Lundi 8 septembre : Nativité de la sainte Vierge Marie

Les abîmes n’étaient pas encore, et déjà j’étais conçue… j’étais enfantée avant les collines. Tiré de la liturgie du jour.

Habituellement l’Eglise fête le jour de la mort des saints, qu’elle appelle le dies natalis (le jour de la naissance au Ciel). Mais il y a deux exceptions à cette règle : la sainte Vierge Marie et saint Jean-Baptiste, c’est-à-dire les deux qui, à leur naissance, n’avaient pas le péché originel : Marie en avait été exempte dés le premier instant de sa Conception et Jean-Baptiste en avait été purifié dans le sein de sa mère… Cette fête apparaît au 7° siècle et le Pape Serge 1er la dota d’une procession. Le sens de cette fête est bien clair : nous remercions pour le don merveilleux de Marie ! Puisque Marie deviendra la Mère du Sauveur, sa naissance marque donc une immense joie et un immense espoir pour l’humanité, tout comme les premiers rayons de l’aube annoncent le soleil à celui qui espère la fin de la nuit…

Quand elle prie la sainte Vierge dans ses livres liturgiques, l’Eglise emploie souvent la poésie. Quand les mots manquent ou paraissent insuffisants, les plus beaux symboles de la nature, le soleil et les étoiles, les collines et les abîmes, sont appelés en renfort pour nous donner une idée de la beauté de Marie, celle qui fut plus aimée de Dieu que le monde entier ! A nous de louer Marie, par nos chapelles, nos dévotions, et nos poèmes !

Pratique : Un cadeau pour l’anniversaire de Marie !

Dimanche 7 septembre : 13° dimanche après la Pentecôte

comme ils y allaient, ils furent guéris.

Vous souvenez vous des l’épidémie du Covid-19 et du harcèlement médiatique qu’on a tous vécu ? L’Evangile en parle aussi encore qu’il ne s’agit pas de Covid, mais de lèpre. Décidément, on n’en sort pas ! Et on frémit au spectacle, qu’on imagine sans peine, des dix lépreux, sortes de morts-vivants aux chairs rongées, qui se tiennent devant Jésus. Il se tiennent à distance, parce que la loi juive de l’époque demandait cet auto-confinement ! Et cette même loi précisait qu’avant de réintégrer la société humaine, tout lépreux devait faire constater sa guérison par un prêtre. Quand Jésus leur demande d’aller trouver ce prêtre, Il leur suggère qu’ils seront donc guéris en arrivant devant ce prêtre. Et les lépreux vont obéir à Jésus et obtenir en chemin leur guérison.

Ce passage de l’Evangile devrait nous faire réfléchir à la valeur de l’obéissance, si difficile à accepter dans notre société marquée par la révolte. Oui une grâce nous est réservée quand nous obéissons simplement à ce que Jésus nous a demandé. Celui qui reste fidèle à l’église malgré les pauvretés de tant de ses membres, celui qui pratique le dimanche malgré sa situation personnelle bancale, celui qui essaye de suivre son curé quel que soit son caractère, celui qui se confesse régulièrement malgré ses misères, celui qui est fidèle à ses engagements de mariage malgré les difficultés, celui là sera béni de Dieu, comment en douter ? Une grande grâce est attachée à cette fidélité…

Pratique : Relire l’Evangile du dimanche

Samedi 6 septembre : De la sainte Vierge au samedi

L’ange du Seigneur environnera de son assistance ceux qui craignent Dieu et les arrachera au danger ! Tiré de la liturgie du jour.

