Dimanche 24 août : 11° dimanche après la Pentecôte

Jésus vint par Sidon vers la mer de Galilée, en passant au milieu de la Décapole. Et voici qu’on lui amena un homme qui était sourd et muet, en le priant de lui imposer les mains. Tiré de l’Evangile du jour.

Dans l’Evangile d’aujourd’hui, saint Marc précise que Jésus passait par la décapole quand il guérit un malheureux qui était sourd et muet. La décapole était à cette époque une région de mélanges. Mélanges de peuples, de cultures, et aussi de religions. Et quand les religions sont mélangées cela produit souvent une danger pour la foi. Beaucoup se disent alors que chacun a sa croyance, que c’est bien comme cela, et que le bon Dieu doit y trouver son compte. D’autres encore se disent que c’est bien compliqué de savoir où est le vrai Dieu avec toutes ces propositions, alors on ne s’occupe plus du problème et on tombe dans l’indifférence… Le sourd muet de la Décapole est donc très symbolique des hommes perturbés par la multitude des offres religieuses, et devenus incapables d’écouter Dieu et incapables de le louer. Et nous en savons quelque chose de ce problème, puisque c’est ce que nous vivons aujourd’hui dans la plupart des sociétés occidentales !

Jésus va guérir ce malheureux en un instant et émerveiller tout le peuple… Aucune chaine, aucune influence sociale, n’empêchera jamais le bon Dieu de travailler le cœur des hommes. En sommes nous vraiment convaincus ? Mais peut-être que la mentalité ambiante nous a touché, nous aussi… Nous rendant trop silencieux sur Dieu, n’osant plus parler de Lui, ni afficher publiquement notre foi. Il y a bien des sourds et des muets à guérir sur cette terre, à commencer sans doute par nous-mêmes !

Pratique : Faisons un geste public de dévotion envers la sainte Vierge.

Samedi 23 août : Saint Philippe Béniti

Dieu, vous nous avez donné un excellent modèle d’humilité en la personne de votre Confesseur, le bienheureux Philippe : accordez à vos serviteurs de mépriser, à son exemple, les biens de ce monde et de chercher toujours les biens du ciel. Tiré de la liturgie du jour

Philippe, de la noble famille des Béniti, naquit à Florence au début du 13° siècle. C’était un enfant très pieux qui semblait marqué par le choix de Dieu : le bréviaire nous apprend qu’à 5 mois, il parla miraculeusement en demandant à sa mère de faire l’aumône aux religieux Servites qui passaient par là ! Sur indication de la Vierge, il rentre dans ce même ordre des Servites où l’on aimait méditer les souffrances de Jésus et Marie. C’était un religieux d’une grande piété, pratiquant assidument la pénitence et aussi la charité envers les pauvres. Devant son intense charité et son esprit apostolique, ses frères l’élirent comme supérieur de son ordre, dont il est considéré comme un second fondateur. Il fut un apôtre en envoyant ses frères jusque dans la lointaine Russie, et un grand convertisseur d’âmes égarées. Un jour il donna son manteau à un pauvre lépreux lequel se trouva guéri de sa lèpre. La nouvelle de ce miracle se répandit jusqu’aux cardinaux qui devaient se réunir à Viterbe pour l’élection du prochain Pape, et ils pensèrent à lui. Mais par humilité, il s’enfuit alors dans la montagne jusqu’à l’élection de Grégoire X. Il mourut le 22 août 1285 en embrassant son Crucifix qu’il aimait appeler son livre !

La liturgie souligne la grande humilité de saint Philippe qui s’est enfui quand on lui a proposé une haute charge ! Dans quel aveuglement vivons nous quand cherchons fiévreusement des bonnes places et des millions, et négligeons les actes de charité !

Pratique : Penser plusieurs fois dans la journée à ce que le Seigneur a fait pour nous.

