Samedi 16 mars : De la férie

celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais Il aura la lumière de la vie. Tiré de la liturgie de la Messe.

A l’approche du temps de la Passion, nous allons parler des liens, nombreux, entre la Passion de Jésus et le sacrement de Pénitence…

Jésus parlait souvent aux apôtres de sa Passion qui allait venir. Il a beaucoup attendu son heure, où il rendrait témoignage. De même il a beaucoup parlé du pardon des péchés des hommes et l’a beaucoup désiré. Quelques indices nous le manifestent clairement. Alors que Jésus ne baptisait pas Lui-même, ni ne confirmait, ne donnait pas d’Extrême Onction ni ne mariait, alors qu’Il attendra le jeudi-saint pour donner l’Eucharistie et l’ordination à ses apôtres, Jésus ne pourra attendre pour accorder le pardon des péchés ! Il pardonne au paralytique, Il pardonne à la femme adultère, Il pardonne à celle qui vient pleurer à ses pieds chez le pharisien ! Remarquez que déjà du temps de Jésus, les femmes se confessaient plus que les hommes… Jésus insistera encore auprès de ses apôtres le soir de la Résurrection, Il soufflera sur eux, en disant, recevez le Saint-Esprit, ceux à qui vous pardonnerez les péchés, ils seront pardonnés, ceux à qui vous les retiendrez, il leur seront retenus ! Peut-on être plus clair ? Je vous dit que Jésus n’attends que cela ! Ce n’est pas de mettre les mains dans le cambouis de nos péchés qui Lui fait peur, c’est simplement que nous Lui fermions la porte ! Aujourd’hui L’Eglise vous l’indique clairement : Celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais Il aura la lumière de la vie

Pratique : N’oublions pas de nous unir en esprit à une Messe célébrée aujourd’hui

Vendredi 15 mars : De la férie

Lazare, sors dehors ! Tiré de l’Évangile du jour.

Jésus tire Lazare de la mort. A sa suite, l’Eglise appelle aussi tous les morts spirituels à la vie !Confessez vous pour retrouver la vie de vos âmes ! Innombrables sont les saints prêtres au cours des siècles passés qui ont littéralement habité le confessionnal et appelé les âmes à la conversion. C’est le saint Curé d’ars qui passait jusqu’à 15h par jour à écouter les misères du monde et les effacer. Au point où, pour le rencontrer il fallait passer par le confessionnal ! C’est le Padre Pio, qui y passait des heures, Lui aussi, et qui rabrouait parfois les pénitents avec son tempérament d’italien du sud ! C’est saint Pie X, à l’époque où il était évêque de Mantoue, qui avait entendu dire qu’un de ses curés n’était pas fidèles aux horaires fixés pour la confession. Alors un jour, sans rien dire, il vient en carriole dans la paroisse du curé à l’heure des confessions. Le curé n’y est pas ! Alors l’évêque fait sonner la cloche pour appeler les fidèles et s’installe pour pardonner les péchés. Le curé arrive, furieux qu’un intrus ait osé disposer de son confessionnal, et qui y trouve l’évêque ! Il se répand en excuses, expliquant qu’il n’avait pas pu refuser une invitation. Spirituellement, saint Pie X lui répondit qu’il comprenait très bien, mais qu’il n’hésite pas, à la prochaine invitation, à prévenir l’évêque qui viendrait volontiers le remplacer… La leçon dut porter… C’est encore sainte Catherine de Sienne, qui n’était évidement pas prêtre, mais qui prêchait avec tant de ferveur l’amour de Jésus et le regret de ses péchés, qu’elle entraînait des milliers de ses auditeurs à la conversion. Au point où le pape de l’époque, averti du phénomène, lui avait accordé plusieurs prêtres qui l’accompagnaient et se mettait en position de confession dès qu’elle parlait ! Chers fidèles, à moins d’être sourds comment ne pas entendre l’appel de l’Eglise : Confessez vous souvent !

