Vendredi 24 juillet : De la férie

Approchez-vous de lui et vous serez éclairés et la confusion ne couvrira pas vos visages. Tiré de la liturgie du jour.

Après l’impression laissée par l’architecture, parlons maintenant des images sacrées. Que ce soient les tableaux, fresques ou  sculptures, elles nous attirent. Quelle magie dans les couleurs, quelle solennité dans les attitudes, quel message spirituel dans les regards qui nous transporte tellement plus loin que les pensées matérielles dont les médias nous abreuvent quotidiennement… Les images sacrées sont puissantes mais restent pourtant étonnamment proches de nous… C’est que leurs auteurs étaient souvent de grands artistes qui ont laissé un nom dans l’histoire de l’art. Mais même pour ceux qui étaient moins doués, comme ils s’inspiraient souvent de représentations anciennes et voulaient exprimer la foi, même à travers leur naïveté de représentation, quelque chose passe et touche encore aujourd’hui. Les images des saints sont souvent tournés légèrement à gauche, parce que nos yeux d’occidentaux, habitués à lire de gauche à droite, vont ainsi naturellement à la rencontre de ces saints qui nous regardent fixement. Voudriez vous faire un bout de votre route en leur compagnie ? Les scène de l’Evangile sont souvent représentées en habit de l’époque du peintre. Manière nous de dire que l’Evangile doit éclairer toutes les époques ! Chaque image renvoie souvent à tout une histoire, souvent locale où les peintres ont voulu laisser le meilleur d’eux-mêmes. Dans cet été, si vous avez la chance de voir de l’art chrétien, regardez comment les artistes ont essayé de montrer la douceur de la sainte Vierge tenant l’Enfant-Jésus. Qui ne serait pas touché par ce spectacle tout céleste et tellement humain…

Pratique : Prendre le temps de regarder des images de la Vierge à l’Enfant

Jeudi 23 juillet : Saint Apollinaire

Il y eut parmi les disciples une dispute : lequel d’entre eux devait passer pour le plus grand. Et Jésus leur dit : « …que le plus grand parmi vous devienne comme le plus jeune, et celui qui gouverne comme celui qui sert. » Tiré de l’Evangile de la fête.

Selon le bréviaire, saint Apollinaire serait originaire d’Antioche et aurait été disciple de saint Pierre. C’est ce même saint Pierre qui, depuis Rome, l’aurait envoyé évangéliser Ravenne. Il y aurait beaucoup travaillé et multiplié les miracles, amenant de nombreuses conversions et l’établissement solide du catholicisme dans la ville. Cette ville de Ravenne devint très célèbre par la suite (Elle fut la résidence de l’empereur romain à une époque), et y fut bâti, au 6° siècle, une splendide basilique en l’honneur de son patron : saint Apollinaire. Dans l’abside de cette basilique, saint Apollinaire est représenté dans une antique mosaïque, en train de prier dans le Paradis. Il mourut martyr un 25 juillet, peut-être de l’an 75. Sa Messe fait écho a un fait amusant de l’histoire. Devant l’importance que Ravenne avait pris à une époque, ses évêques refusèrent la soumission au Pape. Alors dans la Messe de saint Apollinaire on choisit le passage où Jésus s’oppose à la dispute de ses disciples qui voulaient savoir qui était le plus grand, en recommandant l’humilité du service !

Nous avons été créés pour servir. N’est-ce pas une fierté d’avoir fondé une famille et élevé des enfants ? Ou d’avoir travaillé consciencieusement pendant de longues années ? Ou encore d’avoir consacré sa vie à Dieu ? Quelle que soit notre mission, faisons là de tout cœur et même remercions Dieu de nous faire ainsi confiance…

Pratique : Aujourd’hui nous serons attentifs à servir les autres

Mercredi 22 juillet : Sainte Marie Madeleine

Prenez part à ma joie vous tous qui aimez le Seigneur, car celui que je cherchais m’est apparu. Et tandis que je pleurais auprès du sépulcre, j’ai vu le Seigneur ! Tiré de la liturgie du jour.

