoltés contre l’Eglise catholique, rentrent tout de même parfois dans les églises… Ce n’est pas pour des simples raisons culturelles qu’ils agissent ainsi, mais parce qu’une église c’est beau ! La beauté nous transforme, nous fait accomplir un voyage vers un monde idéal et éveille le meilleur de nous-mêmes. On touche ici au mystère de l’homme. Il est en attente d’un bonheur infini et la beauté répond en partie à sa quête intime inscrite au plus profond de lui-même. Et plus que tout autre art, l’art chrétien fascinera les hommes, car il nous parle du Ciel, du Royaume que Jésus est venu nous ouvrir.

Prenez l’exemple de l’image de Jésus en Croix, un crucifix, deuxième sujet d’art chrétien le plus représenté. En soi un homme mort sur une poutre de bois, c’est une image horrible et violente qu’on devrait interdire aux enfants et personnes sensibles. Mais les artistes ont représenté ce supplice avec une certaine douceur et profondeur, faisant comprendre tout le mystère d’un Dieu qui donne sa vie pour les hommes. Alors il ne provoque aucune répulsion, mais même une certaine fascination. Et si le vrai amour, celui que nous attendons tous, se trouvait là ?

Pratique : méditons quelques instant devant un Crucifix

Dimanche 12 juillet 6° dimanche après la Pentecôte

J’ai compassion de cette foule ! Tiré de l’évangile du jour.

On peut trouver des exceptions. Une sainte Thérèse de l’Enfant Jésus déclarera qu’elle n’a pas le souvenir d’avoir rien refusé au bon Dieu depuis l’âge de trois ans. Un saint Curé d’Ars découvrira le péché au confessionnal… Hors ces cas où éclate le triomphe de la grâce de Dieu dans des âmes saintes, tous les hommes connaissent par expérience la domination au moins ponctuelle du péché, les échecs répétés dans les résolutions pourtant prises sérieusement, et la fragilité devant la tentation…

Que pense de nous Jésus, Lui qui est mort sur la Croix tellement il détestait le péché des hommes ? L’Evangile du jour pourrait nous donner une bonne indication.. J’ai compassion de cette foule ! dit-il à ses apôtres. Il n’y avait sans doute pas que des saints dans les assistants, mais des simples fidèles comme vous et moi. Jésus les regarde avec un amour particulier, et Il explique pourquoi : voilà déjà trois jours qu’ils me suivent… En voilà un magnifique secret du cœur de Jésus ! Si, malgré nos misère et nos fautes, nous essayons de le suivre, de l’écouter, si nous refusons de perdre l’espérance, Lui ne nous laissera jamais tomber ! On devrait répéter cela à tous ceux qui se croient trop loin de Dieu pour en attendre quelque chose. A ceux qui désespèrent à cause d’une faute grave qui les domine, ou à cause d’une relation non conforme à la loi de Dieu dont ils ne peuvent se sortir, ou à cause d’un lourd passé : Ne lâchez pas le Seigneur, continuez à prier, et Il aura compassion de vous ! Il pourrait même faire des miracles, qu’on se le dise !

Pratique : Prions pour ceux qui n’ont pas d’espérance

Samedi 11 juillet : De la sainte Vierge au samedi

Vierge, Mère de Dieu, Celui que tout l’univers ne peut contenir, s’est enfermé dans votre sein en se faisant homme. Tiré de la liturgie du jour.

Ressentez vous la même chose que moi ? A chaque fois que j’entre dans une église, je suis frappé par le souvenir des chrétiens des temps passés. Ceux qui ont bâti cette église ont voulu dire quelque chose à ceux qui y rentreraient des siècles plus tard… Ceux qui y ont prié, creusant parfois des sillons dans les pierres par leurs genoux, ceux qui ont remanié cette église ou l’ont orné de tableaux et de fresques, quel témoignage ont-ils donné, que voulaient ils transmettre ? Certainement de la beauté à laquelle ils croyaient… Des plus grandioses cathédrales jusqu’aux modestes chapelles, chaque édifice recèle ainsi des secrets qui méritent notre attention et même notre admiration. Parmi ces témoignages, un qui ne manquera pas de nous surprendre ce sont les nombreuses images de la très sainte Vierge Marie. C’est le sujet le plus important de tout l’art chrétien… Quelles sont touchantes ces Vierges à des temps anciens, romanes ou gothiques, pleines de majesté ou rayonnantes de douceur. Ou ces vierges, plus récentes, d’une beauté exquise drapées dans des manteaux bleus et couronnées d’étoiles, Vierge de Lourdes au chapelet ou Vierge de la médaille miraculeuse aux mains tendues vers le monde. A chaque époque les chrétiens ont clamé qu’ils aimaient la sainte Vierge et ils l’ont prié avec un cœur d’enfant. Saurons-nous continuer cet amour ? Saurons-nous entretenir et fleurir les innombrables images de notre mère du Ciel  laissées par nos ancêtres ? Saurons nous y rajouter les nôtres ?

Pratique : Une visite à la sainte Vierge de notre église.

Vendredi 10 juillet : Les Sept saints frères martyrs et saintes Rufine et Seconde

Ses fils se sont levés, et l’ont proclamée bienheureuse ! Tiré de la liturgie du jour.

C’est bien neuf saints que nous fêtons aujourd’hui : Tout d’abord sept frères martyrs de la persécution de Marc Aurèle, vers l’an 162, à Rome. Le préfet usa de tous les stratagèmes possible pour les amener à sacrifier aux dieux, mais ils demeurèrent fermes, aidés par les exhortations de leur mère. Ils furent martyrisés les uns après les autres, pour essayer de fléchir leur constance, mais ils restèrent toujours fermes dans la foi. Quatre mois après c’est leur mère, sainte Félicité qui subissait le même martyr. Le bréviaire de ce jour nous donne une admirable homélie de saint Grégoire le grand dans la basilique sainte Félicité, le jour de sa fête. Ensuite nous fêtons encore deux martyrs qui étaient sœurs de sang : Sainte Rufine et sainte Seconde. Ces vierges romaines vécurent un siècle après les précédents et refusèrent le mariage car elles avaient voué leur virginité à Jésus-Christ.

Rufine fut le première a être battue de verges, mais seconde récrimina que l’honneur du martyre lui revenait aussi. Les deux furent alors décapitées.

On appelait autrefois ce jour un jour de martyrs, car ils furent nombreux a donner aujourd’hui leur vie pour Jésus. Parmi eux, c’est la force de sainte Félicité offrant tous ces enfants qui a le plus marqué le rédacteur de la Messe. Prions que ce témoignage des anciens temps apporte un peu de courage à notre époque si tiède dans la foi…

Pratique : Faisons un sacrifice pour notre pays et nos familles