Vendredi 22 août : Fête du cœur Immaculé de Marie

Dieu veut établir dans le monde la dévotion à mon Cœur immaculé ! Paroles de la sainte Vierge Marie à Lucie lors des apparitions de Fatima en 1917…

La dévotion au Cœur de Marie, appelé Pur ou Immaculé, était déjà ancienne dans l’Eglise quand eurent lieu les apparitions de Fatima. Saint Jean Eudes et d’autres, en parallèle avec la dévotion au Sacré-Cœur de Jésus avaient développé la dévotion au Cœur de Marie, à partir de l’Evangile qui parle à plusieurs reprises de Marie méditant les actions de Jésus dans son Cœur, ainsi que du glaive de douleur qui transpercera son Âme… Ainsi le Cœur de Marie symbolisait l’extraordinaire fidélité de la Vierge et son amour pour son divin Fils. Mais après les apparitions de Fatima, la dévotion au Cœur Immaculé de Marie prit un essor extraordinaire, et aujourd’hui encore nous aimons, selon les indications de la Vierge Marie, et comme l’a encouragé le pape Pie XII, prier particulièrement ce Cœur Immaculé le premier samedi de chaque mois (Je rappelle que la sainte Vierge demande que l’on se confesse et communie à cette occasion, que l’on dise le chapelet et qu’on médite pendant au moins 15 minutes un ou plusieurs mystères du rosaire).

Aux chrétiens d’aujourd’hui, confronté à un monde qui s’écarte de la foi, le Ciel demande de prier avec plus abondamment…  Inutile de se perdre dans des récriminations et des critiques, pensons à prier le Cœur Immaculé de Marie, pensons à consoler le Seigneur et la sainte Vierge des multiples abandons, pensons aussi à préparer par la prière le monde de demain !

Pratique : Pratiquer aujourd’hui, par amour pour Marie, la dévotion demandée aux premiers samedis

Jeudi 21 août : Saint Jeanne de Chantal

Qui trouvera la femme forte ? C’est au loin et aux extrémités du monde qu’on doit chercher son prix. Tiré de la liturgie du jour.

Jeanne-Françoise Frémyot naquit en 1572 à Dijon en Bourgogne, d’une famille renommée. Elle fut parfaite dans tous les états de vie : enfant, épouse et mère, veuve, et religieuse ! C’était une enfant très pieuse et profondément catholique. Son père décida de la marier au baron de Chantal qu’elle aima tendrement ainsi que ses enfants, veillant à ce que toute la maison, depuis le maître jusqu’aux domestiques, soit fidèle à la foi, à la vie chrétienne et au souci des pauvres. Elle crut devenir folle quand son époux mourut d’un accident de chasse, mais elle accepta l’épreuve, décida de ne jamais se remarier, et se consacra d’avantage aux bonnes œuvres et à la gestion de son domaine. A cette occasion, cette forte femme redressa complètement la situation financière du domaine que son fantasque mari avait compromise ! Elle choisit saint François de Sales pour être son directeur spirituel. Sous sa direction elle choisit de se consacrer à Dieu, et fonda avec lui la congrégation de la Visitation sainte Marie qui se caractérisait par une grande dévotion à l’amour de Dieu, et qui accueillait toutes les vocations, même de mauvaise santé, ce qui n’était pas l’habitude de l’époque… Ses monastères, rempli d’une profonde vie spirituelle se répandirent partout et firent un bien considérable. Elle mourut le 15 décembre 1641 au couvent de la Visitation d’Annecy.

Sainte Jeanne de Chantal fut vraiment la femme forte dont parle la Bible ! Elle ne se plaignait pas dans les épreuves de la vie, n’essayait pas d’imposer ses vues aux autres, mais voulait obéir à Dieu et faire le bien quoi qu’il lui en coute. Et le Seigneur multiplia les merveilles par ses mains…

Pratique : Aujourd’hui, veillons à ne pas imposer notre volonté aux autres.