Les Pères du désert, ce premiers chrétiens qui vécurent retirés dans la solitude firent une étrange découverte. Alors qu’ils étaient seuls dans leur cabane, une multitude de pensées les assiégeait quotidiennement. Certaines étaient bonnes, en les poussant à vivre saintement leur vocation, d’autres étaient clairement mauvaises telles des pensées impures ou de rancune envers leurs frères, d’autres enfin étaient douteuses, paraissant belles et généreuses au départ mais dangereuses dans leurs conséquences. Ainsi un Père décrit ses pensées qui l’incitent à quitter sa cabane pour prêcher la foi dans les villes. ça paraît généreux d’aller prêcher la foi, mais est-ce bon d’abandonner ainsi sa vocation ?

Ces Pères du désert découvraient subitement le rôle des anges auprès de nous. Ces compagnons de notre vie interagissent continuellement avec nous. Les bons anges pour nous pousser au bien, et ils y travaillent tous les jours ! Et les mauvais anges, les diables, pour nous pousser au mal et parfois en déguisant sous apparence de bonté leurs sombres manœuvres… Devant cette découverte, les Pères du désert décidèrent de placer un garde à la porte de leur cœur ! C’est-à-dire de bien trier ces pensées en discernant les bonnes des mauvaises ! Avons nous la même sagesse qu’eux ? Environnés d’anges nous aussi, sachons trier nos pensées, rejeter sans pitié les mauvaises et les douteuses et suivre les bonnes !

Pratique : Demandons souvent au Seigneur la sagesse !

Vendredi 5 septembre : Saint Laurent Justinien

Nul ne l’a égalé dans l’observation des lois du Très-Haut. C’est pourquoi le Seigneur a jure de le rendre père de son peuple. Tiré de la liturgie du jour.

Laurent naquit à Venise dans l’illustre famille des Justiniani en 1381. Il fut de ces enfants pieux qui semblent avoir compris l’amour de Dieu dés leur jeune âge. Très tôt il sut que le Seigneur l’appelait à la vie consacrée et il chercha dans quel institut il Lui plairait le mieux. Il entra donc à 19 ans chez les chanoines de saint Georges in Alga, et, là-bas, il multiplia les pénitences à la recherche d’une vie parfaite. Il aimait mendier pour le couvent au risque de se faire repousser, sa générosité pour les pauvres était intense, tout comme les longues heures de prières auxquelles il s’adonnait. Remarqué par le Pape Eugène IV, il fut nommé évêque et Patriarche de Venise. Dans cette ville, très luxueuse à l’époque, il garda un train de vie très humble, refusant les nombreux serviteurs que sa charge lui aurait valu, en disant que sa nombreuse famille était les pauvres du Christ ! Il lutta contre la mondanité tant dans son peuple que dans le clergé, et le Ciel fit savoir que les prières du Patriarche avaient particulièrement protégé Venise. Quand il sentit sa fin prochaine, il se fit coucher sur son simple lit en disant : Je vais à vous, O bon Jésus  ! Sa mort, le 8 janvier, fut entourée de faits miraculeux, on entendit le concert des anges, et son corps resta intact pendant deux mois.

L’image de saint Laurent Justinien patriarche mais pauvre au milieu d’une ville luxueuse impressionne.. Mais comme tous les bons éducateurs il savait que seul l’exemple marque ! Que son exemple nous aide à nous détacher de tout le matériel qui nous étouffe tellement aujourd’hui ! Et qu’il nous donne assez d’amour pour montrer le bon chemin à nos frères.

Pratique : acceptons les difficultés de cette vie sans rien dire…

Jeudi 4 septembre : De la férie

Dieu tout-puissant et éternel, augmentez en nous la foi, l’espérance et la charité ! Tiré de la liturgie du jour.

