Mercredi 6 mars : De la férie

Que celui d’entre vous qui est sans péché lui jette la pierre le premier ! Tiré de l’Évangile du jour.

Plutôt que scruter ou juger le péché du voisin, Jésus nous invite aujourd’hui à chasser le péché qui est en nous… Et donc à pratiquer la confession ! Mais au fait, avec quelle fréquence ? On ne peut pas donner de réponse qui vaut pour tout le monde. Mais on peut dire que généralement on ne se confesse pas assez !

Un chrétien est obligé de se confesser de ses péchés graves au moins une fois l’an , généralement à Pâques. Mais ne serait ce pas normal de se confesser aussi aux grandes fêtes de l’année ? Comment laisser passer la Toussaint, Noël, l’Ascension ou l’Assomption sans purifier son âme ? De même un chrétien qui voudrait communier tous les dimanches, ne devrait-il pas, comme le disait un ancien curé de ma connaissance, se confesser une fois par mois ? Devraient se confesser souvent les enfants pour grandir sous l’influence de la miséricorde de Dieu, les adolescents qui découvrent les combats de la vie, tout comme les fiancés, et en général tous ceux qui sont dans l’épreuve ou la tentation ! Sans aller jusqu’à recommander la confession quotidienne qu’ont pratiquée certains saints, comme le padre Pio, on jugera de la vitalité de notre vie chrétienne et de la vitalité d’une paroisse au souci de se confesser et garder la pureté de l’âme ! Que celui d’entre vous qui est sans péché lui jette la pierre le premier !

Pratique : Prendre une résolution de confession régulière.

Mardi 5 mars : De la férie

J’ai à manger une nourriture que vous ne connaissez pas… Tiré de l’évangile du jour.

J’espère que vous goûtez l’entretien de Jésus avec la Samaritaine, il est tellement touchant. Cette pauvre femme samaritaine qui vient puiser de l’eau à midi. Un confrère, missionnaire dans les pays chauds, me faisait remarquer que personne ne vient puiser de l’eau à midi, heure caniculaire par excellence ! Cette femme ne voulait donc plus rencontrer personne, humiliée qu’elle était par les échecs de sa vie… Et elle attire Jésus, qui s’occupe d’elle et déclare aux apôtre que sa vraie nourriture c’est l’âme des pécheurs… Dieu voudrait tellement pardonner les fautes du monde…

Quels sont donc les fruits de l’absolution ? Ils sont nombreux, et superbes ! Le premier fruit nous dit le concile de Trente, c’est la réconciliation avec Dieu. Le pénitent se sent dans une étrange paix avec Dieu, une joie profonde, ses péchés n’existent plus ! Le bon Dieu au moment de l’absolution jette nos péchés par-derrière ses épaules, c’est-à-dire il les oublie, il les anéantit : ils ne reparaîtront plus jamais. St Curé d’Ars. N’allons surtout pas revenir sur ces péchés passés, Dieu Lui-même les a oubliés ! Dans la liste des autres fruits, on peut noter encore la reviviscence des bonnes œuvres. Ce terme un peu barbare veut simplement dire que toutes nos bonnes actions d’avant le péché comptent de nouveau devant Dieu ! Les péchés passés, une fois pardonnés, eux ne revivront plus jamais ! Enfin la Préservation des rechutes ou pour le dire de manière plus positive, cela nous donne un courage nouveau pour repartir dans la vie chrétienne. Auriez vous imaginé qu’au fond du confessionnal, Jésus disait : J’ai à manger une nourriture que vous ne connaissez pas…

Pratique : Relisons l’évangile du jour

Lundi 4 mars : De la férie

Je suis le salut du peuple, dit le Seigneur, dans toutes leurs tribulations, s’ils m’invoquent, je les exaucerai et je serai leur Seigneur à jamais.Tiré de la liturgie d’aujourd’hui

