Jeudi 9 novembre : Dédicace de l’Archibasilique du Très saint Sauveur

Ce lieu est terrible : c’est la maison de Dieu et la porte du ciel, et on l’appellera la demeure de Dieu. (Introït de la fête de la dédicace)

Cocorico !

C’est aujourd’hui un jour de fierté française, puisqu’on célèbre la dédicace de l’Archibasilique du Très Saint Sauveur, appelée aussi basilique du Latran, à Rome. Fierté disais-je, puisque cette Église, qui se pare de l’auguste titre de Mère et maîtresse de toutes les églises, est spécialement sous protectorat de la France !

Fierté vraiment ? Ne nous le cachons pas… si cette basilique, offerte à l’Église par la piété de l’empereur Constantin, a été mise sous la recommandation de notre pays, c’est en hommage à la mission – habituellement remplie depuis Clovis – de protéger l’Église… Qu’en reste-t-il ? Pas grand chose aujourd’hui, puisque notre pays est dominé par une laïcité agressive et une indifférence religieuse crasse… France, fille aînée de l’Eglise, qu’as-tu fait de ton Baptême ?

Fierté toujours ? A voir les églises, oratoires, calvaires, croix de missions, qui parsèment nos contrées, on se dit que le Seigneur a béni la terre de nos ancêtres ! Hélas… tant de ces édifices sont aujourd’hui en ruines, détruits, abandonnés, profanés… quelle honte pour nous, incapables de faire au moins survivre l’héritage de nos pères !

Et nous, avons nous souvent posé des actes publics de foi ? Avons nous jamais pensé a dresser un oratoire, une statue, une Croix, sur nos maisons et nos terrains ? Celui qui aura rougi de moi, le Fils de l’homme rougira de lui quand il viendra dans la gloire… Lc 9,26.

Pratique : Nous veillerons aujourd’hui à bien faire la prière d’action de grâce, avant et après le repas.

Mercredi 8 novembre : De la férie

La nature se pare des couleurs d’automne. La pluie, le vent, la grisaille, tout nous parle du monde qui passe et qui est en quête de renouvellement. La liturgie de l’Église est à l’unisson de la nature, en nous faisant penser aux âmes du purgatoire. Elles aussi sont en quête de renouvellement ! Si nous sommes touchés de leur sort, n’oublions pas ce qui, selon toute la tradition de l’Église, peut leur faire le plus de bien : faire célébrer des Messes !

Dans ses dialogues encore, sainte Grégoire le grand raconte l’histoire du moine Justus qui avait secrètement gardé trois écus d’or, en opposition à son vœu de pauvreté. Grâce à la bonté de son frère Copiosus à qui il avait avoué sa faute, il s’était repenti, mais il mourut peu après. La faute ayant été connue de tout le monastère, saint Grégoire le fit enterrer à l’écart dans une fosse aux immondices avec ses trois écus ! Mais pris de compassion le saint ordonna à l’économe Pretiosus de faire célébrer des Messes pour le repos de son âme. Ce que fit Pretiosus, et, un soir, il eut la surprise de voir son frère Justus lui apparaitre et lui dire qu’il était admis dans la société des saints. On compta les jours où la Messe avait été dite à son intention et on vit qu’au bout de trente jour son âme avait été libérée du purgatoire ! Depuis, dans tous les monastères bénédictins et chez bien des fidèles, on fait célébrer des trentains de Messes pour ceux qui nous ont quittés…

St Jean Bosco, de son coté, raconte l’histoire de ces deux prêtres amis qui avaient fait la promesse de dire une Messe pour le repos de l’âme de celui qui mourrait en premier. Or l’un des deux mourut un soir. Le lendemain matin l’autre célèbre la Messe promise, et il voit son ami partir pour le paradis en lui disant : Mais pourquoi as-tu tant tardé !

Pratique : Ne tardons pas à faire célébrer des Messes pour nos défunts.