Pratique : Prions pour qu’un ami ou membre de ma famille se tourne vers Dieu

Jeudi 14 mars : De la férie

Ils glorifiaient Dieu en disant : « Un grand prophète a surgi parmi nous » ! Tiré de l’Evangile du jour

Nous sommes décidément toujours trop discrets sur notre foi. Nous croyons que Jésus est le Sauveur du monde, et nous en parlons peu. Nous savons que son Amour pour les hommes est immense, et nous le taisons. Nous recevons son pardon libérateur à chacune de nos confessions et nous n’en disons rien. Après notre confession n’avons nous pas le devoir de témoigner de l’immense chance de pouvoir effacer tous les péchés d’une vie ?

Le premier témoignage s’est de se confesser régulièrement. Les anciens curés avaient bien remarqué qu’une paroisse qui se confessait régulièrement , était une paroisse où le bon Dieu était bien servi… Et c’est bien pour ce genre de bons exemple que Jésus nous a fait la magnifique promesse suivante : Celui qui s’engagera pour moi devant les hommes, je m’engagerai pour lui devant les anges de Dieu ! Le second témoignage est d’encourager ceux qui hésitent à se confesser ou ignorent la grandeur de ce sacrement. J’ai eu la surprise de voir un jour un enfant du catchisme dire à un de ses camarades : Mais oui, c’est bien de se confesser. Tu dis simplement les péchés au prêtre et après il les efface et tu sors tout léger après la confession ! Peut-on être plus clair ? Qui dira, dans le secret des cœurs, tout le bien qui se fera, et toutes les âmes éclairées et sauvées parce qu’on leur aura donné ce simple conseil ? Ils glorifiaient Dieu en disant : « Un grand prophète a surgi parmi nous » !

Pratique : Une prière pour les membres de notre famille qui ont oublié la confession

Mercredi 13 mars : De la férie

Se confesser et après…

Il y alla, se lava et redevint voyant… Tiré de l’Évangile du jour.

L’aveugle guéri est l’image joyeuse de celui qui vient de se confesser. Finie la tristesse, goûtons la joie de la réconciliation avec Dieu ! Minute, minute… Attention a bien négocier sa sortie de confession ! Celui qui sortirait de la confession tout à sa joie et en oubliant le passé serait en grand danger de recommencer. C’est ce qu’explique Jésus dans la parabole du démon chassé qui revient avec sept autres esprit plus mauvais que lui. Où était le problème de cet homme libéré ? Sa maison était restée propre et vide.. Ne laissons pas la maison de notre cœur vide ! Après la confession, prenons des résolutions ! Tel défaut, tel péché, prenons les moyens de ne plus les recommencer. Pardonnons si nous avons gardé rancune à un de nos frères, écartons-nous des spectacles ou endroits dangereux, programmons les prières que nous manquons trop souvent !

Serais je un peu rabat-joie avec ce conseil ? Non, à notre époque trop pressée, relisons la vie des saints ! Leur vie n’a pas été autre chose qu’un labeur quotidien pour le service de Dieu… Le saint Curé d’Ars avouait ainsi simplement qu’il lui coûtait de se lever le matin pour aller confesser les pénitents qui attendaient depuis des heures. Il faut dire aussi qu’il se levait à une heure du matin… Il confiait aussi à Catherine Lassagne que, dans ses efforts de jeûne, il avait essayé, sans succès de se passer du pain ! Oui, comme L’aveugle, quittons la cécité du péché, mais veillons aussi à n’y pas retourner !

Pratique : reprendre nos résolutions de carême

Mardi 12 mars : De la férie

Exaucez, ô Dieu, ma prière, et ne méprisez pas ma supplication ; écoutez-moi et exaucez-moi ! Tiré de la liturgie du jour.