Qui était sainte Marie-Madeleine ? La question peut sembler bizarre, mais elle ne l’est pas ! L’Evangile mentionne en effet à trois endroits différents une femme qui pourrait lui correspondre: La pécheresse qui arrosa les pieds de Jésus de ses larmes au chapitre 7 de saint Luc (L’évangile du jour). Marie de Béthanie, la sœur de Marthe et Lazare. Vous savez, celle qui écoutait, captivée, les paroles de Jésus tandis que sa sœur faisait tout le service… Et enfin Marie de Magdala, délivrée de sept démons par notre Seigneur, et qui fut témoin de la mort et de la résurrection du Seigneur. Voilà pourquoi en occident, avec saint Grégoire et saint Augustin, on pensa que ces trois femmes n’en faisaient qu’une ! Mais en Orient la Tradition est de fêter ces trois femmes comme différentes.

Sans prétendre trancher cette querelle, je remarquerai simplement que saint Marie-Madeleine fut immensément aimée des chrétiens au cours des siècles. Elle est un tel signe d’espérance pour les pécheurs que nous sommes tous ! Comme le dit saint Grégoire, quand on entend Jésus dire que ses péchés sont pardonnés parce qu’elle a beaucoup aimé, on a plus envie de pleurer que de discourir… Et avec tous les chrétiens des siècles passé, nous prions sainte Marie Madeleine de nous monter ce chemin du pardon des péché et du véritable amour ! Sainte Marie Madeleine, priez pour les pécheurs, priez aussi pour nos provençaux qui vous ont choisi comme patronne !

Pratique : Dans notre prière, n’oublions pas de dire au Seigneur que nous l’aimons.

Mardi 21 juillet : Saint Laurent de Brindes

Nous sommes les ambassadeurs du Christ, comme si Dieu Lui-même exhortait par notre intermédiaire. Nous vous en supplions par le Christ : réconciliez-vous avec Dieu. Tiré de la liturgie du jour.

Giulio Cesare Rossi, notre futur saint Laurent, naquit à Brindes en Apulie le 22 juillet 1559. Encore adolescent quand il entra chez les frères Capucins, il excella très vite dans les études, connaissant parfaitement plusieurs langues antiques et modernes. Ordonné prêtre, il se révéla un prédicateur infatigable, un grand fondateur de couvents surtout dans l’Allemagne du sud, l’Autriche et la Bohème, et un extraordinaire savant qui écrivit de nombreux ouvrages sacrés. Bientôt nommé ministre général de son ordre, il était souvent consulté par le Pape sur les sujets les plus graves. Il participa activement à la contre réforme de la fin du 16° siècle après le Concile de Trente, à la lutte contre les Turcs qui menaçaient la chrétienté, et à de nombreuses missions diplomatiques délicates. Au milieu de ces immenses occupations, il restait un religieux pieux et observant. Il mourut à Lisbonne le 22 juillet 1619, et fut proclamé docteur de l’Eglise le 19 mars 1959.

La vitalité d’un saint Laurent, qui impressionna ses contemporains, nous impressionne encore aujourd’hui : Comment arriver à être à la fois être un grand savant, un pacificateur de la société, un prédicateur inlassable, un homme de gouvernement, et être un religieux observant ? Résoudre cette équation devrait intéresser les mères de familles nombreuses, les travailleurs surchargés, et les prêtres zélés… Si vous posiez la question  à saint Laurent, il vous répondrait sans aucun doute : par la prière ! Mais le croirez vous ?

Pratique : Demander à Dieu qu’Il nous éclaire sur la conduite de notre vie.

