Mercredi 5 avril : Mercredi saint

Commentaire liturgique :
En ce jour, la pensée de la Passion remplit encore toute la liturgie. Beaucoup de prières de la Messe sont des plaintes qu’on attribuera facilement au Seigneur, d’autres sont l’annonce de la victoire de la Croix et de la Résurrection. On redonne aujourd’hui le récit de la Passion, mais selon le récit de saint Marc. Dans ce récit, propre à notre évangile, beaucoup ont pensé que le jeune homme qui s’enfuit du jardin laissant le drap qui le couvrait, était saint Marc lui-même ! Le sommet de cet Evangile, se trouve après la mort de Jésus dans le témoignage du centurion: Vraiment cet homme était fils de Dieu !

Mot spirituel :
Vraiment cet homme était Fils de Dieu !

Saviez vous que saint Marc était le compagnon particulier de saint Pierre ? Saint Jérôme, un maître pour tout ce qui touche la Bible, nous apprend que son Evangile est l’écho fidèle de ce qu’enseignait saint Pierre. Alors on comprend mieux certaine spécificités de cet Evangile ! On comprend pourquoi la faute de saint Pierre, la trahison de Jésus, est décrite avec autant de précision… Et cela nous émeut, des années après, de penser à saint Pierre en train de raconter aux premiers chrétiens la terrible nuit où il avait été si lâche et pourtant pardonné par le bon maître. Un ancienne tradition rapporte que les larmes avaient creusées de profonds sillons sur les joues de saint Pierre, car il pleura toute sa vie sa faute, surtout au matin, quand le coq chantait… On comprend aussi l’allusion au centurion romain qui proclame Vraiment cet homme était Fils de Dieu ! Saint Pierre évangélisait Rome et ne pouvait manquer de souligner la conversion d’un centurion romain pour inciter ses auditeurs à le suivre ! En relisant l’Evangile de saint Marc aujourd’hui, nous prierons pour que la foi revienne dans nos pays de vieille chrétienté !

Pratique : Relire la Passion selon saint Marc

Mardi 4 avril : Mardi saint

Commentaire liturgique :
En ce jour, la pensée de la Passion remplit encore toute la liturgie. Beaucoup de prières de la Messe sont des plaintes qu’on attribuera facilement au Seigneur, d’autres sont l’annonce de la victoire de la Croix et de la Résurrection. On redonne aujourd’hui le récit de la Passion, mais selon le récit de saint Marc. Dans ce récit, propre à notre évangile, beaucoup ont pensé que le jeune homme qui s’enfuit du jardin laissant le drap qui le couvrait, était saint Marc lui-même ! Le sommet de cet Evangile, se trouve après la mort de Jésus dans le témoignage du centurion: Vraiment cet homme était fils de Dieu !

Mot spirituel :
Vraiment cet homme était Fils de Dieu !

Saviez vous que saint Marc était le compagnon particulier de saint Pierre ? Saint Jérôme, un maître pour tout ce qui touche la Bible, nous apprend que son Evangile est l’écho fidèle de ce qu’enseignait saint Pierre. Alors on comprend mieux certaine spécificités de cet Evangile ! On comprend pourquoi la faute de saint Pierre, la trahison de Jésus, est décrite avec autant de précision… Et cela nous émeut, des années après, de penser à saint Pierre en train de raconter aux premiers chrétiens la terrible nuit où il avait été si lâche et pourtant pardonné par le bon maître. Un ancienne tradition rapporte que les larmes avaient creusées de profonds sillons sur les joues de saint Pierre, car il pleura toute sa vie sa faute, surtout au matin, quand le coq chantait… On comprend aussi l’allusion au centurion romain qui proclame Vraiment cet homme était Fils de Dieu ! Saint Pierre évangélisait Rome et ne pouvait manquer de souligner la conversion d’un centurion romain pour inciter ses auditeurs à le suivre ! En relisant l’Evangile de saint Marc aujourd’hui, nous prierons pour que la foi revienne dans nos pays de vieille chrétienté !