Et si maintenant on changeait de place au confessionnal ? Je vous propose de vous mettre du coté du prêtre ! Que doit-il faire, au moment de donner l’absolution ? Tout d’abord, il doit juger de la contrition du pénitent ! Accorder l’absolution est habituel, mais il peut y avoir des cas où il doit, malheureusement, la refuser… Quels sont ces cas ? En gros, quand le pénitent ne veut pas se détacher du péché grave. Par exemple en gardant volontairement une haine contre quelqu’un ou bien en voulant poursuivre une relation intime en dehors des lois de l’église. Comment peut on faire autrement ? Tant qu’on aime le péché, et qu’on ne veut pas y renoncer, on bloque la miséricorde de Dieu et on ne peut obtenir le pardon… Une possibilité reste tout de même au prêtre, c’est de convaincre le pénitent de changer ses dispositions et, au moins qu’il accepte de demander à Dieu cette conversion ! Combien des fois le saint curé d’Ars a-t-il prié, fait pénitence, et argumenté pour que ses paroissiens se convertissent ? On connaît bien l’histoire de Maissiat, le Lyonnais incroyant qui vint le voir un jour et voulait discuter avec lui. Confessez vous ! lui dit le saint curé. L’autre le fit, sans aucun regret (c’était l’époque où on obéissait encore aux prêtres…). Le saint curé d’Ars vit parfaitement qu’il n’avait pas de regret mais qu’il avait au moins eu l’humilité de dire ses péchés, lui dit : Allez prier à la chapelle de sainte Philomène ! L’autre y alla et au bout d’un certain temps se mit à pleurer ses fautes, sans savoir d’où cela venait. Mais cela venait du saint curé qui suppliait le bon Dieu de lui accorder la conversion de cette âme perdue ! Au confessionnal, le prêtre doit donc travailler à faire progresser nos disposition intérieures, écoutons ses conseils qui n’ont qu’un but, ouvrir grandes les portes de nos âmes à l’amour de Dieu ! Je suis le salut du peuple, dit le Seigneur, dans toutes leurs tribulations, s’ils m’invoquent, je les exaucerai et je serai leur Seigneur à jamais.

Pratique : Faisons un sacrifice pour ceux qui sont loin de Dieu

Dimanche 3 mars : 3° dimanche de Carême

Tout royaume divisé contre lui-même part à sa ruine… Tiré de l’Evangile du jour.

Cela vous paraîtra sans doute bizarre, mais j’ai un peu pitié de ces pharisiens de l’Evangile. Qu’est ce qu’ils se font ramasser par notre Seigneur ! Ils viennent avec leurs sourires mielleux, tordus dans leurs pensées, échafaudent des mauvais coups, et espèrent vraiment mettre Jésus dans l’embarras ! Mais vous savez à qui vous parlez, là ? C’est le Fils de Dieu, la deuxième personne de la sainte Trinité, qui est devant vous ! Il voit le fond de vos cœurs comme en plein jour, et possède toute la sagesse du monde. C’est vraiment plié d’avance… D’ailleurs ces attaques n’auront qu’un temps, viendra vite le moment, comme le dit avec sobriété l’Evangile, où personne n’osait plus l’interroger…

Profitons de l’impudence de ces pharisiens pour méditer la réponse de Jésus, si pleine de sagesse. Tout royaume divisé contre lui-même part à sa ruine… Comme c’est bien vu ! Pays, famille, communauté… partout où s’installe la division, les guerres fratricides, la perte du bien commun, c’est l’explosion qui est bien vite à prévoir. Mais au fait, n’est-ce pas vrai également pour ces pharisiens et pour chacun d’entre nous ? Ne sommes nous pas des êtres divisés ? Divisés entre la bonté et le péché, entre l’envie d’héroïsme et le rappel de nos misères, entre notre désir d’aimer Dieu, et nos sombres compromissions avec le diable… Alors nous sommes en danger de ruine, nous aussi, l’avons nous compris ? Avons nous compris que nous avons absolument besoin d’un homme fort, de Jésus, notre espérance ? Que nous avons besoin de la prière, de la confession, de la communion ? si nous pouvions comprendre, durant ce carême que tout royaume divisé contre lui-même part à sa ruine…