Mercredi 20 août : Saint Bernard

Au milieu de l’Église, il a ouvert la bouche : et le Seigneur l’a rempli de l’esprit de sagesse et d’intelligence. Tiré de la liturgie du jour

Saint Bernard eut une influence immense au 12° siècle, et jusque dans toute l’histoire de l’Eglise ! Il naquit en 1090 à Fontaine-les-Dijon en Bourgogne d’une famille noble et pieuse (sa mère Aleth de Montbard est considérée comme une bienheureuse). Après une solide formation humaine, il décide d’entrer au couvent dans l’ordre des cisterciens, qui vient d’être fondé par saint Robert de Molesmes. Mais saint Bernard est un entraineur d’hommes, et c’est avec une vingtaine de personnes, amis et membres de sa famille qu’il a réussi à convaincre, qu’il entre à Citeaux. Moine exemplaire et charismatique, il est bientôt nommé Père abbé de l’abbaye de Clairvaux. De là, il fondera un nombre incroyable d’abbayes cisterciennes (on parle d’environ 800 !), et sa réputation se répandit dans toute la chrétienté. Le Pape le consulte pour toutes les affaires de l’Eglise, et il parcours le monde de l’époque. Son don de prédication était si fort, qu’on raconte que les jeunes filles fiancées enfermaient leur futur dans leur maison pour éviter qu’il ne se rendent à la prédication de saint Bernard et ne rentrent au couvent ! Saint Bernard fut notamment appelé pour prêcher la première croisade. Il écrivit de nombreux livres d’une doctrine profonde, remplis de la saveur spirituelle de l’expérience cistercienne, et d’un grand amour de la très sainte Vierge. Ces livres lui valent, aujourd’hui encore, un grande descendance spirituelle. Saint Bernard mourut le 20 août 1153, à l’âge de 62 ans, fut enterré à Clairvaux devant l’autel de la sainte Vierge. Il fut canonisé 20 ans plus tard puis proclamé par l’Eglise docteur « aux lèvres de miel » !

Ôtez ce soleil matériel qui éclaire le monde : où sera le jour ? Ôtez Marie, l’étoile de la vaste mer : que restera-t-il, qu’obscurité enveloppant tout, nuit de mort, glaciales ténèbres ? Donc, par toutes les fibres de nos cœurs, par tous les amours de notre âme, par tout l’élan de nos aspirations, vénérons Marie ! Saint Bernard.

Pratique : Récitons le « souvenez-vous », prière à Marie, attribuée à saint Bernard.

Mardi 19 août : Saint Jean Eudes

Le juste fleurira comme le palmier et il se multipliera comme le cèdre du Liban dans la maison du Seigneur. Tiré de la liturgie du jour.

Saint Jean Eudes, né en 1601 en Normandie, fut un prêtre au cœur de feu, et une grande figure sacerdotale du 17° siècle. Entré dans la congrégation de l’Oratoire, ordonné prêtre en 1626, il brilla d’une intense charité lors d’une épidémie de peste. Au bout de 20 ans d’engagement dans l’Oratoire, comprenant que le Seigneur l’appelait à un nouveau dévouement, il quittera avec peine son institut pour fonder une congrégation qu’on appellera bientôt les Eudistes. Formation des prêtres, secours des filles perdues, missions populaires, grand prédicateur, spirituel dévot aux cœurs de Jésus et Marie, tout ce qu’il entreprenait était béni de Dieu. Les violentes oppositions qu’il rencontra le firent redoubler de prières pour ses ennemis. Cet homme bon, généreux, et pieux, mourut le 19 août 1680 à Caen en France.