Profitons des jours de férie de ce mois pour parler des anges, la dévotion indiquée par l’Eglise pour le mois de septembre. Il n’y a pas si longtemps de cela, dire qu’on croyait aux anges en faisait sourire beaucoup. Pouvait-on croire aux anges dans un monde passionné de technologie et ivre de ses réussites ? Aujourd’hui, mystérieusement la mode s’inverse et on trouve de nombreux livres, sites ou personnes qui prétendent nous mettre en relation avec nos anges gardiens, nous donner leur nom et demander leur bénédiction. Croire au anges semble être devenu un signe d’élévation et de spiritualité personnelle… L’Eglise, à vrai dire, ne s’intéresse pas beaucoup aux modes, et met en garde les fidèles contre des expériences ésotériques dangereuses auprès de « voyants » sulfureux. En revanche, elle continue d’affirmer ce que dit la foi depuis des siècles, qu’il a plu a Dieu, au delà des hommes, de créer des milliards d’anges. Et nous sommes bien heureux de savoir cela ! Car les anges nous encouragent vraiment à être nous-mêmes spirituels et à plus prier ! Ainsi l’ange qui apparaissait aux trois petits enfants de Fatima, leur demandait de prier la face contre la terre en un grand geste d’adoration ! Et les enfants ressentaient longtemps après le départ de cet ange, le grand sentiment de la présence de Dieu ! Augmentons notre foi dans les anges et qu’ils nous poussent à bien adorer…

Pratique : Une prière à son Ange gardien

Mercredi 3 septembre : Saint Pie X

Ô Dieu, qui pour protéger la foi catholique et instaurer toute chose dans le Christ, avez rempli le Souverain Pontife saint Pie de sagesse céleste et de force apostolique : accordez-nous favorablement de suivre son enseignement et ses exemples afin de parvenir aux biens éternels. Tiré de la liturgie du jour.

Le pontificat du Pape saint Pie X fut une incroyable bénédiction pour l’Eglise ! Joseph Sarto naquit à Riese, un village de la Vénétie, en 1835, deuxième de dix enfants. Enfant très pieux et brillant intellectuellement, il put entrer au séminaire grâce à une bourse offerte par le patriarche de Venise et l’aide de son curé. Il fut ordonné prêtre huit ans plus tard. Son premier poste fut vicaire à Tombolo où il déploya une charité incroyable auprès de son troupeau. Ensuite, il fut nommé curé de Salzano, on raconte qu’une délégation de paroissiens vint se plaindre à l’évêché qu’on avait nommé un curé bien trop jeune ! L’évêque sourit et leur répondit qu’ils verraient bien… Et quand leur curé partit au bout de 9 ans, ce fut un concert de plainte de voir partir celui qui avait tant apporté à la paroisse ! Nommé ensuite Chanoine à Trévise, directeur spirituel du séminaire, Léon XII le remarqua et le nomma, malgré ses protestations d’indignité, évêque de Mantoue, et neuf ans plus tard cardinal Patriarche de Venise. En 1903 il fut élu Pape et en 11 ans de gouvernement, tout en vivant aussi pauvrement qu’il avait vécu, il apporta un renouvellement profond et un bien considérable dans l’Eglise : Renouvellement du catéchisme, du chant grégorien, mise en chantier du droit canonique, appel à la sainteté des prêtres, condamnation du modernisme qui menaçait gravement l’Eglise, institution de la communion fréquente et précoce pour les enfants… Il mourut le 20 août 1914, on pense de douleur, devant la guerre mondiale qui s’ouvrait.

L’histoire de l’Eglise peut être merveilleuse, comme quand elle voit un enfant d’une famille simple d’Italie devenir le Pape de toute l’Eglise ! La grande foi et la grande piété de saint Pie X, lui firent merveilleusement diriger l’Eglise, et nous voyons encore aujourd’hui les fruits bénis de ses décisions ! Que verrions-nous si nous avions un peu de sa foi ?

Pratique : Pensons à communier aujourd’hui en l’honneur de ce pape qui voulut tellement que les catholiques reçoivent souvent leur Seigneur dans l’Eucharistie.

Mardi 2 septembre : Saint Etienne de Hongrie

Nous vous en prions, ô Dieu tout-puissant, accordez à votre Église, qu’après avoir été propagée par le bienheureux Étienne, quand il régnait sur la terre, elle mérite de l’avoir pour défenseur, maintenant qu’il est glorieux dans le ciel. Tiré de la liturgie du jour.