Mardi 7 novembre : De la férie

Visite guidée du purgatoire ! Je ne sais pas si les tour-opérateurs, qui recherchent les destinations les plus exotiques ont jamais pensé à celle-là ? Permettez-moi, alors, le temps d’un mot spirituel, de vous emmener dans ce lieu bien mystérieux, guidés par une sainte qui eut des lumières particulières sur la question : sainte Catherine de Gènes.

Dans son traité du purgatoire, elle décrit l’incroyable différence entre la vie de ces âmes et la nôtre. Sans mauvais jeu de mot, on pourrait résumer ainsi sa pensée : au contraire de notre monde, dans le purgatoire, il n’y a pas de tiédeur ! – Ici-bas nous sommes tièdes dans nos idées, ne voyant pas très clairement le vrai et le faux. Dans le purgatoire, les âmes savent parfaitement où est la vérité ; sainte Catherine nous dit qu’elles choisissent elles-mêmes d’aller au purgatoire, car elles ne voient que trop qu’elles ne sont pas prêtes pour la vision de Dieu ! – Ici-bas nous sommes tièdes dans nos résolutions de progrès. Pour les âmes du purgatoire, l’attente de voir Dieu est une immense faim, nous dit notre sainte. – Ici-bas nous sommes inconstants dans les efforts, paresseux pour faire le bien. Dans le purgatoire les âmes souffrent terriblement mais joyeusement, car tous savent que c’est la volonté de Dieu, que le moment de la joie parfaite approche…

Saint Catherine imagine encore la prédication que pourrait nous donner une de ces âmes : Il me vient une envie de crier avec une telle force que sur la Terre tous les hommes en seraient épouvantés. Je leur dirais: « malheureux, pourquoi vous laissez-vous aveugler à ce point par le monde? A cette nécessité si pressante où vous vous trouverez au moment de la mort, vous n’avez aucun souci de vous préparer!  Vous vous abritez tous sous l’espérance de la miséricorde divine. Elle est si grande, dites-vous. Mais vous ne voyez pas que cette bonté de Dieu tournera à votre condamnation puisque c’est contre la volonté d’un si bon maître que vous aurez agi. »

Et si les âmes du purgatoire nous convertissaient ?

Pratique : continuons nos visites de cimetière pour les défunts.

Lundi 6 novembre : De la férie

Visiter un cimetière nous remplit de sagesse, n’est-ce pas ? Bien des choses que nous désirons fortement, ou au contraire, qui nous paraissent impossibles à supporter, paraissent bien futiles devant une tombe… Nous franchirons un jour nous-mêmes cette mystérieuse porte de la mort, et nous entendrons alors la franche question évangélique : rends compte de ta gestion ! Quelle sera la sentence ? Si d’autres sont au purgatoire, pourquoi y échapperai-je moi-même ?

Impossible de répondre à cette question puisque le Seigneur s’est réservé ce jugement. Mais ce que nous savons, c’est qu’il n’est pas nécessaire d’avoir fait de grandes choses pour aller tout droit au ciel, mais il faut avoir été fidèle à son devoir quotidien. Saint Grégoire le grand a consacré le quatrième livre de ses dialogues au sort des âmes après la mort. Il nous y raconte l’histoire touchante de Mursa, la petite servante (Dialogues IV, 17) : Celle-ci vit en songe la Vierge Marie entourée de petites filles de son âge. La sainte Vierge lui demanda si cela lui plairait de venir vivre avec Elle. Mursa répondit qu’elle le voulait bien. La Vierge demanda alors, pendant un mois, de ne pas se comporter de façon superficielle, ni perdre son temps. Ce que fit Mursa bien fidèlement. Un mois après, elle tomba malade, puis revit la sainte Vierge qui l’invita à venir auprès d’elle. Mursa mourut en disant ces simples paroles : Volontiers, bienheureuse Vierge, je viens ! Volontiers bienheureuse Vierge, je viens !

Pratique : Aujourd’hui nous éviterons toute superficialité et perte de temps.