C’est en constatant combien les prêtres étaient nécessaires et mal formés à son époque, que saint Jean Eudes fonda sa congrégation pour y remédier. Son amour des vocations était tel que, même en pleine mission de prédication, si on lui disait qu’il y avait un problème à régler au séminaire, il y courrait, disait-il lui même, comme s’il y avait le feu ! Que brille toujours, chez les chrétiens cet attachement aux prêtres ! Que les familles soient ouvertes aux vocations ! Que tous prient pour les prêtres et leur formation, enjeu crucial et difficile aujourd’hui comme d’hier…

Pratique : Prions pour les prêtres

Lundi 18 août : De la férie

Dieu tout-puissant et miséricordieux, de la grâce de qui vient que vos fidèles vous servent comme il convient et d’une façon digne de louange ; accordez-nous, selon notre prière, de courir sans hésiter dans la voie qui conduit aux biens que vous avez promis. De la liturgie du jour.

Même si elle n’est pas fêtée officiellement dans la liturgie, c’est aujourd’hui la date de la fête de sainte Hélène, mère de l’Empereur Constantin. Sa vie ressemble à un roman, et peut-être certaines parties sont légendaires. D’après les auteurs anciens, elle aurait été une fille d’auberge dont serait tombé amoureux l’officier romain Constance Chlore. Ils eurent un fils qu’ils appelèrent Constantin. Constance Chlore gravit rapidement les échelons du pouvoir et devint même un des Césars qui gouvernait l’empire. Il se sépara alors d’Hélène pour faire un mariage politique. Mais Constantin réussissant lui-même une carrière brillante devint bientôt le seul empereur et rappela à Rome sa mère Hélène et la combla d’honneurs. A Rome Hélène se convertit au catholicisme et se montra dés lors une femme d’une grande piété et ferveur, ne cessant de bâtir des églises et secourir les pauvres. Presqu’octogénaire elle fit le pèlerinage de Jérusalem, découvrit la vraie Croix de Jésus et des reliques de la Passion. Après sa mort, son palais à Rome, devint la basilique sainte Croix en Jérusalem.

On juge d’une personne sur sa vie. Alors que sainte Hélène aurait pu savourer son élévation à Rome près de son fils l’empereur, elle se tourna profondément vers Dieu qu’elle découvrit et se répandit en bonne œuvres ! Le fruit de ses œuvres, encore présent à Rome, nous encourage, nous aussi, à faire de belles choses pour Dieu.

Pratique : Dans le sillage de l’Assomption, prions d’avantage la sainte Vierge.

Dimanche 17 août : 10° dimanche après la Pentecôte

Celui-ci descendit dans sa maison justifié, plutôt que l’autre ! Tiré de l’évangile du jour.

Jésus nous surprendra toujours… Si je voyais une personne religieuse, attentive à respecter la loi de Dieu et généreuse envers l’Eglise (Et ce n’est pas si fréquent, vous diront tous les curés de la terre !), comme l’étaient les Pharisiens, j’aurais tendance à penser qu’elle est une bonne personne ! De la même manière en voyant un pécheur public, comme les Publicains, je pourrais être un peu inquiet pour son âme. N’y a-t-il pas un grand risque qu’il soit bien loin de l’amour de Dieu ? Et pourtant nous dit Jésus dans notre parabole, Dieu écouta la prière du Publicain et pas celle du Pharisien… Etonnant non ? Retenons déjà cette première leçon, nos jugement ne valent souvent pas grand chose ! Jésus nous le fait remarquer gentiment… Nous autres pauvres hommes jugeons beaucoup trop sur l’apparence et les réputations, Dieu, Lui, voit le fond des cœurs, qui peut être tellement différent des apparences ! L’autre leçon c’est que Dieu regarde surtout l’amour que nous avons en nous. La prière du Pharisien, telle que la décrit Jésus est glaçante. A-t-il seulement un gramme de bonté pour les autres ? Le Publicain n’a peut être pas beaucoup d’amour lui non plus, mais il demande au bon Dieu de l’aider avec une telle sincérité qu’il fait fondre le cœur de Dieu. Lui au moins a compris que Dieu était plein d’amour et que c’est par le cœur qu’il fallait le prendre ! Et nous, où en sommes nous ? Est-ce que nous essayons d’aimer ceux que le Seigneur nous a donné ou est ce que les jugements et les pensées mauvaises nous dominent la plupart du temps ? Savons nous, au moins, prier humblement notre Dieu qu’Il nous donne ce cœur rempli d’amour ?