Pratique : Prions pour tous les malades de l’épidémie de coronavirus

Samedi 2 mars : De la férie

Je tressaillirai de joie et d’allégresse dans votre miséricorde, car vous avez regardé mon état humilié. Tiré de la liturgie

Un bouleversement profond se produit dans l’âme qui reçoit l’absolution. Saint Thomas d’Aquin n’hésitait pas à dire que c’était plus grand que la création du monde ! Je te pardonne tous tes péchés ! Le péché qui s’opposait à Dieu disparait d’un coup et c’est l’amour de Dieu qui règne dans l’âme…

On peut décrire précisément comment cela se passe. Un pénitent vient accuser ses péchés avec une contrition même imparfaite, qu’on appelle l’attrition. Il regrette donc ses péchés seulement à cause de leur laideur et des punitions qu’ils mériteraient. Par l’absolution Dieu élève cette contrition imparfaite en une contrition parfaite qui lave immédiatement de tout péché. C’est comme un coup de vent sur des braises, il fait bruler vif l’amour de Dieu en nous. Le saint curé d’Ars, qui s’y connaissait en confessions, écrivait à ce sujet : La miséricorde de Dieu est comme un torrent débordé. Elle entraîne les cœurs sur son passage. Nos cœurs entrainés par l’amour de Dieu à qui nous avons accepté simplement de nous confier, quelle belle image ! N’avez vous jamais remarqué qu’en sortant d’une confession, on se sent étrangement renouvelé, avec l’envie de ne plus recommencer les péchés qu’on vient d’accuser ? Dieu est passé par là… Comme un torrent débordé… Je tressaillirai de joie et d’allégresse dans votre miséricorde, car vous avez regardé mon état humilié.

Pratique : Remercier Dieu de nous avoir donné la confession

Vendredi 1er mars : De la férie

La main droite du Seigneur a fait éclater sa puissance, la main droite du Seigneur m’a exalté ! Je ne mourrai point, mais je vivrai, et je raconterai les œuvres du Seigneur. Tiré de la liturgie du jour

Nous avons préparé notre confession et accusé nos péchés, reste encore à recevoir l’absolution ! Selon la doctrine de l’Eglise, c’est cette formule d’absolution toute simple qui accomplit, en un instant, le sacrement de pénitence et le pardon des péchés. En occident elle consiste en ces mots : Ego te absolvo a peccatis tuis, in nomine Patris et Filii, et Spiritus Sancti ! ça, c’est en latin… En Français cela donne : Je te pardonne tous tes péchés, au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit ! L’Eglise n’a évidemment pas inventé cette cérémonie, mais elle en a reçu la mandat de Notre Seigneur Jésus-Christ Lui-même. C’était au soir de la Résurrection, Jésus souffla sur ses apôtres en disant : Recevez le Saint-Esprit, Ceux à qui vous remettrez les péchés, ils leur seront remis, ceux à qui vous les retiendrez, ils leur seront retenus…

Peut-être êtes vous habitués à la formule d’absolution et vous ne voyez plus ce qu’elle a d’énorme ? Le prêtre ose dire JE te pardonne tous tes péchés ! Mais pour qui se prend-il ce prêtre ? On touche là le grand mystère de tous les sacrements… Quand un pauvre prêtre prononce cette phrase, c’est Jésus qui parle à sa place et qui agit en un instant dans l’âme du pénitent. Vous saisissez la merveille ? A tous ceux qui regrettent de n’avoir pas vu le visage de Jésus, de n’avoir pas entendu ces paroles merveilleuses, ou vu un de ses miracles, j’ose dire que vous regrettez des choses secondaires ! Vous avez infiniment plus dans le moindre sacrement de l’Eglise où Jésus touche votre âme et la remplit de lumière. Pour rencontrer Dieu, pratiquez les sacrements, et laissez faire le Seigneur… La main droite du Seigneur a fait éclater sa puissance, la main droite du Seigneur m’a exalté ! Je ne mourrai point, mais je vivrai, et je raconterai les œuvres du Seigneur

