Samedi 23 mars : Samedi de la Passion

Si quelqu’un me sert, qu’il me suive ; et là où je suis, mon serviteur sera aussi. Si quelqu’un me sert, mon Père l’honorera. Tiré de l’Evangile du jour.

On voit souvent qu’un mère qui a un enfant difficile s’y attache tout particulièrement. C’est qu’elle sait ce qui lui en a couté de l’élever ! Elle sait les dévouements cachés, les échecs déprimants, les moments d’angoisse et de prière… Son cœur s’est agrandi dans la difficulté et les épreuves et son amour est devenu plus pur. C’est dire combien la sainte Vierge doit nous aimer depuis le Ciel ! Nous lui avons coûté tellement cher… Il a fallu qu’elle porte la Passion douloureuse, qu’elle accompagne toutes les souffrances de son Fils, qu’elle soit au pied de la Croix, offrant son enfant pour le salut du monde. Jésus souligne cet amour immense de Marie en lui montrant saint Jean et lui disant : Voici ton fils !

Une ancienne légende chrétienne nous dit que Marie se tenait à la droite de la Croix de Jésus, et du coté du bon larron. L’amour de Marie était si grand et sa prière si profonde qu’elle aurait obtenu sa conversion. Ce brigand qui déclarera que le supplice est juste pour lui, au regard de ce qu’il a commis, mais qui se tournera de manière merveilleuse vers le Seigneur pour demander et obtenir le pardon… N’oublions jamais que nous avons un mère dans le Ciel, toute prête à intercéder pour nous, toute puissante auprès de Dieu et qui ne sera jamais repoussé par la laideur de nos fautes, bien au contraire !

Pratique : Gardons encore aujourd’hui la pensée de Marie au pied de la Croix

Vendredi 22 mars : Vendredi de la Passion

Debout, la Mère des douloureuse, près de la Croix était en larmes, où son Fils était suspendu…Tiré de la liturgie du jour.

Ce vendredi avant le Vendredi saint, l’Eglise nous fait penser à la Vierge Marie douloureuse qui accompagne Jésus pendant sa Passion. Depuis bien longtemps les chrétiens avaient remarqué cette présence affectueuse et douloureuse de Marie au Pied de la Croix. Ainsi saint Augustin au 5° siècle écrivait déjà que Marie est la coopératrice de la Rédemption. Mais c’est surtout à partir du moyen-âge que se répandit cette dévotion à Vierge douloureuse. Sept nobles florentins avaient décidé de quitter le monde pour méditer les douleurs de Jésus et Marie. La Vierge leur apparut un vendredi-saint leur montrant l’habit sombre qu’ils devaient porter, et leur demandant de fonder un ordre pour propager la dévotion à ses douleurs. L’ordre des Servites naquit bientôt et répandit partout avec des grands fruits spirituels cette dévotion à Marie souffrante.

Méditons bien cette sainte Vierge au pied de la Croix, comme pour la Passion de Jésus, il se pourrait bien que notre cœur en sorte converti. Qu’il soit touché à la fois par les souffrances d’une mère, mais aussi par l’amour que la sainte Vierge porte à tous ses enfants. Il se pourrait que nous devenions très fidèles à la confession pour ne pas montrer à Marie un cœur dominé par le péché. Le père Verlinde, raconte qu’avant sa conversion il avait souvent l’impression qu’une femme pleurait sur lui. En fait c’est bien ça, Marie a vraiment pleuré sur chacun de nous…

Pratique : Méditer un moment les souffrances de Marie

Jeudi 21 mars : Jeudi de la Passion

Ses péchés lui sont pardonnés parce qu’elle a beaucoup aimé ! Tiré de l’Evangile du jour.