Pour clore ce chapitre de la réparation de nos péchés, il me reste à vous parler des Indulgences. De quoi s’agit-il ? Du pouvoir qu’à l’Eglise d’attribuer à un effort ou une prière, une valeur plus grande de purification des péchés. Ainsi l’Eglise attribue une indulgence plénière (capable d’obtenir la purification de tous nos péchés si elle est gagnée plénière) à celui qui récite le chapelet dans une église ou adore le très saint sacrement pendant une demi-heure au moins. Ces indulgences sont donc vraiment précieuses et elles nous aident fortement dans notre effort de purification des péchés ! Les anciens y étaient très attachés.

L’histoire nous rapporte cependant que Luther fut scandalisé devant la prédication du dominicain Tetzel. Celui-ci collectait les dons pour bâtir la basilique saint Pierre à Rome, et, pour l’occasion, une indulgence était accordée aux fidèles qui donnaient leur obole. Les protestant reprochent encore aujourd’hui aux catholiques cette doctrine des indulgences… Des excès ont évidement pu exister au cours de l’histoire, mais on ne voit pas bien pourquoi un don d’argent, gagné par son travail, pour bâtir une église, ne pourrait pas être valorisé devant Dieu ? Notre Seigneur n’a-t-il pas loué la vieille femme qui venait déposer deux pièces dans le trésor du temple ? Tout comme il conseillait aux pharisiens de donner aux pauvres pour obtenir la pureté intérieure… Ne craignons pas de Pratiquer ces indulgences, comme un cadeau du Ciel qui nous est gratuitement proposé ! Exaucez, ô Dieu, ma prière, et ne méprisez pas ma supplication ; écoutez-moi et exaucez-moi !

Pratique : Pensons à prier pour tous les pauvres

Lundi 11 mars : De la férie

Le zèle de votre maison me dévore ! Tiré de l’Evangile du jour.

L’Evangile d’aujourd’hui est l’épisode où Jésus, chasse les marchands du Temple, et les apôtres sont étonnés de son engagement puissant pour résoudre ce désordre. Et c’est l’occasion aussi pour moi de vous pousser à faire réparation, pas simplement pour vos péchés personnels, mais aussi, par charité, pour ceux de vos frères !

Nous avons en effet cette belle capacité, par l’union qui existe entre nous, de pouvoir porter les fardeaux les uns des autres. On peut donc réparer pour les autres ! Le saint curé d’Ars était bien connu pour cela. Un jour, un de ses confrères prêtres fut un peu scandalisé d’apprendre qu’un pécheur depuis de longues années était venu se confesser chez le saint curé, mais n’avait reçu qu’une légère pénitence. Il vint en faire le reproche au saint curé d’Ars qui lui répondit, Que voulez vous ? Ils viennent de si loin… Alors j’ai une coutume : Je fais le principal de la pénitence, et leur laisse le reste ! Et chez le saint curé ces mots n’étaient certainement pas des mots en l’air ! Heureux fidèles dont le pasteur veille ainsi sur eux !
Les raisons de réparer sont innombrables de nos jours : oubli et mépris de Dieu, égoïsme, sensualité s’affichent partout et de manière revendiquée ! Pensons, au moins, à pleurer les fautes de notre famille proche, et, sans rien dire, à pratiquer ainsi une douce charité.
Le zèle de votre maison me dévore !


Pratique : Un sacrifice pour réparer une faute constatée dans la journée, chez soi ou chez  les autres.

Dimanche 10 mars : 4° dimanche de Carême

Où achèterons-nous des pains pour leur donner à manger ? Tiré de l’Evangile

La Bible nous rapporte que 500 ans avant la venue de Notre Seigneur Jésus-Christ, le peuple hébreux était retenu captif à Babylone. Là-bas les païens leur demandaient de chanter des cantiques de leur pays. En pleurant, ils répondaient : Comment donc pourrions nous chanter les cantiques du Seigneur dans une terre étrangère ? Ne ressentons pas aujourd’hui la même chose avec ce dimanche de laetare qui voudrait nous pousser à la joie ? Comment nous réjouir aujourd’hui avec l’Eglise quand beaucoup souffrent, quand la guerre fait des victimes quotidiennes ? Quand aussi on entend parler de tant de peines ?