Pratique : Un dévouement pour ceux avec qui nous vivons

Samedi 16 août : Saint Joachim

Il répand ses largesses, il donne aux pauvres : sa justice demeure d’âge en âge… Tiré de la liturgie du jour.

Sous le nom de saint Joachim, nous fêtons le père de la bienheureuse Vierge Marie. Sa fête, célébrée très tôt en Orient, et plus tardivement en occident, a beaucoup voyagé dans le calendrier liturgique : j’ai trouvé au moins 7 jours différents de célébration selon les églises et les temps ! Nous ne savons rien de sa vie, mais la piété populaire s’est emparée rapidement de sa personne ; on remarquera avec intérêt que des écrits apocryphes indiquent qu’il était d’une grande générosité, divisant en trois ses revenus : une partie pour lui-même, une partie pour les pauvres, et une partie pour le Temple ! En plus de cette générosité qui lui est attribuée, la liturgie insiste surtout sur sa descendance prestigieuse : Père de la sainte Vierge et grand-père de l’Enfant-Jésus, ce n’est tout de même pas rien, vous en conviendrez aisément…

Si l’on suit l’Evangile, on doit reconnaître un arbre à ses fruits ! Sur ce critère, saint Joachim ne craint personne… Avoir conçu et élevé la sainte Vierge quel homme peut prétendre avoir fait mieux ? Cette réussite viendrait elle de sa grande générosité ? Tant il est vrai que l’argent donné aux pauvres tombe dans le cœur de Dieu !

Pratique : Un don pour une œuvre d’Eglise.

Vendredi 15 août : Fête de l’Assomption de Marie au Ciel

Désormais toutes les générations me diront bienheureuse, parce que le Puissant a fait pour moi de grandes choses. Et son nom est saint ! Tiré de l’Evangile du jour.

Notre Dame de bon Secours à Carnoules, Notre Dame des Anges à Pignans, Notre Dame de Consolation à Flassans sur Issole, Notre Dame des grâces à Cotignac, Notre Dame de Paris, Notre Dame de Lourdes, qu’elle est longue et belle la liste des sanctuaires de France, immenses ou modestes, que nos ancêtres ont consacrés à Marie ! Quasiment chaque village possède un lieu de culte ou une chapelle où les habitants venaient prier la sainte Vierge avec un cœur d’enfant et revenaient chez eux avec sa bénédiction. Et si cela est vrai dans tous les pays d’Europe autrefois chrétiens, le Pape Pie XI, en proclamant Notre Dame de l’Assomption comme patronne de la France, rappelait qu’on pouvait appeler particulièrement ce pays le royaume de Marie ! En effet d’abord parce qu’il lui fut consacré par le roi Louis XIII en 1638, mais aussi parce que 35 de ses magnifiques cathédrales lui sont consacrées, et enfin parce que la sainte Vierge y fit d’importantes apparitions pour porter ses messages au cours de l’histoire….

Alors même si aujourd’hui on peine à entretenir ce patrimoine (je ne parle pas encore de le remplir de croyants…), même si la France est devenue bien infidèle de nos jours, je veux, comme un acte d’espérance, croire que toute la foi et la piété des temps passés ne sera pas simplement perdue. Je veux croire que bien des fils de France et d’ailleurs continuent aujourd’hui de prier Marie avec ferveur et récitent leur chapelet aussi pour tous ceux qui ne le disent plus. Le jour de l’Assomption est un jour de joie immense. Nous voyons Marie est au Ciel, toute lumineuse et pleine de grâces, et nous savons alors que sa victoire est certaine. A nous d’y travailler !

Pratique : Pourquoi ne pas dire le Rosaire en ce beau jour ?