Pratique : Relire la Passion selon saint Marc

Lundi 3 avril : Lundi saint

Commentaire liturgique :

A Rome, en ce jour, la célébration de la Messe se passe à l’église sainte Praxède, connue pour posséder une relique insigne: la sainte colonne où Notre Seigneur aurait été flagellé. En ce lundi saint, la pensée de la Passion du Christ est ainsi toujours présente, comme en tous les textes. L’Evangile a été choisi parce que saint Jean le place six jours avant la Pâque. Suivons Jésus « de près » durant tous ces jours saints…

Mot spirituel :

La maison fut remplie de l’odeur du parfum. Tiré de l’Evangile du jour.

C’est un charmant tableau que nous présente l’évangile d’aujourd’hui ! Sainte Marie Madeleine vient répandre un parfum précieux sur les pieds de Jésus. Geste d’amour et de dévotion, certainement, et Jésus l’apprécie profondément. Saint Augustin, commentant cet Evangile, explique que ce parfum représente notre vie. En fait nous avons tous une odeur, odeur corporelle… mais aussi odeur spirituelle ! C’est-à-dire que nous donnons autour de nous un exemple, un témoignage, pour le bien ou pour le mal. Peut-être que ma vie illumine les autres ? Peut-être leur, leur donne-t-elle l’exemple de la prière, de la bonté envers les autres, du sacrifice allègrement pratiqué ? Peut-être, au contraire, renvoie-t-elle une image d’indifférence orgueilleuse, de dureté de cœur, de jouissance paresseuse et égoïste ? Une pèlerine venue voir la saint Curé s’émerveillait de voir les paysans d’Ars travailler dans les chants avec paix sans aucun juron ni mouvement de colère. Et ceux-ci lui disaient : Nous ne sommes pas meilleurs que les autres, mais on n’ose pas mail faire devant un si saint curé ! Mais au fait, que semble dire notre entourage de nous-mêmes ? La maison fut remplie de l’odeur du parfum.

Pratique : Veillons à notre exemple aujourd’hui

Dimanche 2 avril : Dimanche des Rameaux

Avec le dimanche des rameaux, nous entrons maintenant dans la semaine sainte. Pour chacun des jours de cette semaine, vous aurez un bref commentaire liturgique suivi du mot spirituel.

Commentaire liturgique:

La cérémonie de ce jour comporte clairement deux parties. D’abord la bénédiction des rameaux et la procession. Cette cérémonie glorieuse, pratiquée à Jérusalem au 5° siècle, selon le récit d’Ethérie, la pèlerine bordelaise, a été conservée jusqu’à nous. Les fidèles sont invités à prendre un rameau dans la main et faire la procession, car ils font partie de ceux qui reconnaissent le Seigneur et veulent le glorifier. Ils garderont ce rameau à la main pendant le récit de la Passion, car ils savent que la gloire de Jésus se manifeste particulièrement là. Ils muniront les crucifix de leur maisons de ces rameaux pour les protéger et se souvenir que le Seigneur doit être loué toute l’année ! La deuxième partie comporte la Messe et la lecture de la Passion. C’est une cérémonie douloureuse, où l’on veillera à bien écouter le récit de la Passion, tellement marquant. Que ce jour soit l’occasion pour nous de promettre au Seigneur d’accueillir l’amour qu’il nous indique par son sang versé.

Mot spirituel:

Voici que ton roi vient à toi plein de douceur !

Je ne sais pas si vous avez fait votre communion solennelle, ou profession de foi, comme on dit aujourd’hui ? Cette cérémonie qui sort de l’ordinaire, précédée d’une petite retraite, où l’on revêt un aube blanche et où l’on promet qu’on suivra Jésus tous les jours de sa vie… Souvent je me suis dit que l’enfant qui fait cette promesse connaît bien peu la vie ! Il n’a pas expérimenté encore la lâcheté qui peut être la notre parfois, la déception que peuvent nous causer les autres, la violence aussi de la sensualité qui nous habite tous… Et pourtant cette promesse reste belle et on s’en souvient encore des années après, comme une journée de lumière où l’on était proche de la beauté vraie…