Dimanche 5 novembre : 22° dimanche après la Pentecôte

Rendez à César, ce qui est à César, et à Dieu, ce qui est à Dieu !

Ce passage d’Évangile est célèbre, c’est de lui que vient l’idée, caractéristique du christianisme, de séparer le pouvoir civil du pouvoir religieux. Mais comprenons-nous toute la profondeur de ce que dit Jésus ? Rendre à César ce qui est à César nous rappelle notre devoir d’être justes, d’être honnêtes, de bien travailler et bien servir notre patrie. Et cela va jusqu’à veiller à être polis, ponctuels, et respecter ses engagements ! Y sommes-nous fidèles ?

Rendre à Dieu ce qui est à Dieu ! Notre âme, notre vie, ne viennent-elles pas de Dieu ? Qu’attend alors Jésus ? Un peu ce qu’écrivait un poète danois : Ayez soin du cœur que je vous ai confié, que vos jours soient gris ou clairs. Pur vous l’avez reçu, comme une poussière d’étoile brillant sur un ciel bleu nuit. Mais cette seule chose j’exige de vous : pur je veux que vous puissiez me le rendre le jour où nous nous reverrons.

Pratique : Se dévouer aujourd’hui à sa famille. Parfois un simple coup de fil à un parent éloigné peut faire des merveilles !

Samedi 4 novembre : Saint Charles Borromée

Daignez, Seigneur, garder continuellement votre Église sous la protection de saint Charles, votre Pontife et Confesseur ; et comme sa sollicitude pastorale l’a rendu glorieux, que son intercession nous obtienne d’être toujours fervents dans votre amour.  oraison de la Messe de saint Charles Borromée

Saint Charles Borromée fut un saint marquant du 16°siècle, et son œuvre influence encore notre époque ! Il naquit en 1538 dans une grande famille de Milan. Son oncle, le Pape Pie IV en fit un cardinal à 23 ans et bientôt l’évêque de Milan. Bien loin de s’affadir au contact des honneurs, il se dévoua sans compter à sa nouvelle charge. A son arrivée Milan était un diocèse bien tiède, mais il voulut le réformer selon les directives du Concile de Trente (qu’il avait fortement influencé…). Il le reprit en main en multipliant notamment les écoles catéchétiques pour former les fidèles (St Charles est patron des œuvres catéchétiques), en fondant un séminaire (c’était la première fois que cela se faisait) et en travaillant à la sainteté des prêtres.
En plus de cela, saint Charles donnait à tous l’exemple d’une vie mortifiée habitée aussi de l’amour des pauvres et des malades (il soigna lui-même de nombreux lépreux au péril de sa vie). Il mourut à Milan le 3 novembre 1580, âgé de 47 ans…

 Saint Charles a été exemplaire pour ceux dont il avait la charge… et nous-mêmes, avons nous ce même souci d’être exemplaire, là où la Providence nous a placé ? Prenons pour chacun de nous ce quelques lignes vigoureuses que saint Charles adressait aux prêtres : Craignons que le Juge irrité ne nous dise : Si vous étiez les éclaireurs de mon Église, pourquoi donc fermiez-vous les yeux ? Si vous vous prétendiez les pasteurs du troupeau, pourquoi l’avez-vous laissé s’égarer ? Sel de la terre, vous vous êtes affadis. Lumière du monde, ceux qui étaient assis dans les ténèbres et dans l’ombre de la mort n’ont point vu vos rayons. Vous étiez Apôtres ; mais qui donc éprouva votre vigueur apostolique, vous qui jamais n’avez rien fait que pour complaire aux hommes ? Vous étiez la bouche du Seigneur, et l’avez rendue muette. Si votre excuse doit être que le fardeau dépassait vos forces, pourquoi fut-il l’objet de vos menées ambitieuses ?

Pratique : Nous prierons, comme St Charles le fait certainement dans le ciel, pour avoir des prêtres, des saints prêtres.