En ce temps de la Passion, prenons le temps de méditer les dernières paroles de Jésus sur la Croix. on en compte traditionnellement sept. Père, pardonne-leur car ils ne savent pas ce qu’ils font ! Cette parole est typique du Sacré-Cœur de Jésus. Elle montre bien que le pardon des péchés le préoccupait essentiellement. Mais elle reflète aussi son indulgence vis-à-vis des hommes… En vérité, je te le dis, aujourd’hui tu seras avec moi dans le paradis Alors que le bon larron vient de reconnaître qu’il est chatié justement (qu’avait-il pu faire ? On ne le sait pas…), il lui suffit de demander le salut à Jésus pour l’obtenir… Avis à ceux qui doutent de la miséricorde de Dieu pour eux… Femme, voici ton fils ! Voici ta mère ! A travers saint Jean, Jésus demande à la sainte Vierge de s’occuper de toute l’humanité de manière particulière. Et tous les hommes sont appelés à se confier à la bonté maternelle de Marie. Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ? Voilà le poids des péchés encore rappelé… Ces péchés qui sont un abandon de Dieu. J’ai soif ! Mère Teresa comprit cette parole de Jésus comme l’expression de sa soif des âmes. Que pouvait vouloir Jésus sinon ce salut ? Tout est achevé ! A ce moment, Jésus proclame Il a donné aux hommes le témoignage qu’Il devait donner. L’écouterons nous ? Père, entre tes mains je remets mon esprit ! La dernière parole est pour le Père. Et nous espérons nous aussi, un jour, nous rendre dans sa maison auprès de Lui. Dans toutes ces dernière paroles de Jésus, on voit combien le pardon des péchés tient une grande place… Tel était le témoignage que le Seigneur à fait pour nous ! 

Pratique : Relisons posément ces sept paroles.

Mercredi 20 mars : Mercredi de la Passion

Vous qui me délivrez de mes ennemis furieux, vous m’élèverez au-dessus de ceux qui se dressent contre moi ; Seigneur, vous m’arracherez des mains de l’homme inique. Tiré de la liturgie du jour.

Tous les théologiens sont d’accord là-dessus, Jésus aurait pu s’y prendre autrement pour sauver le monde ! Autrement que par la Passion douloureuse, autrement que par cette humiliation, autrement que par tout ce sang versé… Alors pourquoi cette avalanche de souffrances ?

Saint Thomas d’Aquin, toujours aussi lumineux, nous réponds d’abord que la Passion manifeste parfaitement l’amour de Dieu pour les hommes. De ce jour, les hommes savent jusqu’où Dieu peut aller pour eux. Combien de saint ont médité cette Passion avec des larmes de reconnaissance pour l’amour qui nous était donné ! Tel le saint Curé d’Ars qui disait souvent : Nos fautes sont des grains de sable à côté de la grande montagne des miséricordes de Dieu… Tous ceux qui souffrent sur la terre, de maux grands ou petits peuvent aussi se souvenir que Jésus est passé avant eux et à porté toutes les souffrances humaines à travers la sienne… Dans les autres raisons que Saint Thomas expose, une autre retiendra encore notre attention. Grâce à la Passion, les hommes peuvent comprendre la gravité du péché et la puissance de la grâce de Dieu. C’est cette même grâce qui agit à chaque confession pour noyer tous les péchés que nous apportons humblement au Seigneur. Vous qui me délivrez de mes ennemis furieux, vous m’élèverez au-dessus de ceux qui se dressent contre moi. Seigneur, vous m’arracherez des mains de l’homme inique !

Pratique : Recommandons au Seigneur ceux qui sont dans la souffrance.

Mardi 19 mars : Saint Joseph

Tu lui donneras le nom de Jésus ! Tiré de l’Evangile de la fête.

Saint Joseph est un des rares cas où je suis un peu fâché avec l’art chrétien. On représente en effet la plupart du temps saint Joseph comme un homme âgé, discret, timide et dans son coin ! Mais d’où tire-t-on cela ? On me dit que la Bible ne dit pas grand chose de lui qui pourrait nourrir notre curiosité et notre dévotion… Mais alors pourquoi en faire un introverti ? Et puis, regardez de plus près, il n’y a pas que le diable qui soit dans les détails, le bon Dieu s’y cache aussi parfois !