Saint Etienne né au 10° siècle, fut le premier roi chrétien de la Hongrie. Baptisé par saint Adalbert, marié à Gisèle, la sœur de l’empereur saint Henri, Etienne fut couronné roi de Hongrie par le Pape saint Sylvestre le 15 août de l’an 1000. Il fut un modèle de monarque chrétien, cherchant à favoriser l’Eglise de toutes les manières, consacrant son royaume à la Vierge Marie, élevant ses enfants dans l’idéal du dévouement et de la foi. Deux traits sont particulièrement frappant dans sa vie : Il souhaitait tellement la conversion de son peuple à la vraie foi, qu’il passait de long moments dans le jeune et la prière pour demander cette grâce au Seigneur. Ce qui lui valut d’être appelé l’apôtre de la Hongrie ! Enfin il aimait les pauvres d’un extraordinaire amour, ne cessant de les soutenir jusqu’à laver par lui-même leurs pieds. En récompense de cette admirable charité, le Seigneur permit que sa main droite reste non corrompue alors que son corps tombait en poussière ! Saint Etienne mourut le 15 août 1038.

Sous la cendre et le cilice il demandait à Dieu, par de très humbles prières, la grâce de voir, avant de mourir, la Hongrie tout entière acquise à la foi catholique ! Nous dit le bréviaire de saint Etienne, roi de Hongrie. Il avait compris que toute grande œuvre sur cette terre, comme la conversion d’un royaume, s’obtenait avant tout par la prière ! quel chance pour les fidèles d’avoir des chefs et des pasteurs qui sont des hommes de prière ! Quelle chance dans une famille quand un membre prie beaucoup pour les autres. Et si c’était nous ?

Pratique : Une prière pour notre famille

Lundi 1er septembre : De la férie

Vous êtes mon Dieu, mes jours sont entre vos mains. Tiré de la liturgie du jour.

Au 1er septembre, comment ne pas parler d’un sujet terrible : la rentrée ! Rentrée des enfants, avec son lot de difficultés, le stress des courses scolaires, l’angoisse de devoir reprendre un rythme, les larmes des séparations… Et même pour ceux qui n’ont pas d’enfant scolarisé, septembre coïncide avec l’idée de reprise d’une nouvelle année. Auriez vous un peu de spleen ? Sur un site internet, j’ai trouvé ces 5 conseils donnés aux parents pour préparer la rentrée : 1. Couchez les enfants tôt, ils ont besoin de sommeil pour affronter la rentrée ! 2. Expliquez leur calmement la rentrée pour leur éviter l’inquiétude devant l’inconnu. 3. Préparez les fournitures scolaire le plus tôt possible, pour éviter un stress supplémentaire avant la rentrée. 4. Revoyez avec eux quelques leçons pour le replonger doucement dans leur travail. 5. Rassurez les avant la rentrée !

Ne sommes nous pas des enfants de Dieu ? Alors 1. Attention à nous coucher tôt et nous lever tôt, et prévoir le moment de nos prières ! 2. écoutons Jésus dans l’Evangile qui nous explique que le vie est simple, qu’il suffit d’aimer Dieu de tout son cœur de toute son âme et de tout son esprit et son prochain comme soi-même ! 3. Prenons dés maintenant des résolutions spirituelles. Que voudrions nous faire pour Dieu au cours de cette année ? 4. Participons à une Messe de rentrée ou un pèlerinage ou disons notre chapelet pour mettre cette année sous la protection de Dieu 5. Souvenons nous que Dieu, qui s’occupe des petits oiseaux et de toutes les fleurs des champs, veillera sur nous tout au long de l’année qui commence ! Bonne rentrée !

Pratique : prendre et écrire nos résolutions pour cette année

Dimanche 31 août : 12° dimanche après la Pentecôte

Maître, que dois je faire pour posséder la vie éternelle ? Tu aimeras ! Tiré de l’Evangile du jour.

