Mardi 24 octobre : Saint Raphaël

Je suis l’Archange Raphaël, un des sept esprits qui se tiennent devant le trône de Dieu ! Tiré de la liturgie du jour.

Ce que nous savons de saint Raphaël nous est raconté par le livre biblique de Tobie. Ce livre qui raconte une merveilleuse histoire d’amour et de fidélité à Dieu vaut vraiment la peine d’être lu ! Tobie l’ancien, homme pieux au milieu d’un monde d’apostasie, devient aveugle et connaît la pauvreté. Il demande alors à son fils, nommé Tobie lui aussi, d’aller chercher de l’argent qu’il avait confié en gage à un parent, des années auparavant. Tobie le jeune trouve alors un jeune homme providentiel qui se propose de l’accompagner vers son parent. Cet homme va veiller sur Tobie le jeune, rapporter l’argent, lui donner une bonne épouse, et guérir Tobie l’ancien de sa cécité. Les deux Tobie sont émerveillés de tous ces bienfaits, et veulent remercier le bon guide qui leur a valu tout cela, en lui donnant la moitié de leurs biens. Mais l’homme providentiel dévoile alors sa vraie identité : il est Raphaël, un envoyé de Dieu, l’un des plus grands Archanges, et sa venue est la récompense des œuvres de charité et des prières fidèles de Tobie l’ancien !

Au delà du pieux Tobie l’ancien, Dieu nous envoie à tous un message. Aucune de nos prière n’est oubliée, aucune de nos bonnes œuvres n’est inutile. Et le Seigneur peut aller jusqu’à envoyer un des princes des anges pour veiller sur ses enfants ! N’oublions pas de prier saint Raphaël en cas de maladie et de voyage périlleux !

Pratique : Aujourd’hui, soyons patients et souriants pour ceux que nous croiserons.

Lundi 23 octobre : Saint Antoine Marie Claret

Je revêtirai ses prêtres de salut, et ses fidèles seront ravis de joie. Tiré de la liturgie du jour.

Notre saint naquit le 23 décembre 1807 à Sallent en Catalogne. Il apprit le métier de son père : tisserand, mais décida finalement de devenir prêtre. Antoine a un cœur de missionnaire, il part donc à Rome se mettre à la disposition de la congrégation pour la propagation de la foi et fait un essai chez les Jésuites. Mais le Seigneur en avait disposé autrement. Une maladie le contraint de renoncer à son projet et de rentrer en Espagne. Il y est nommé curé, et prêche une mission pour sa paroisse. Le succès est immédiat, si bien qu’on le décharge de sa cure et on le nomme aux missions intérieures ! Il parcourt ainsi toute la Catalogne et les iles Canaries, prêchant partout avec un extraordinaire succès. Comme il comprend l’importance de l’apostolat de la presse, il écrit plus de 150 livres pour les fidèles, incitant à la dévotion envers l’Eucharistie, le cœur immaculé de Marie, et son rosaire ! Il fonde la congrégation des Fils du Cœur immaculé de Marie (appelés aussi missionnaires Clarétains), en juillet 1849, mais un an après, sur insistance de la reine qui l’admire énormément, il est nommé archevêque de Santiago de Cuba. Son zèle ne connaît plus de limite, il parcoure sans relâche son diocèse, distribuant près de 100.000 livres et brochures et 80.000 images pieuses. Son zèle lui vaudra de nombreux ennemis et on tentera de le tuer. Il est rappelé à Madrid par la reine qui en fait son confesseur, mais elle est bientôt renversée par la révolution, et elle quitte l’Espagne pour le France avec son confesseur. Saint Antoine-Marie Claret mourra en exil à l’abbaye de Fontfroide dans l’Aude le 24 octobre 1870.

Par la prédication, le don d’un livre ou d’une image, saint Antoine Marie Claret touchait les cœurs qui reconnaissent naturellement la vraie charité. Influencés par un monde indifférent, nous sommes souvent trop timides pour parler de Dieu… Que saint Antoine Marie Claret nous transforme en véritables apôtres !