Vendredi 3 novembre : De la férie

O Dieu, qui accordez le pardon et qui aimez à sauver les hommes, nous demandons à votre bonté que, par l’intercession de la bienheureuse Marie toujours Vierge et de tous vos Saints, vous accordiez aux âmes de vos serviteurs et de vos servantes qui sont morts, de parvenir au séjour de la béatitude éternelle. (Oraison pour les 2ème et 3ème Messes du 2 novembre)

Dans l’Église de mon petit village provençal de Carnoules, comme dans bien d’autres églises, on trouve un autel consacré aux âmes du purgatoire… C’est un autel de marbre où le noir domine, surmonté d’une belle statue de la Vierge Marie debout, les bras levés au Ciel, implorant pour les âmes des défunts. Derrière cet autel, il y a un tableau encore plus explicite, où la sainte Vierge, à genoux cette fois, indique au Seigneur portant la Croix, les pauvres âmes du purgatoire. Et, comme Jésus ne peut rien refuser à Marie, un petit ange plonge pour tirer par le poignet l’une d’entre elles pour l’emmener dans le Paradis !

Nos ancêtres avaient une immense tendresse et confiance envers la Vierge Marie… Ils savaient, par exemple, que Marie venait chercher le samedi qui suivrait leur mort tous ceux qui porteraient son scapulaire.  Ils confièrent alors particulièrement à Marie leurs défunts, en l’appelant du doux nom de Notre-Dame de bonne délivrance. Plus près de nous, mais dans le même esprit, une sainte Faustine eut la vision de la sainte Vierge en train de consoler les âmes du purgatoire… Comme il est émouvant de voir que la bonté de Marie s’étend aussi sur cette lugubre partie de l’au-delà ! Prions fidèlement la sainte Vierge pour nos morts…

Pratique : Une visite au cimetière, en priant la Vierge Marie pour les défunts.

Jeudi 2 novembre : Commémoraison de tous les fidèles défunts

Requiem aeternam dona eis, Domine, et lux perpetua luceat eis ! Donnez-leur, Seigneur, le repos éternel, et que la lumière éternelle brille pour eux !

L’usage de célébrer des Messes pour les défunts est très ancien dans l’Église, il est attesté dès le 5ème siècle. Mais c’est saint Odilon, 4ème abbé de Cluny, qui décida en 998 de célébrer le 2 novembre, une commémoraison de tous les fidèles défunts. Grâce à l’immense influence de Cluny, cette fête s’étendit bientôt dans toute la chrétienté.

La liturgie des défunts est tout simplement magnifique ! D’abord on ne cesse d’invoquer la miséricorde de Dieu sur ceux qui sont partis : Quia pius es ! Parce que vous êtes bon (Seigneur) ! Ensuite la plupart des textes se réfèrent à l’idée paisible qu’avaient les premiers chrétiens de la mort : un passage vers le repos éternel ! Voila pourquoi cette Messe, bien chantée, apporte autant de paix à ceux arrivent chargés de la tristesse de la séparation. La liturgie entoure encore la dépouille des défunts d’un grand respect, tout comme dans une famille, dit saint Augustin, on respecte les souvenirs légués par les anciens ! Occasion pour moi de vous inviter à réprouver absolument la coutume barbare de la crémation… Enfin l’Église nous demande de penser aux âmes du purgatoire ! Peut-être que des membres de notre famille, des amis que nous avons connus, se trouvent en ce lieu de purification ? Par les indulgences, nos prières ont une merveilleuse puissance pour les délivrer, qu’attendons nous pour leur porter secours ?

Pratique : Nous veillerons aujourd’hui à visiter un cimetière en priant pour les défunts.

Mercredi 1er novembre : Fête de la Toussaint

…je vis une grande multitude, que personne ne pouvait compter, de toute nation, de toute tribu, de tout peuple, et de toute langue ; ils se tenaient devant le trône et en face de l’Agneau, vêtus de robes blanches, et ils avaient des palmes dans leurs mains. Et ils criaient… Apocalypse chapitre 7.