Le docteur de la loi qui interroge Jésus, met une certaine solennité à sa question. L’Evangile le décrit comme se levant et devant ses confrères disant à Jésus : Maître que dois je faire pour posséder la vie éternelle ? La réponse de Jésus est au niveau de la question, elle est solennelle et puissante : Tu aimeras ! Quelle réponse ! Jésus qui connait bien le cœur de l’homme, puisque c’est lui qui l’a fait, nous donne la clé du bonheur sur la terre et dans le Ciel, c’est d’aimer ! Tu aimeras ! N’est ce pas l’exemple donné par toutes les vies des saints ? Saint François racontant sa joie d’avoir réussi à embrasser le lépreux. Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus remplie de bonheur en aidant la pauvre sœur infirme à gagner le réfectoire. Et Mère Térésa qui disait qu’elle n’aurait jamais donné sa place auprès des miséreux de Calcutta, pour aucune autre… Tu aimeras ! Nous savons tous que les plus belles journées de notre vie sont celles où l’on s’est oublié et donné aux autres. Et à l’inverse, nous savons tous combien pèse lourd dans le cœur l’égoïsme ou la rancune, la paresse ou la folie de l’argent. Nous le savons… mais reste toujours au fond de nous le vieux réflexe antichrétien qui n’y croit qu’à moitié. Gagner beaucoup d’argent c’est pas si mal, on ne va pas toujours être la bonne poire au service des autres, et on veut profiter de la vie, les autres peuvent attendre. Jésus est patient… Comme il le fait dans l’Evangile, Il parlera souvent à notre cœur au cours de notre vie, espérant toujours nous convaincre, Tu aimeras !

Pratique : Ne blesser personne aujourd’hui

Samedi 30 août : Sainte Rose de Lima

Dieu tout-puissant, dispensateur de tous les biens, vous avez prévenu de la rosée céleste de votre grâce la bienheureuse Rose, et vous l’avez fait briller dans les Indes de tout l’éclat de la pureté et de la patience : accordez à vos serviteurs de courir à l’odeur de ses parfums, afin qu’ils méritent de devenir eux-mêmes la bonne odeur de Jésus-Christ… Tiré de la liturgie du jour.

Rose naquit à Lima au Pérou en 1586 de parents chrétiens. Encore au berceau, comme un présage de son amour pour Dieu, son visage se transfigura et devint rose, d’où vint qu’on lui attribua ce nom. Cette enfant précoce promit au Seigneur le virginité perpétuelle à 5 ans, et, plus tard coupa sa magnifique chevelure de peur que ses parents ne souhaitent la marier ! Elle pratiqua un pénitence incroyable, et plusieurs pieux auteurs pensent qu’elle répara ainsi bien des fautes qui furent commises dans la conquête du nouveau monde… Elle devint tertiaire dominicaine et connut 15 année d’épreuves spirituelles profonde mais ensuite elle eut de nombreuses consolations dont plusieurs apparitions du Seigneur Jésus qui lui montra sa prédilection en disant : Rose de mon cœur, sois une épouse pour moi ! Elle mourut à 31 ans, le 24 août 1617 et après sa mort, survint une vague de conversions dans son pays. Ce fut la première sainte du continent américain à être canonisée et sa popularité est extrême, bien au-delà de l’Amérique du sud.

Partout, dans tous les coins du monde, le Seigneur suscite des âmes pures, des chrétiens sincères et généreux qui aiment de tout leur cœur et en vérité, et rachètent les fautes de leurs frères. Sainte Rose avait trouvé le grand secret et le grand bonheur de cette vie : aimer Dieu. Elle nous rappelle ce grand secret, et nous transmet un parfum précieux, fait non de rose, mais d’espérance.

Pratique : Pratiquer quelques pénitences pour le Seigneur au cours de la journée