Pratique : Avons nous parlé de notre foi au cours de cette semaine ?

Dimanche 22 octobre : 21° dimanche après la Pentecôte, dimanche pour les missions

Priez donc le maître de la moisson d’envoyer des ouvriers dans sa moisson ! Tiré de l’évangile du jour.

Pauline Jaricot, une jeune lyonnaise du 19° siècle, qui devrait être béatifiée le 22 mai prochain, eut l’idée d’une œuvre de prière et de générosité pour la propagation de la foi. Cette œuvre devint très importante, incitant le Pape Pie XI en 1926 à consacrer chaque année l’avant dernier dimanche d’octobre, aux missions catholiques. Voilà pourquoi nous pouvons célébrer en ce jour une Messe particulière « Pour la propagation de la foi ». Voici la splendide oraison de cette Messe : Seigneur, qui voulez que tous se sauvent et arrivent à la lumière de la vérité, envoyez, nous vous en prions, des ouvriers à votre moisson, et faites qu’ils annoncent courageusement votre parole, afin que votre enseignement se répande rapidement et soit vénéré, et que toutes les nations vous reconnaissent comme le seul vrai Dieu, et Celui que vous avez envoyé au monde, Jésus-Christ votre Fils et notre Seigneur ! Nous célébrons donc aujourd’hui tout particulièrement les saints missionnaires de tous les temps qui ont quitté pays, familles et amis pour le salut de leurs frères. Ils ont affronté les maladies, les persécutions, les incompréhensions, et même les échecs, mais leur sacrifice n’a pas été perdu. S’il y a aujourd’hui des catholiques nombreux en Amérique, Afrique, Asie et Océanie, c’est à cause de leur dur labeur et de leur générosité ! Qui prendra leur suite ? Qui laissera retentir dans son âme le doux appel du Seigneur : Priez donc le maître de la moisson d’envoyer des ouvriers dans sa moisson ! N’oublions pas que chercher le salut de ses frères reste aujourd’hui encore le plus grand amour que nous puissions vivre ici-bas !

Pratique : Prière ou don, faisons quelques chose pour la mission !

Samedi 21 octobre : De la sainte Vierge au samedi

Il devra dire beaucoup de chapelets ! (Parole de la sainte Vierge au petit François)

Lors de la première apparitions à Fatima, deux sentiments se mélangent. D’un coté l’émerveillement devant la beauté du Ciel. Nous vîmes, sur un petit chêne-vert, une Dame, toute vêtue de blanc, plus brillante que le soleil, irradiant une lumière plus claire et plus intense qu’un verre de cristal rempli d’eau cristalline traversé par les rayons du soleil le plus ardent… Raconte sœur Lucie. Oh la belle Dame ! Ne cessaient de répéter les deux autres, Jacinthe et François. Tous ils mettaient plusieurs heures à se remettre de la splendeur qu’ils avaient contemplée. Comme ce serait bien si nous retrouvions les yeux et la foi d’un enfant pour croire au Ciel ! Mais l’autre sentiment est moins idyllique, c’est la surprise devant l’exigence que le Ciel nous impose ! Contrairement à ce qu’on entend dans la majorité des enterrements, aller au Ciel ne va pas de soi. Il faut gagner, par ses bonnes actions, l’entrée dans cette terre bénie ! Ainsi quand Lucie interroge la sainte Vierge sur le sors d’Amélia, morte peu de temps auparavant, elle répond qu’Amélia devra être purifiée longtemps avant d’y entrer. Et même François, le petit voyant rêveur se voit imposé une condition : Il devra dire beaucoup de chapelets !

Chacun a son chemin, et ce qui est demandé à l’un ne le sera peut-être pas à l’autre. Qu’est ce que le Ciel attend de moi pour entrer un jour dans la vraie vie ? Certainement de la bonne volonté… Ne croyez vous pas qu’on pourrait en faire un peu plus ?