Sans prétendre répondre au grand mystère des misères de cette terre, je remarque tout de même que, dans la vie, les épreuves peuvent être l’occasion d’une générosité exceptionnelle ! N’est-ce pas devant l’horreur de la bataille de Solférino qu’Henri Dunant fonda la Croix-Rouge ? N’est-ce pas devant un homme qui n’avait jamais osé confesser ses péchés à un prêtre que saint Vincent de Paul se résolut à devenir un saint ? N’est-ce pas en constatant de conduites légères chez les prêtres de son pèlerinage de Rome, que sainte Thérèse comprit combien il était important de prier et de s’offrir pour la sanctification des prêtres ? Et si le Seigneur nous attendait là ? Où achèterons-nous des pains pour leur donner à manger ?

Pratique : Prions pour que des générosités nouvelles se lèvent

Samedi 9 mars : De la férie

Seigneur, ne nous traitez pas selon nos péchés, et ne nous punissez pas selon nos iniquités.  De la liturgie du jour.

 Travaillons à la réparation de nos péchés ! Je dis cela en souriant un peu, parce que c’est vraiment un conseil décalé aujourd’hui ! Il n’y a pas grand monde qui aille dans ce sens, même à l’intérieur de l’Eglise… Pourtant, n’est ce pas un amour authentique que de réparer ses péchés ? N’est ce pas une bonne manière de préparer son éternité ? N’est ce pas un excellent exemple qui serait donné autour de nous ? N’est ce pas ce que la sainte Vierge demandait aux enfants de Fatima ?Voulez-vous vous offrir à Dieu pour supporter toutes les souffrances qu’Il voudra vous envoyer, en acte de réparation pour les péchés par lesquels Il est offensé… ? Si nous avions encore besoin d’arguments pour nous y mettre, je vous en donnerais deux autres : d’abord si nous avons la foi, nous savons que les péchés non purifiés ici bas doivent être purifiés après dans le purgatoire ! On comprend alors la folie de laisser s’accumuler, parfois pendant des années, la responsabilité de péchés confessés à la va-vite, à peine regrettés et pas du tout réparés ! Enfin, et même si cela peut paraître curieux, la purification des péchés laisse une grand paix dans l’âme ! Les Pères du désert nous ont laissé l’histoire étonnante de ce frère qui arrivait près de la mort avec une grande paix. Pourtant sa vie avait semblé plutôt médiocre ! Alors on lui demanda s’il n’avait aucune crainte d’arriver ainsi devant le jugement de Dieu ? Il répondit qu’il n’en avait aucune parce que toute sa vie, il avait veillé à pardonner à ceux qui l’avaient offensé ! Et qu’il espérait donc être aussi accueilli selon la parole du Seigneur… Sa pratique l’avait non seulement purifié, mais lui donnait la paix au moment du passage dans son éternité ! Seigneur, ne nous traitez pas selon nos péchés, et ne nous punissez pas selon nos iniquités.  

Pratique : Pensons à pardonner à tous nos ennemis !

Vendredi 8 mars : De la férie

le Seigneur s’apaisa, et il résolut de ne point faire à son peuple le mal qu’il lui voulait faire… Tiré de la liturgie du jour.