Lundi 20 juillet : Saint Jérôme Emilien

Lundi 20 juillet : Saint Jérôme Emilien

La religion pure et sans tache devant notre Dieu et Père, c’est d’avoir soin des orphelins et des veuves dans leur détresse, et de se garder pur des souillures de ce monde. Tiré de la liturgie du jour

Saint Jérôme Emilien fut, lui aussi, un magnifique exemple de charité, et il l’exerça envers les orphelins. Il naquit à Venise de la famille patricienne des Emiliani. D’abord soldat, il dut combattre pour Venise mais fut emprisonné dans un sinistre cachot. Une fervente prière à Marie lui valut d’en être miraculeusement tiré. Revenu à Venise, il ne veut servir que Dieu désormais, en se dévouant auprès de ceux qui souffraient. Il eut une immense compassion pour les enfants orphelins qui erraient dans la ville, et érigea pour eux de nombreux orphelinats où il les soignait et leur enseignait la foi catholique. A Somasque, près de Bergame, il fonda sa congrégation appelée les Somasques, qui se dévouèrent aux orphelins et à l’éducation chrétienne des enfants en général. Il mourut comme il l’avait prédit, le 8 février 1537, victime de la peste et de son dévouement pour ceux qui étaient atteints de ce fléau.

Habituellement quand Dieu veut qu’une œuvre nouvelle naisse dans son Eglise, il en fait ressentir le besoin dans le cœur de ses amis. Ainsi saint Jean Bosco, saint Joseph Calansanz, et saint Jérôme Emilien ressentirent combien les enfants abandonnés avaient besoin de secours. Ils répondirent à l’appel de Dieu et firent briller dans l’Eglise leur merveilleux dévouement. Sachons, nous aussi, avoir le cœur ouvert aux détresses de notre temps que le Seigneur nous montrera !

Pratique : Prier pour les enfants abandonnés d’aujourd’hui

Dimanche 19 juillet : 7° dimanche après la Pentecôte

Gardez-vous des faux prophètes ! Tiré de l’évangile du jour

A écouter le monde médiatique d’aujourd’hui, on s’aperçois qu’une nouvelle race d’homme très dangereuse est apparue sur la terre, les complotistes ! Pensez donc ! Ces mauvais français qui imaginent que les responsables politiques d’aujourd’hui pourraient les manipuler et leur mentir. Qu’ils pourraient aussi agir parfois avec des arrières pensées politiques, et même en vue d’un intérêt personnel ! Incroyable de constater cela au 21° siècle ! Et pourtant Jésus semble bien de ce camp quand il déclare tranquillement dans l’Evangile à ses disciples, Gardez vous ! Ce même Jésus qui nous encourage si souvent à avoir confiance en Dieu et sa Providence, nous demande clairement de nous méfier des hommes. Et on doit bien se garder de tous, puisqu’on doit même soupçonner les moins douteux d’apparence, ceux qui se présentent au nom de Dieu, Gardez-vous des faux prophètes!  Jésus serait-il complotiste ?

La vérité est que Jésus sait ce qu’il y a dans l’homme. De belles choses y existent, mais aussi des misères, et la capacité à magouiller et tricher quand son intérêt est en jeu… Qui ne constate en lui-même cette triste tendance ? Même les saints savaient cela et on raconte que saint Philippe Néri, quand il quittait sa maison le matin disait à Jésus, en boutade, Seigneur, méfiez-vous de Philippe, ce soir il pourrait être devenu musulman ! L’évangile d’aujourd’hui est donc une terrible leçon de réalisme et d’exigence. Ayez confiance en Dieu, mais pas trop dans les hommes ! Et ne faites jamais l’impasse du discernement dans les choix de votre vie !

Pratique : Prions le Seigneur de nous donner la prudence

Vendredi 18 juillet : Saint Camille de Lellis

J’étais malade, et vous m’avez visité. En vérité, je vous le dit : toutes les fois que vous l’avez fait à l’un de ces plus petits d’entre mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait. Tiré de la liturgie du jour.