Premier détail, saint Joseph fut le père adoptif de Jésus. Aujourd’hui, la psychologie moderne nous explique que la part du père dans la formation de l’adulte est absolument irremplaçable. En clair, l’enfant se construit en regardant son père comme un modèle. On peut donc conclure que la personnalité de Jésus, telle qu’on la voit dans l’Evangile reflète un peu ce que fut saint Joseph. Et vous serez d’accord que Jésus n’était pas vraiment un introverti ! Deuxième détail, Dieu lui donna une responsabilité incroyable en lui confiant la sainte Vierge et Jésus, Lui-même. Du coup, il lui donna forcément des grâces spéciales pour bien remplir sa mission ! Est-ce que le saint Curé d’Ars n’a-t-il pas reçu des grâces spéciales pour faire ce qu’il faisait ? Tout le monde ne peut confesser 15 heures par jour tout en jeûnant et ne dormant quasiment pas… Donc saint Joseph dut recevoir de grandes grâces de force et de sagesse pour s’occuper de la sainte famille, dans l’exil et la pauvreté… Troisième et dernier détail, l’ange vient lui transmettre à lui les messages du Ciel. Dieu respecte donc l’autorité qu’il lui a donné ! Voilà sans doute pourquoi sainte Thérèse d’Avila disait qu’elle ne l’avait jamais prié sans être exaucée… avis aux amateurs ! Moi je vous dis que saint Joseph est un gars sur qui on peut compter, mais vous n’êtes pas obligés de me croire…

Pratique : une dévotion particulière à saint Joseph

Lundi 18 mars : Lundi de la Passion

Mes ennemis m’ont foulé aux pieds tout le jour ; car il y en a beaucoup qui me font la guerre ! Tiré de la liturgie du jour.

La Passion de Jésus commence par l’agonie au jardin des oliviers. Des générations de chrétiens ont été saisis par l’image de Jésus prostré de tout son long par terre sous le poids de l’angoisse… Et que dire de ses paroles à son Père ? Père, si cela est possible, que cette coupe passe loin de moi… Et celles à ses apôtres : Vous n’avez pas pu veiller une heure avec moi ?

Il me semble que la coupe de Jésus, sa grande souffrance, était les péchés des hommes bien d’avantage que les horreurs du chemin de Croix. Quand Jésus parle des sévices de sa Passion à venir avec les apôtres, il ne semble pas manifester une émotion extraordinaire. Mais remarquez que, même juste avant l’agonie, c’est aux péchés que Jésus réagit le plus avec tristesse ! Face à la critique de sainte Marie Madeleine qui verse son parfum, Jésus proteste. Il souligne la trahison de Judas, le reniement de saint Pierre, l’abandon des apôtres pendant la Passion et déjà dans le jardin… Alors on comprend l’agonie douloureuse, car il s’agit là de porter tous les péchés du monde ! c’est comme une gigantesque absolution de tous les hommes que Jésus est en train de gagner…

Pascal écrivait que Jésus est en agonie jusqu’à la fin du monde, Il ne faut pas dormir en ce temps là ! Ne dormons pas en face de Jésus à l’agonie… Demandons surtout pardon pour nos péchés. Mes ennemis m’ont foulé aux pieds tout le jour ; car il y en a beaucoup qui me font la guerre !