Pratique : Demandons quotidiennement au Seigneur d’aller un jour au Paradis.

Vendredi 20 octobre : Saint Jean de Kenty

la foi, sans les oeuvres est morte en elle-même.. Tiré de la liturgie du jour.

Jean naquit dans le village de Kenty, près de Cracovie, en Pologne. Enfant doux et pieux, il se révéla rapidement aussi très doué pour les études. Il étudia la philosophie et la théologie à l’université de Cracovie et devint professeur de cette même université. Ses cours de théologie enflammaient leurs auditeurs de l’amour de la foi catholique. Bientôt prêtre, il fut un temps curé de paroisse, mais angoissé par la responsabilité du salut des âmes, il renonça bientôt à cette charge pour retourner enseigner. Dans le temps que lui laissaient ses études, il s’adonnait à la prière et au secours du prochain, particulièrement les pauvres. Un épisode de sa vie nous montre la grande simplicité de cœur à laquelle il était parvenu : sur le chemin d’un pèlerinage à Rome, des voleurs le dévalisèrent, et comme il attestait ne plus rien avoir, ils le quittèrent. Mais bientôt il se souvint de pièces d’or qu’il avait encore, cousues dans son vêtement. Il rappela alors les voleurs en criant. Ceux-ci, stupéfaits de sa franchise, lui rendirent instantanément tous ses biens ! Décédé le soir de Noël, le 24 décembre 1473, Jean de Kenty est l’un des patrons de la Pologne et de la Lituanie.

A travers les épisodes de sa vie, on devine en Saint Jean de Kenty, une personnalité très savante mais restée très simple. Il sut unir une science brillante et profonde avec la pratique fervente du bien. Qu’il nous aide à ne négliger ni l’étude de la foi, ni la bonté que le Seigneur nous a demandé !

Pratique : Surveillons aujourd’hui nos paroles qu’elles soient vraies et charitables !

Jeudi 19 octobre : Saint Pierre d’Alcantara

J’ai renoncé à toutes choses, les regardant comme des ordures, afin de gagner le Christ ! Tiré de la liturgie du jour.

C’est un saint un peu effrayant par sa pénitence que nous fêtons aujourd’hui ! De son nom d’origine, Pierre Garavito, il naquit à Alcantara, en Espagne, l’an 1499. Après une enfance admirable, il entra à l’âge de 16 ans dans l’ordre des Franciscains. Il se révéla un grand prédicateur qui faisait fondre en larmes de repentir ceux qui venaient l’écouter. Cherchant la perfection, il sera le fondateur d’une réforme franciscaine près de Pedrosa en Espagne, réforme dont les pénitences nous font frémir aujourd’hui : cellules minuscules, jeûne rigoureux, etc. Saint Pierre d’Alcantara pratiqua lui-même la pénitence à des niveaux extrêmes. Pour ne donner qu’un exemple, il ne dormait habituellement qu’une heure et demie par nuit ! Le Seigneur manifesta sa grande sainteté à travers des grâces mystiques exceptionnelles et des miracles, comme ce jour où ses frères le virent un long moment élevé en l’air et brillant d’une forte lumière… Il fut le conseiller de sainte Thérèse d’Avila, qui eut la faveur de la vision de son entrée et aussi de l’entendre dire : O bienheureuse pénitence, qui m’a valu une si grande gloire ! Il mourut le 18 octobre 1562 à l’âge de 63 ans.

N’essayons pas de faire la compétition avec saint Pierre d’Alcantara pour la pénitence, nous avons perdu d’avance ! Mais demandons lui d’avoir l’esprit de pénitence, de savoir sacrifier régulièrement quelques facilités de nos vies, pour que nos âmes soient ferventes !

Pratique : quelques sacrifices aujourd’hui ?