Saint Camille brilla d’un immense amour et dévouement envers les malades et les mourants. Il naquit au milieu du 16° siècle à Bucchianico dans le diocèse de Chieti, d’une mère déjà sexagénaire. Il n’eut pas une jeunesse très édifiante, mais à l’âge de 25 ans il se convertit au Seigneur, et voulut entrer, deux fois de suite, chez les capucins. Mais le Seigneur avait choisi autre chose pour lui, et se déclara alors une maladie qui l’obligea à sortir du couvent. Il fut alors chargé de la direction de l’hôpital des incurables à Rome : La Providence le menait vers les malades. Il se dépense sans compter auprès d’eux, tant pour les soigner que pour les guider vers le Ciel. A 32 ans, il ne craignit pas de reprendre les études au milieu d’enfants, et finit par devenir prêtre, et il fonda alors la Congrégation des Clercs réguliers ministres des infirmes. Les religieux de cet institut faisaient, en plus des trois vœux ordinaires, le vœu de soigner les pestiférés au péril même de leur vie. On imagine sans peine le bien que firent ces religieux ! Ayant dépensé tout sa vie dans la charité, il expira à Rome le 14 juillet 1614, à l’âge de 65 ans en récitant la prière des agonisants. Il est le patron des hôpitaux et des agonisants.

Que le visage du Christ Jésus t’apparaisse doux et joyeux ! C’est en disant cette partie de la prière des agonisants que saint Camille rendit son âme à Dieu. Comment douter de l’accueil du Seigneur pour celui qui s’est vraiment dépensé pour ceux qui souffrent ? Mais que nous sommes doués pour nous donner des excuses pour ne pas le faire !

Pratique : un acte de charité envers un malade ou un pauvre.

Vendredi 17 juillet : De la férie

J’entourerai l’autel et j’immolerai dans son tabernacle une victime avec des cris de joie : je chanterai et je dirai une hymne au Seigneur. Tiré de la liturgie du jour.

En parlant d’art chrétien, j’ai spontanément parlé des églises. C’est assez naturel parce que le premier art chrétien, qui nous frappe tous, c’est l’architecture. Dés qu’on voit une église, ou mieux, dés qu’on entre dedans, le mystère agit de suite et un message profond nous gagne. Si l’église est d’époque romane (du 11° au milieu du 12° siècle) les arrondis des voutes et l’atmosphère intimiste nous fait immédiatement penser à la prière, à cette époque, ils y croyaient ! Si l’église est d’époque gothique (du milieu 12° jusqu’au 15° siècle), avec ses arcs brisés, la couleur et la lumière des rosaces et vitraux, ses flèches pointues et ciselées, alors on est immédiatement frappé par l’ordre et l’harmonie qui y règnent et la grandeur de Dieu nous frappe. C’était une époque qui clamait sa joie de connaître et d’aimer Dieu ! Si l’église est d’époque baroque ou classique (du milieu du 16° jusqu’au milieu du 18° siècle), avec ses ornementations libres et surprenantes, sa démesure et ses couleurs, on ressent l’exubérance puissante de son époque qui voulait transmettre la grandeur et la puissance du service de Jésus Christ. Si l’église est plus récente, et c’est le cas de la majorité des église de France qui datent du 19° siècle, elle n’a pas de style particulier; mais s’inspire librement des siècles passés. Comme aux siècles passés, toute l’église est bâtie autour de l’Autel du Sacrifice, et les marques de piété populaire sont nombreuses et touchantes. Le cardinal Journet conseillait à celui qui voulait découvrir le catholicisme d’entrer dans une église et d’y rester un moment silencieux. Ainsi on pourra capter dans sa plénitude le message de la foi des temps passés dans toute sa beauté, et qu’on aura envie de le suivre !

Pratique : Entrons en silence dans une église. 

Jeudi 16 juillet : De la férie, mémoire de Notre Dame du mont Carmel

Dieu, vous orné l’Ordre du Carmel du titre particulier de la bienheureuse Marie toujours Vierge et votre Mère : accordez-nous, dans votre bonté, que, soutenus de la protection de celle dont nous honorons aujourd’hui solennellement la mémoire, nous méritions de parvenir aux joies éternelles. Tiré de la liturgie du jour.