Pratique : Parler à un ami éloigné de la religion, de la beauté de la confession

Jeudi 29 février : De la férie

Il faut te réjouir, mon fils, parce que ton frère était mort et qu’il est revenu à la vie ; parce qu’il était perdu, et qu’il est retrouvé. Tiré de la liturgie

Un dernier reproche, plus rare, mais qu’on peut entendre au sujet de l’accusation des péchés, c’est que cela doit bien soûler le prêtre d’entendre tout cela ! Ne doit on pas craindre de le déranger ?

Alors par pitié, chers fidèles, si vous aimez vos prêtres, surtout demandez leur de vous confesser, et régulièrement même ! Quelle joie pour le pasteur de donner la grâce de Dieu à ses brebis ! J’avoue franchement que cela m’agace passablement d’entendre dans l’Eglise, des prêtres et des évêques s’interroger à longueur de temps sur leur mission. A quoi sert un prêtre ? Quelle est sa mission ? Pourquoi est-il envoyé ? Et patati, et patata… Que de temps gaspillé ! Que de conférences inutiles… Mais qu’ils confessent ! Et ils comprendront tout de suite pourquoi ils sont envoyés. Pour purifier et sanctifier leur peuple ! N’était-ce pas le labeur quotidien du saint curé d’Ars et de tant de curés d’autrefois ? D’où vient qu’on a arrêté de confesser aujourd’hui ? Les péchés seraient ils disparus de la face de la terre ? Le diable aurait il pris des vacances ? Prions et travaillons pour qu’on retrouve au plus vite, dans notre Eglise, l’habitude de la confession fréquente, pour le plus grand bien et la plus grande paix des âmes ! Il faut te réjouir, mon fils, parce que ton frère était mort et qu’il est revenu à la vie ; parce qu’il était perdu, et qu’il est retrouvé.

Pratique : De quand date notre dernière confession ?

Mercredi 28 février : De la férie

Seigneur, délivrez mon âme des lèvres injustes et de la langue trompeuse. Tiré de la liturgie du jour

Autre inquiétude qu’on entend souvent, au sujet de la confession : Je ne sais pas bien expliquer mes péchés ! Ou bien : j’ai toujours peur de n’être pas bien compris… C’est évident que le moment de l’accusation est un moment de grande émotion, alors on peut évidemment s’embrouiller un peu, être partagé entre le remords, la honte et le souci de vérité. L’Eglise demande d’ailleurs aux confesseurs de faire tout ce qu’ils peuvent pour aider le pénitent et lui rendre plus facile l’accusation des péchés. Sans aller jusqu’à féliciter ceux qui s’accusent, ils doivent se montrer compréhensifs, doux, et patients !

Rappelons tout de même l’enseignement de l’Eglise sur les péchés douteux, cachés ou oubliés. Un péché qu’on a oublié d’accuser sans négligence de sa part, est un péché pardonné, si on en avait le remords. Si c’était un péché mortel, on devrait simplement le redire lors d’une prochaine confession, sans plus. En revanche, si l’on a caché volontairement un péché en confession, non seulement on n’en obtient pas le pardon, mais on peut se rendre coupable d’un nouveau péché. Dans ce cas, toute la confessions serait à refaire, et on devrait y ajouter qu’on a dissimulé volontairement une faute grave lors de la précédente confession. Pour les péchés mortels douteux, le mieux est de les accuser comme douteux, mais on peut même ne pas les accuser du tout, car l’Eglise n’oblige que la confession des péchés mortels certains… Donc pas de scrupule à ce sujet !

En fait, il nous est demandé surtout une grande simplicité et une grande confiance, car au delà du prêtre, nous parlons à celui qui nous aime comme un Père… Seigneur, délivrez mon âme de la langue trompeuse !