Le jour des Rameaux, il me semble que Jésus fait vivre la même chose aux apôtres et à la foule qui le suivait. Il organise une mise en scène parfaite, entrant solennellement dans Jérusalem, tout comme le roi David, montant un âne ! Et tout le monde l’acclame, comment n’aimerait on pas celui qui répandit les miracles et les paroles de lumière ? Et Jésus est heureux de la louange des apôtres, des simples fidèles et des enfants… Même si Il sait que tous en resteront pas fidèles quand la Croix se profilera à l’horizon… Peu importe ! Ces moments de grâces marqueront les assistants pour la vie ! Profitons bien de cette belle fête pour prier le Seigneur de tout notre cœur, le remercier de sa bonté et humblement lui demander la fidélité ! Voici que ton roi vient à toi plein de douceur !

Pratique : Relire l’évangile de l’entrée de Jésus à Jérusalem

Samedi 1er avril : Samedi de la Passion

Si quelqu’un me sert, qu’il me suive ; et là où je suis, mon serviteur sera aussi. Si quelqu’un me sert, mon Père l’honorera. Tiré de l’Evangile du jour.

On voit souvent qu’un mère qui a un enfant difficile s’y attache tout particulièrement. C’est qu’elle sait ce qui lui en a couté de l’élever ! Elle sait les dévouements cachés, les échecs déprimants, les moments d’angoisse et de prière… Son cœur s’est agrandi dans la difficulté et les épreuves et son amour est devenu plus pur. C’est dire combien la sainte Vierge doit nous aimer depuis le Ciel ! Nous lui avons coûté tellement cher… Il a fallu qu’elle porte la Passion douloureuse, qu’elle accompagne toutes les souffrances de son Fils, qu’elle soit au pied de la Croix, offrant son enfant pour le salut du monde. Jésus souligne cet amour immense de Marie en lui montrant saint Jean et lui disant : Voici ton fils !

Une ancienne légende chrétienne nous dit que Marie se tenait à la droite de la Croix de Jésus, et du coté du bon larron. L’amour de Marie était si grand et sa prière si profonde qu’elle aurait obtenu sa conversion. Ce brigand qui déclarera que le supplice est juste pour lui, au regard de ce qu’il a commis, mais qui se tournera de manière merveilleuse vers le Seigneur pour demander et obtenir le pardon… N’oublions jamais que nous avons un mère dans le Ciel, toute prête à intercéder pour nous, toute puissante auprès de Dieu et qui ne sera jamais repoussé par la laideur de nos fautes, bien au contraire !

Pratique : Gardons encore aujourd’hui la pensée de Marie au pied de la Croix

Vendredi 31 mars : Vendredi de la Passion

Debout, la Mère des douloureuse, près de la Croix était en larmes, où son Fils était suspendu…Tiré de la liturgie du jour.

Ce vendredi avant le Vendredi saint, l’Eglise nous fait penser à la Vierge Marie douloureuse qui accompagne Jésus pendant sa Passion. Depuis bien longtemps les chrétiens avaient remarqué cette présence affectueuse et douloureuse de Marie au Pied de la Croix. Ainsi saint Augustin au 5° siècle écrivait déjà que Marie est la coopératrice de la Rédemption. Mais c’est surtout à partir du moyen-âge que se répandit cette dévotion à Vierge douloureuse. Sept nobles florentins avaient décidé de quitter le monde pour méditer les douleurs de Jésus et Marie. La Vierge leur apparut un vendredi-saint leur montrant l’habit sombre qu’ils devaient porter, et leur demandant de fonder un ordre pour propager la dévotion à ses douleurs. L’ordre des Servites naquit bientôt et répandit partout avec des grands fruits spirituels cette dévotion à Marie souffrante.