Pratique : récitons l’acte de contrition

Dimanche 18 mars : Dimanche de la Passion


Salut, ô Croix, unique espérance ! En ces jours de la Passion, accrois la grâce chez les justes, efface le crime des coupables.
Tiré de l’hymne « Vexilla Regis » du temps de la Passion

Avec ce dimanche, nous entrons dans le temps de la Passion, temps où nous méditons particulièrement les souffrances du Seigneur. Et l’Eglise parle, elle s’exprime à travers les magnifiques symboles de la liturgie. Ainsi, selon une ancienne coutume, on voile de violet les statues des saints et les Croix, mais on laisse apparentes les stations du chemin de la Croix. On retire aussi dans les offices les gloria Patri, manifestation explicite de la gloire de Dieu, voilée en ces jours. Selon la belle expression de Dom Pius Parsch, l’Eglise prend le voile des veuves… Mais pourquoi voiler les Croix me direz-vous ? Ces Croix voilées viennent d’un temps où les Croix étaient souvent d’or, sans Christ, garnies de pierres précieuses. Ces Croix glorieuses évoquaient le triomphe du Seigneur, d’où la nécessité de les voiler en ce temps dramatique…

Ils prirent donc des pierres, pour les jeter sur lui…

L’Evangile d’aujourd’hui est d’une brutalité qui nous effraie . Mais imaginez un peu la scène ! Ces juifs devant notre Seigneur l’insultent copieusement, n’avons nous pas raison de dire que tu es un samaritain et un possédé ! Et en conclusion ramassent froidement des pierres dans le but de lapider notre doux Maître ! Pourquoi cette haine ?

Mais pourtant Jésus vient avec une grande noblesse, dit des paroles profondes de vérité, et fait des miracles de bonté ! Ne devrait-Il pas être accueilli par tous les hommes ? C’est bien naïf de le penser… En fait c’est toujours le contraire qui se passe ! Quand on prêche le message de salut aux hommes, leur réponse est d’abord : Combien cela va me coûter ? Et s’ils sont trop attachés à leurs défauts et leur mauvaise conduite, la réaction suivante est détruisons ce qui est un reproche vivant pour nous !

La Passion de Jésus est tout sauf un événement doucereux, c’est un combat contre le mal et sa violence, combat auquel nous devons prendre part avec lucidité et sans aucune méchanceté ! Mais écartons tout de suite les illusions pacifistes, puériles et décalées… Ils prirent donc des pierres, pour les jeter sur lui…

Pratique : Méditons la Passion de Jésus quelques instant

Samedi 16 mars : De la férie

celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais Il aura la lumière de la vie. Tiré de la liturgie de la Messe.

A l’approche du temps de la Passion, nous allons parler des liens, nombreux, entre la Passion de Jésus et le sacrement de Pénitence…

Jésus parlait souvent aux apôtres de sa Passion qui allait venir. Il a beaucoup attendu son heure, où il rendrait témoignage. De même il a beaucoup parlé du pardon des péchés des hommes et l’a beaucoup désiré. Quelques indices nous le manifestent clairement. Alors que Jésus ne baptisait pas Lui-même, ni ne confirmait, ne donnait pas d’Extrême Onction ni ne mariait, alors qu’Il attendra le jeudi-saint pour donner l’Eucharistie et l’ordination à ses apôtres, Jésus ne pourra attendre pour accorder le pardon des péchés ! Il pardonne au paralytique, Il pardonne à la femme adultère, Il pardonne à celle qui vient pleurer à ses pieds chez le pharisien ! Remarquez que déjà du temps de Jésus, les femmes se confessaient plus que les hommes… Jésus insistera encore auprès de ses apôtres le soir de la Résurrection, Il soufflera sur eux, en disant, recevez le Saint-Esprit, ceux à qui vous pardonnerez les péchés, ils seront pardonnés, ceux à qui vous les retiendrez, il leur seront retenus ! Peut-on être plus clair ? Je vous dit que Jésus n’attends que cela ! Ce n’est pas de mettre les mains dans le cambouis de nos péchés qui Lui fait peur, c’est simplement que nous Lui fermions la porte ! Aujourd’hui L’Eglise vous l’indique clairement : Celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais Il aura la lumière de la vie

Pratique : N’oublions pas de nous unir en esprit à une Messe célébrée aujourd’hui

Vendredi 15 mars : De la férie

Lazare, sors dehors ! Tiré de l’Évangile du jour.