L’empereur Auguste avait dédié l’ancien temple d’Agrippa à tous les dieux du paganisme, d’où son nom Panthéon. En 610, le pape Boniface IV y fit transporter de nombreuses reliques de martyrs, et le consacra à la sainte vierge Marie et à tous les martyrs. Rapidement on étendit sa dédicace à la sainte Vierge Marie et tous les saints. Et au 9°siècle, on fixa au 1er novembre la fête de tous les saints. Chaque année la liturgie nous ramène leur souvenir à travers la splendide vision de saint Jean dans l’Apocalypse. Connus ou inconnus, de toutes origines et de toutes époques, les saints nous crient le secret qu’ils ont trouvé : le vrai sens de la vie est d’aimer Dieu de tout son cœur pour le rejoindre un jour au Ciel ! La liturgie les classe par ordre : Anges, Patriarches, prophètes, docteurs de la loi, apôtres, Martyrs, confesseurs, vierges, anachorètes, chacun a sa manière a fait briller sur la terre quelque chose de la beauté de Dieu. Quelle auréole pour nous ? Celle du devoir quotidien ?

Retenons, en tous cas que le catholicisme, ça marche ! A notre époque de résultat et de rentabilité, proclamons cette réussite ! Thérèse qui rentre au Carmel à 15 ans pour prier pour les pécheurs et les prêtres ; Augustin qui raconte aussi bien ses lourdes fautes que son profond désir de Dieu ; François d’Assise qui remets son seul habit à son évêque pour vivre l’entière pauvreté… Cet immense nuage de témoins a éclairé les routes de notre terre d’une vive lumière de beauté, et nous a rappelé l’essentiel, à nous qui sommes lourds de cœur… Veillons à lire et à connaître la vie des saints, qui est l’évangile vécu en acte et en vérité !

Pratique : Adressons aujourd’hui une prière spéciale à notre saint préféré, et aussi à ceux de nos ancêtres qui sont déjà au Ciel…

Mardi 31 octobre : De la férie

– Je veux te dire que l’on fasse construire ici une chapelle en mon honneur, que je suis Notre-Dame du Rosaire, que l’on continue à réciter le chapelet tous les jours. La guerre va finir et les militaires rentreront bientôt chez eux… Après avoir parlé, la sainte Vierge, en partant, ouvrit les mains et les dirigea vers le soleil. Au cri de Lucie : Regardez le soleil ! tous se tournèrent vers l’astre qu’on pouvait d’un coup regarder sans désagrément. Le soleil se mit à bouger, à trembler dans le ciel, à émettre de vives couleurs, puis à tourner sur lui-même et danser par trois fois, puis il sembla se détacher du ciel pour descendre en tournoyant sur la terre. Tous étaient terrorisés, mais le soleil arrêta ses mouvements, et tout redevint normal… Le miracle avait duré 10 minutes environ, et les 70.000 personnes eurent la surprise de se retrouver secs, alors qu’il pleuvait encore quelques minutes auparavant..

Je suis Notre-Dame du Rosaire… Tel est le nom de cette belle dame ! Le premier grand signe de Fatima, alors, c’est que pour éviter la guerre et la persécution contre l’Eglise, pour obtenir le salut des pécheurs, le chapelet est un moyen universel… Il n’y a aucun problème, si difficile soit-il, temporel ou surtout spirituel, se référant à la vie personnelle de chacun de nous, de nos familles, des familles du monde ou des communautés religieuses, ou bien à la vie des peuples et des nations, il n’y a aucun problème, dis-je, si difficile soit-il, que nous ne puissions résoudre par la prière du saint Rosaire (Lucie au père Fuentès, 1957).

L’autre signe est ce grand miracle du soleil… Il prouve clairement que tout est vrai, mais pourquoi toute cette mise en scène ? Les témoins oculaires témoigneront de deux sentiments différents : le sentiment de la puissance de Dieu, et l’effroi quand le soleil semblait se précipiter sur eux. Même le soleil se met en tête de nous convertir !

Pratique : Récitons aujourd’hui notre chapelet avec une particulière attention et dévotion.