Dans la Bible, le mont Carmel était le lieu privilégié où résidait le prophète Elie. On se plut, au cours de l’histoire chrétienne, à voir dans l’histoire de ce prophète, des annonces du mystère de la Vierge Marie. Ainsi au début du 13° siècle des anciens documents nous transmettent l’existence, sur le mont Carmel, d’ermites de notre Dame du mont Carmel, c’est-à-dire dévoués à la sainte Vierge et vivant sur le mont Carmel. Au temps des croisades et devant la persécution musulmane, ces religieux revinrent en Occident, mais ils ne trouvaient pas facilement à recruter des religieux. Ils prièrent donc instamment la sainte Vierge de protéger l’ordre qui lui était spécialement dédié. La sainte Vierge apparut au supérieur de l’ordre, saint Simon Stock le 16 juillet 1251 en disant : Voici le privilège que je te donne, dit-elle à saint Simon Stock, à toi et à tous les enfants du Carmel. Quiconque meurt revêtu de cet habit, ne souffrira pas des feux éternels. Si l’on revêtait le scapulaire du Mont Carmel (c’est-à-dire si l’on se faisait religieux dans cet ordre…) on était assuré du salut ! Les vocations alors affluèrent, l’ordre était sauvé… Ce privilège de Marie s’étendra à tous les tertiaires du Carmel, c’est-à-dire à tous ceux qui recevraient le scapulaire. De grand saints ont popularisé cet ordre du Carmel parmi nous : Sainte Thérèse d’Avila, saint Jean de la Croix, et surtout sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus.

L’ordre des Carmes fit un bien considérable dans l’Eglise jusqu’à nos jours en nous rappelant l’importance de la prière et de la dévotion à Marie. Essayons nous aussi de vivre de cet esprit !

Pratique : se faire imposer le scapulaire du mont-Carmel par un prêtre, et le porter

Mercredi 15 juillet : Saint Henri

O Dieu, en ce jour, vous avez fait passer le bienheureux Henri, votre Confesseur, du sommet de l’empire de la terre au royaume du ciel : nous vous demandons en suppliant que, comme en le prévenant par l’abondance de votre grâce, vous l’avez fait triompher des attraits du siècle, vous nous fassiez aussi, à son imitation, éviter les séductions du monde et parvenir jusqu’à vous avec des cœurs purs. Tiré de la liturgie du jour.

Bonne fête à tous ceux qui, comme moi, portent le glorieux patronyme de saint Henri, duc de Bavière, roi de Germanie, empereur du saint empire romain germanique, et surtout glorieux saint de l’Eglise catholique ! Saint Henri fut surnommé à juste titre le pieux, car avec lui un moine semblait être monté sur le trône ! En effet saint Henri n’aimait rien tant que chanter l’office avec les moines. Il garda aussi toute sa vie la virginité avec sa femme sainte Cunégonde. De même, il ne perdait aucune occasion d’œuvrer pour le bien de l’Eglise, multipliant les fondations et les donations pieuses. C’est enfin grâce à sa piété que nous devons de chanter le credo dans la liturgie romaine… Mais n’allons pas pour autant imaginer un saint à faible personnalité ! C’est en effet grâce aux labeurs de saint Henri que la Pape Benoît VII fut ramené sur le trône, que les grecs qui persécutaient l’Eglise furent vaincus et la Pouille annexée, et que la Hongrie et son roi embrassèrent la foi chrétienne…

Saint Henri mourut le 13 juillet 1024 et fut enseveli au monastère de Bamberg qu’il avait fondé.

Saint Henri, quoique fort riche, trouva le chemin du Royaume de Dieu. Il aimait prier, était familier des choses du Ciel, et se dépensait autant qu’il le pouvait en bonnes œuvres. Puisse-t-il nous guider dans nos choix de vie, en nous faisant toujours choisir le Ciel !

Pratique : Quel sacrifice pourrions nous faire aujourd’hui pour le Royaume de Dieu ?