Méditons bien cette sainte Vierge au pied de la Croix, comme pour la Passion de Jésus, il se pourrait bien que notre cœur en sorte converti. Qu’il soit touché à la fois par les souffrances d’une mère, mais aussi par l’amour que la sainte Vierge porte à tous ses enfants. Il se pourrait que nous devenions très fidèles à la confession pour ne pas montrer à Marie un cœur dominé par le péché. Le père Verlinde, raconte qu’avant sa conversion il avait souvent l’impression qu’une femme pleurait sur lui. En fait c’est bien ça, Marie a vraiment pleuré sur chacun de nous…

Pratique : Méditer un moment les souffrances de Marie

Jeudi 30 mars : Jeudi de la Passion

il vaut mieux pour vous qu’un seul homme meure pour le peuple… Tiré de l’Evangile du jour.

En ce temps de la Passion, prenons le temps de méditer les dernières paroles de Jésus sur la Croix. on en compte traditionnellement sept. Père, pardonne-leur car ils ne savent pas ce qu’ils font ! Cette parole est typique du Sacré-Cœur de Jésus. Elle montre bien que le pardon des péchés le préoccupait essentiellement. Mais elle reflète aussi son indulgence vis-à-vis des hommes… En vérité, je te le dis, aujourd’hui tu seras avec moi dans le paradis Alors que le bon larron vient de reconnaître qu’il est chatié justement (qu’avait-il pu faire ? On ne le sait pas…), il lui suffit de demander le salut à Jésus pour l’obtenir… Avis à ceux qui doutent de la miséricorde de Dieu pour eux… Femme, voici ton fils ! Voici ta mère ! A travers saint Jean, Jésus demande à la sainte Vierge de s’occuper de toute l’humanité de manière particulière. Et tous les hommes sont appelés à se confier à la bonté maternelle de Marie. Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ? Voilà le poids des péchés encore rappelé… Ces péchés qui sont un abandon de Dieu. J’ai soif ! Mère Teresa comprit cette parole de Jésus comme l’expression de sa soif des âmes. Que pouvait vouloir Jésus sinon ce salut ? Tout est achevé ! A ce moment, Jésus proclame Il a donné aux hommes le témoignage qu’Il devait donner. L’écouterons nous ? Père, entre tes mains je remets mon esprit ! La dernière parole est pour le Père. Et nous espérons nous aussi, un jour, nous rendre dans sa maison auprès de Lui. Dans toutes ces dernière paroles de Jésus, on voit combien le pardon des péchés tient une grande place… Tel était le témoignage que le Seigneur à fait pour nous ! 

Pratique : Relisons posément ces sept paroles.

Mercredi 29 mars : Mercredi de la Passion

Vous qui me délivrez de mes ennemis furieux, vous m’élèverez au-dessus de ceux qui se dressent contre moi ; Seigneur, vous m’arracherez des mains de l’homme inique. Tiré de la liturgie du jour.

Tous les théologiens sont d’accord là-dessus, Jésus aurait pu s’y prendre autrement pour sauver le monde ! Autrement que par la Passion douloureuse, autrement que par cette humiliation, autrement que par tout ce sang versé… Alors pourquoi cette avalanche de souffrances ?

Saint Thomas d’Aquin, toujours aussi lumineux, nous réponds d’abord que la Passion manifeste parfaitement l’amour de Dieu pour les hommes. De ce jour, les hommes savent jusqu’où Dieu peut aller pour eux. Combien de saint ont médité cette Passion avec des larmes de reconnaissance pour l’amour qui nous était donné ! Tel le saint Curé d’Ars qui disait souvent : Nos fautes sont des grains de sable à côté de la grande montagne des miséricordes de Dieu… Tous ceux qui souffrent sur la terre, de maux grands ou petits peuvent aussi se souvenir que Jésus est passé avant eux et à porté toutes les souffrances humaines à travers la sienne… Dans les autres raisons que Saint Thomas expose, une autre retiendra encore notre attention. Grâce à la Passion, les hommes peuvent comprendre la gravité du péché et la puissance de la grâce de Dieu. C’est cette même grâce qui agit à chaque confession pour noyer tous les péchés que nous apportons humblement au Seigneur. Vous qui me délivrez de mes ennemis furieux, vous m’élèverez au-dessus de ceux qui se dressent contre moi. Seigneur, vous m’arracherez des mains de l’homme inique !