Mercredi 18 octobre : Saint Luc

Vous avez les salutations de Luc, le cher médecin, écrira saint Paul aux Colossiens…

Nous savons peu de choses de la vie de saint Luc, et c’est sans doute l’Evangile qui nous en apprend le plus ! Saint Luc était païen d’origine, venant d’Antioche, médecin de profession. On ignore quand il se convertit, mais on le retrouve disciple particulier de saint Paul dès le second voyage apostolique de celui-ci, et très engagé dans l’évangélisation. Saint Luc écrira l’Evangile qui porte son nom ainsi que le livre des Actes des apôtres, témoignage précieux de la vie de la primitive Eglise. Il aurait été célibataire, aurait vécu 84 ans, et serait mort à Patras en Achaïe ; son corps est aujourd’hui conservé à Padoue.

Disons un mot de son Evangile ! L’Evangile de saint Luc se caractérise par une grande recherche d’authenticité : dans le prologue il explique qu’il s’est informé exactement de tout depuis les origines. C’est ainsi le seul à nous raconter l’Annonciation, la Visitation… et on imagine sans peine que c’est Marie Elle-même qui dut lui raconter tout cela… Cet évangile se caractérise encore par un grand sens de la souffrance humaine et de la bonté de Dieu : Il est le seul encore à raconter l’épisode du bon larron, de la sueur de sang de Jésus dans l’agonie, la conversion de Marie-Madeleine, et encore la parabole de l’enfant prodigue et du bon samaritain ! Comme tout cela nous le rend sympathique, nous qui aimons tellement entendre parler de la miséricorde de Dieu ! Et nous qui réclamons cette miséricorde de Dieu pour nous même, n’oublions pas de faire de même pour les autres…

Pratique : aujourd’hui nous pratiquerons le conseil de Mère Térésa : Que personne ne vienne auprès de vous sans repartir meilleur et plus joyeux !

Mardi 17 octobre : Sainte Marguerite Marie

Seigneur, vous avez caché ces choses aux sages et aux prudents, …vous les avez révélées aux petits. Tiré de l’évangile du jour.

Sainte Marguerite-Marie Alacoque naquit à Vérosve, en Bourgogne, le 22 juillet 1647. C’est une enfant pieuse, brûlant d’amour pour Dieu dans l’Eucharistie et pour la sainte Vierge Marie, ce qui la mena, toute jeune, à faire l’offrande à Dieu de sa virginité. En 1671, elle entre dans l’ordre de la Visitation a Paray-le-Monial, un monastère réputé très fervent ! Elle y reçoit de nombreuses grâces mystiques, spécialement la vision du Sacré-Cœur, qui a tant aimé les hommes et n’en reçoit pour récompense qu’ingratitude et mépris… Marguerite sera chargée par le Seigneur de répandre cette dévotion dans toute l’Eglise, aidée du Père de la Colombière. Elle eut beaucoup à souffrir de ses supérieures du fait de la mission que le Seigneur lui avait donnée, mais eut la joie de voir le bien immense que cette dévotion obtiendra dans l’Eglise, selon la promesse du Seigneur. Elle mourut à 43 ans, le 17 octobre de l’an 1690.

L’histoire de sainte Marguerite Marie peut paraître un peu idyllique ! Une jeune fille pure qui s’offre au Seigneur dés son enfance… Mais c’est une vie difficile qu’elle va connaître avec ses rudes combats en priant, en obéissant, en vivant dans la pauvreté et la chasteté. L’Eglise enseigne que ce combat de la vie religieuse est vraiment fécond pour le monde entier. Et c’est par cette petite religieuse que tout son époque sera renouvelée par la dévotion au Sacré Cœur ! A notre place, prenons part au combat pour l’amour de Dieu et des autres !

Pratique : Soyons toujours fidèles à notre chapelet.