Si vous le voulez bien, revenons sur le sens de cette réparation que l’église nous demande. Elle répond à notre profond désir de justice. J’ai connu, il y a des années de cela un homme qui, suite à de grosses bêtises, passa quelques années en prison. Plus tard, à chaque fois qu’on évoquait devant lui ses erreurs de jeunesse, il répondait, en regardant droit dans les yeux : J’ai payé pour tout ça ! Et personne n’osait rien dire alors… La pénitence qu’il avait subi lui avait rendu sa fierté ! C’est exactement ce que l’Eglise voudrait pour nous, que nous réparions nos fautes autant qu’il est possible, et nous rendre notre fierté. Il y a d’ailleurs une réparation qui est obligatoire, c’est par exemple de rendre l’argent qu’on aurait volé, et, si on ne peut retrouver la personne, donner l’équivalent à une bonne œuvre où à l’Eglise. On doit pareillement réparer les calomnies qu’on a pu dire des autres, par exemple en disant du bien d’eux. De même celui qui a aurait attaqué l’Eglise publiquement devrait réparer en pratiquant publiquement la religion. Au delà de cette réparation obligatoire, le reste dépend de notre générosité. On peut réparer beaucoup ou peu nos fautes… Ne serait-il pas bon que les chrétiens retrouvent ce sens de la justice et de la réparation ? Pourquoi ne pas s’inspirer des pratiques des temps passés, en faisant une grande chose, pèlerinage, journée de jeûne, don d’argent, pour réparer nos fautes entièrement, quand bien même le prêtre ne nous aurait donné qu’une faible réparation ?, Que nous puissions nous aussi dire, au jour de la rencontre avec Dieu, j’ai payé pour tout ça ! Le Seigneur s’apaisa, et il résolut de ne point faire à son peuple le mal qu’il lui voulait faire…

Pratique : De quand date notre dernier don aux pauvres ?

Jeudi 7 mars : De la férie


Faites-nous la grâce, ô Dieu tout-puissant, qu’en pratiquant chaque année ces saintes observances avec une religieuse fidélité, nous vous soyons agréables de corps et d’âme…
Tiré de la liturgie du jour

Il nous reste encore à parler de la dernière partie de la confession, j’ai nommé la satisfaction, appelée aussi la réparation. Si vous vous êtes déjà confessé, il s’agit de la prière ou de l’effort que le prêtre vous demande d’accomplir après votre confession. Cette pénitence est obligatoire. Si on pensait ne pas pouvoir l’accomplir, on devrait demander son changement au prêtre. Son rôle est très simple à comprendre. Même si Jésus a obtenu pour nous le pardon des péchés, on demande tout de même au pénitent de collaborer au pardon par un effort personnel.

Cette pénitence, assez restreinte aujourd’hui, a toute une histoire derrière elle… Dans les temps anciens, ceux qui avaient commis des fautes graves et publiques devaient en faire pénitence publiquement. Ces pénitents publics, dont nous avons déjà parlé devaient, pendant tout le carême, être revêtus de sacs et couverts de cendres, attendre tout l’office devant la porte de l’église et pratiquer le jeûne et les pénitences, attendant le pardon de l’évêque le jeudi saint. Ainsi l’histoire rapporte que saint Ambroise refusa l’entrée de la cathédrale de Milan à l’empereur Théodose, coupable du massacre de Thessalonique. L’empereur répondit à saint Ambroise que le roi David lui-même avait bien péché. Saint Ambroise répondit à son tour : Puisque tu l’as imité dans son péché, imite le par sa pénitence ! Et Théodose accepta… A partir du 6° siècle se répandit l’habitude de la confession régulière et du coup, pour des raisons pratiques, on a transporté la pénitence après l’absolution alors qu’auparavant elle se pratiquait avant. Et avec le temps celle-ci se réduisit fortement… Aujourd’hui l’Eglise demande juste à ses prêtres d’adapter cette pénitence à la confession du pénitent. Si quelqu’un a été avare, on pourra lui conseiller un aumône. S’il a été impie, on lui conseillera une œuvre de dévotion. S’il a été égoïste, on pourra lui indiquer une œuvre de générosité pour les autres. Mais il reste toujours permis et encouragé de faire bien d’avantage que ce le confesseur demande ! Faites-nous la grâce, ô Dieu tout-puissant, qu’en pratiquant chaque année ces saintes observances avec une religieuse fidélité, nous vous soyons agréables de corps et d’âme…

Pratique : Un sacrifice en réparation de nos péchés