Pratique : Recommandons au Seigneur ceux qui sont dans la souffrance.

Mardi 28 mars : Mardi de la Passion

Rends-moi justice, ô Dieu… délivre-moi de l’homme de fraude et d’iniquité ! Tiré de la liturgie du jour.

La Passion de Jésus commence par l’agonie au jardin des oliviers. Des générations de chrétiens ont été saisis par l’image de Jésus prostré de tout son long par terre sous le poids de l’angoisse… Et que dire de ses paroles à son Père ? Père, si cela est possible, que cette coupe passe loin de moi… Et celles à ses apôtres : Vous n’avez pas pu veiller une heure avec moi ?

Il me semble que la coupe de Jésus, sa grande souffrance, était les péchés des hommes bien d’avantage que les horreurs du chemin de Croix. Quand Jésus parle des sévices de sa Passion à venir avec les apôtres, il ne semble pas manifester une émotion extraordinaire. Mais remarquez que, même juste avant l’agonie, c’est aux péchés que Jésus réagit le plus avec tristesse ! Face à la critique de sainte Marie Madeleine qui verse son parfum, Jésus proteste. Il souligne la trahison de Judas, le reniement de saint Pierre, l’abandon des apôtres pendant la Passion et déjà dans le jardin… Alors on comprend l’agonie douloureuse, car il s’agit là de porter tous les péchés du monde ! c’est comme une gigantesque absolution de tous les hommes que Jésus est en train de gagner…

Pascal écrivait que Jésus est en agonie jusqu’à la fin du monde, Il ne faut pas dormir en ce temps là ! Ne dormons pas en face de Jésus à l’agonie… Demandons surtout pardon pour nos péchés. Rends-moi justice, ô Dieu… délivre-moi de l’homme de fraude et d’iniquité !

Pratique : récitons l’acte de contrition

Lundi 27 mars : Lundi de la passion

Nous vous en prions, Seigneur, sanctifiez nos jeûnes, et accordez-nous, dans votre bonté, le pardon de toutes nos fautes. Tiré de la liturgie de la Messe.

Dans cette semaine de la Passion, nous allons parler des liens, nombreux, entre la Passion de Jésus et le sacrement de Pénitence…

Jésus parlait souvent aux apôtres de sa Passion qui allait venir. Il a beaucoup attendu son heure, où il rendrait témoignage. De même il a beaucoup parlé du pardon des péchés des hommes et l’a beaucoup désiré. Quelques indices nous le manifestent clairement. Alors que Jésus ne baptisait pas Lui-même, ni ne confirmait, ne donnait pas d’Extrême Onction ni ne mariait, alors qu’Il attendra le jeudi-saint pour donner l’Eucharistie et l’ordination à ses apôtres, Jésus ne pourra attendre pour accorder le pardon des péchés ! Il pardonne au paralytique, Il pardonne à la femme adultère, Il pardonne à celle qui vient pleurer à ses pieds chez le pharisien ! Remarquez que déjà du temps de Jésus, les femmes se confessaient plus que les hommes… Jésus insistera encore auprès de ses apôtres le soir de la Résurrection, Il soufflera sur eux, en disant, recevez le Saint-Esprit, ceux à qui vous pardonnerez les péchés, ils seront pardonnés, ceux à qui vous les retiendrez, il leur seront retenus ! Peut-on être plus clair ?

Je vous dit que Jésus n’attends que cela ! Ce n’est pas de mettre les mains dans le cambouis de nos péchés qui Lui fait peur, c’est simplement que nous Lui fermions la porte ! Aujourd’hui L’Eglise vous fait clairement demander : Nous vous en prions, Seigneur, sanctifiez nos jeûnes, et accordez-nous, dans votre bonté, le pardon de toutes nos fautes.

Pratique : N’oublions pas de nous unir en esprit à une Messe célébrée aujourd’hui