Jésus tire Lazare de la mort. A sa suite, l’Eglise appelle aussi tous les morts spirituels à la vie !Confessez vous pour retrouver la vie de vos âmes ! Innombrables sont les saints prêtres au cours des siècles passés qui ont littéralement habité le confessionnal et appelé les âmes à la conversion. C’est le saint Curé d’ars qui passait jusqu’à 15h par jour à écouter les misères du monde et les effacer. Au point où, pour le rencontrer il fallait passer par le confessionnal ! C’est le Padre Pio, qui y passait des heures, Lui aussi, et qui rabrouait parfois les pénitents avec son tempérament d’italien du sud ! C’est saint Pie X, à l’époque où il était évêque de Mantoue, qui avait entendu dire qu’un de ses curés n’était pas fidèles aux horaires fixés pour la confession. Alors un jour, sans rien dire, il vient en carriole dans la paroisse du curé à l’heure des confessions. Le curé n’y est pas ! Alors l’évêque fait sonner la cloche pour appeler les fidèles et s’installe pour pardonner les péchés. Le curé arrive, furieux qu’un intrus ait osé disposer de son confessionnal, et qui y trouve l’évêque ! Il se répand en excuses, expliquant qu’il n’avait pas pu refuser une invitation. Spirituellement, saint Pie X lui répondit qu’il comprenait très bien, mais qu’il n’hésite pas, à la prochaine invitation, à prévenir l’évêque qui viendrait volontiers le remplacer… La leçon dut porter… C’est encore sainte Catherine de Sienne, qui n’était évidement pas prêtre, mais qui prêchait avec tant de ferveur l’amour de Jésus et le regret de ses péchés, qu’elle entraînait des milliers de ses auditeurs à la conversion. Au point où le pape de l’époque, averti du phénomène, lui avait accordé plusieurs prêtres qui l’accompagnaient et se mettait en position de confession dès qu’elle parlait ! Chers fidèles, à moins d’être sourds comment ne pas entendre l’appel de l’Eglise : Confessez vous souvent !

Pratique : Prions pour qu’un ami ou membre de ma famille se tourne vers Dieu

Jeudi 14 mars : De la férie

Ils glorifiaient Dieu en disant : « Un grand prophète a surgi parmi nous » ! Tiré de l’Evangile du jour

Nous sommes décidément toujours trop discrets sur notre foi. Nous croyons que Jésus est le Sauveur du monde, et nous en parlons peu. Nous savons que son Amour pour les hommes est immense, et nous le taisons. Nous recevons son pardon libérateur à chacune de nos confessions et nous n’en disons rien. Après notre confession n’avons nous pas le devoir de témoigner de l’immense chance de pouvoir effacer tous les péchés d’une vie ?

Le premier témoignage s’est de se confesser régulièrement. Les anciens curés avaient bien remarqué qu’une paroisse qui se confessait régulièrement , était une paroisse où le bon Dieu était bien servi… Et c’est bien pour ce genre de bons exemple que Jésus nous a fait la magnifique promesse suivante : Celui qui s’engagera pour moi devant les hommes, je m’engagerai pour lui devant les anges de Dieu ! Le second témoignage est d’encourager ceux qui hésitent à se confesser ou ignorent la grandeur de ce sacrement. J’ai eu la surprise de voir un jour un enfant du catchisme dire à un de ses camarades : Mais oui, c’est bien de se confesser. Tu dis simplement les péchés au prêtre et après il les efface et tu sors tout léger après la confession ! Peut-on être plus clair ? Qui dira, dans le secret des cœurs, tout le bien qui se fera, et toutes les âmes éclairées et sauvées parce qu’on leur aura donné ce simple conseil ? Ils glorifiaient Dieu en disant : « Un grand prophète a surgi parmi nous » !

Pratique : Une prière pour les membres de notre famille qui ont oublié la confession