Pratique : Veillons aujourd’hui à la franchise dans nos paroles !

Mardi 27 février : De la férie

Seigneur, pardonnez-nous nos péchés : de peur qu’on ne dise parmi les nations : Où est leur Dieu ? Tiré de la liturgie du jour.

Voilà une plainte qu’on entend souvent chez ceux qui se confessent régulièrement : Pourquoi me confesser ? Je dis toujours les mêmes choses ! Alors à quoi bon se confesser ?

Répondons en trois parties… D’abord si on arrêtait de se confesser, cela n’apporterait aucune solution au problème de nos péchés ! Bien plus, on devrait craindre une nette aggravation de ces péchés qui ne seraient alors plus du tout combattus ! Deuxième réponse, c’est plutôt rassurant de ne pas avoir de nouveaux péchés à chaque confession, vous ne pensez pas ? Quand on accuse ses péchés, ce n’est pas comme un nouveau roman ou un nouveau film, la surprise n’est pas du tout nécessaire, et l’effet dramatique auprès du confesseur n’est pas vraiment souhaitable… En fait la raison pourquoi nos péchés sont souvent les mêmes à chaque confession, vient du fait que nos défauts, tout comme nos qualités, sont assez stables. Ils ne changent pas en un instant, mais suite à des efforts répétés. Laissez donc de coté la créativité à ce sujet… Enfin, dernière réponse, ne nous y trompons pas, la confession pardonne les péchés et donne envie d’avancer vers Dieu, mais elle ne supprime pas tous les efforts ! Encore une fois, pour vraiment changer de vie, il faut répéter les actes contraires à nos défauts. C’est un labeur qui peut prendre des années, et que le Seigneur, clairement, nous demande. Sachez, en tous cas que vous n’avez pas de meilleure alliée que la confession fréquente qui vous redonne à chaque fois l’envie d’avancer ! N’arrêtons pas de nous confesser, de peur que devant le spectacle lamentable de notre médiocrité, les païens ne disent Où est leur Dieu ?

Pratique : Demandons à Dieu le courage pour tout le carême !

Lundi 26 février : De la férie

Je crierai vers vous, Seigneur ; ne gardez pas le silence à mon égard, de peur que je ne sois semblable à ceux qui descendent dans la fosse. De la liturgie du jour

Cela vous étonnera-t-il ? L’Eglise donne même quelques conseils à ceux qui accusent leurs péchés en confession. Elle demande principalement que la confession soit humble et prudente. Qu’est ce à dire ? Personne n’imagine qu’on puisse venir raconter ses péchés pour se vanter ! Mais dire que l’accusation doit être humble, signifie qu’elle doit manifester notre tristesse du péché et notre honte de l’avoir commis. Les saints ont été souvent surpris par le peu de repentir que manifestaient les pénitents. Un jour un pénitent, peut-être un peu satisfait de lui, conclut sa confession au saint Curé d’Ars par ces mots Je n’ai fait que cela ! La réponse fut immédiate, Quoi, vous n’avez fait que cela ! Que voudriez vous avoir fait de plus ? Le péché, même léger, ne faisait pas rire les saints…

Pour ce qui est de la prudence dans l’accusation, cela veut dire qu’on doit d’abord éviter de révéler les péchés des autres, autant que possible ! Mais aussi, et ce point est important, ne pas raconter de détails inutiles. Si l’on a vu un film immoral, inutile d’en raconter les détails au confesseur, merci pour lui ! Dire simplement j’ai vu un film immoral est largement suffisant ! En tous ces détails, qui ont leur importance, se manifeste la maternité de l’Église qui voudrait tellement guider ses enfants au mieux jusque dans le cœur de Dieu plein de miséricorde et qui ne souhaite rien tant que de pardonner à ses enfants !

Pratique : Prions pour que tous les membres de notre famille retrouvent le chemin de la confession