Lundi 16 octobre : Sainte Hedwige

Faites, Seigneur que, par les mérites de sainte Hedwige et à son exemple, nous apprenions à fouler aux pieds les délices périssables du monde et à surmonter, en embrassant votre croix, tout ce qui nous est contraire ! Tiré de la liturgie du jour.

Hedwige fait partie de ces femmes extraordinaires qui furent parfaite tant dans le mariage, que dans le veuvage et la vie consacrée ! Elle naquit en 1174, et était de famille royale et fille de Berthold, le duc de Moravie. Mariée à Henri, le duc de Pologne, elle eut sept enfants de lui, qu’elle éleva parfaitement. Pour mieux se consacrer au service de Dieu, elle convainquit alors son mari de prononcer avec elle le vœu de continence. Après son décès, elle prit le voile dans l’ordre de Cîteaux au monastère de Treibniz. Celle qui avait été duchesse, ne voulut plus entendre parler des choses du monde, pratiqua une rigoureuse mortification, et se donna à la prière et au souci des pauvres. Elle devançait même souvent ses sœurs pour s’occuper des malades et des pauvres les plus honteux. Quand arriva au couvent la nouvelle de la mort de son fils Henri II dans un combat contre les Tartares, elle se soumit entièrement à la volonté de Dieu en disant : Je vous remercie, Seigneur, de m’avoir donné un tel fils, qui m’a toujours aimée pendant sa vie, m’a témoigné un grand respect et ne m’a jamais causé la moindre peine. Et, bien que j’aie souhaité de tout mon cœur le voir toujours en vie, j’éprouve une grande joie de savoir qu’il a versé son sang pour vous, mon Créateur, et qu’il est maintenant uni à vous dans le ciel. Elle mourut le 15 octobre  1243, et est fêtée comme une patronne de la Pologne.

S’il est facile de dire qu’on préfère Dieu à toute autre chose, c’est plus difficile de le mettre en pratique dans le quotidien de notre vie ! Ne pas attacher d’importance aux mondanités, préférer le sacrifice à la tranquillité de vie, pardonner aux ennemis et aider les pauvres, c’est cela placer le message de l’Evangile au dessus de tout ! Que sainte Hedwige nous donne une partie de sa sagesse…

Pratique : Aujourd’hui nous ferons quelques sacrifices pour dire au Seigneur que nous le préférons à toute autre chose.

Dimanche 15 octobre : 20° dimanche après la Pentecôte

Va ton fils vit !

Des guérisons, il y en a beaucoup dans l’Evangile, et de toutes les sortes… Mais celle d’aujourd’hui est vraiment spéciale : Elle semble partir d’un dialogue de sourds ! L’officier demande à Jésus de venir chez lui guérir son fils, et Jésus répond : Si vous ne voyez des signes et des prodiges, vous ne croyez pas ! L’autre insiste : Seigneur, descendez avant que mon fils ne meure ! Jésus lui répond : Va, ton fils vit… Et l’officier reviendra chez lui seul… mais comme il a obéi au Seigneur, il obtiendra la guérison pour son fils et, en prime, la foi pour toute la famille !

Nous-mêmes, comme cet officier, nous sommes souvent centrés sur nos problèmes, et nous ne comprenons pas que le Seigneur ne nous accorde pas tout, et tout de suite. Mais le Seigneur voit le fond des cœurs, et Lui, Il veut que nous grandissions dans la foi, l’abandon et la confiance… Lors des apparitions de Fatima (le 13 octobre 1917 !), on constate cette même conduite : Lucie dit à la sainte Vierge : J’avais beaucoup de choses à Vous demander : de guérir des malades et de convertir des pécheurs… Notre Dame répondit : Les uns oui, les autres non. Il faut qu’ils se corrigent, qu’ils demandent pardon pour leurs péchés… Redevenir de petits enfants, comme nous le demande l’Evangile, n’est-ce pas aussi apprendre à faire confiance au Seigneur en toutes choses ?

Pratique : Faire un acte d’offrande pour dire à Dieu notre disponibilité à sa volonté.